Non, on ne crée pas les maisons, encore moins les appartements, sinon, on en aurait bien trop. par contre, on peut les lister pour vous, pour les avoir à poster de mains, et savoir parfaitement où ils se trouvent. Il est donc de votre devoir de poster ici, pour nous dire où il est, et faire une jolie description de tout ça, pourquoi pas. Vous prenez donc ce code, et vous rédiger le tout. On se charge du reste.  

Code:

Lieu de l'habitation : ville/école militaire/rang/long de la côte
[code][b]NOM PRÉNOM[/b] → description de l'habitation[/code]

LA VILLE

ELSIE LATTIMER → C'est plein de pièces, pas très grandes, on s'y bouscule souvent, faut dire que y'a trop de monde qui vit dedans. Y'a un étage, une salle de bain, deux cabinets, une cuisine, un salon, une table entre les deux pour pouvoir manger. Des chambres toutes petites mais confortables. La maison est coincée dans un quartier pas si défavorisé que ça au final, un peu quand même, c'est sûr ; mais où les bâtiments se dégradent vite, ils ont l'air vieux avant l'âge, un peu comme leurs habitants.

FELIPE & LOUVE SABOURAUD → On dirait des petits soldats, toutes alignées comme ça. Des maisons un peu tanguant, un peu petites mais assez bien, pourtant. Il a travaillé fort, le petit, pour la payer à sa soeur et sa maman. Il vit là, le petit, avec la petite, bien évidemment, et la maman, cachée sous ses draps, et puis dans l'alcool, souvent. Une maison un peu petite, avec des meubles un peu manquants, des murs bien blancs, mais qu'importe, pourtant. C'est une maison, tout au moins.

NIEL AMBROSE → C'est un peu vide, un peu grand et un peu mal isolé. Au milieu des passants et puis des boutiques, juste là, près des bars où on entend les rires gras, le soir, juste au dessus de la boutique souvenir. Les planchers qui craquent et les portes qui pleurent, les murs froids et les couleurs qui écœurent. Un lit, grand, trop grand, des draps à l'infini, dessus, sous une grande fenêtre vitrée dévoilant les nuages ternes. Le four qui chauffe à moitié et puis la douche, surtout, toujours trop froide. C'est un peu abandonné, au final, un peu usé et délaissé ; c'est Niel, oui, voilà.

VYRO L. MORVAN → Un trois pièces sous les combles tout en haut d'un immeuble très anglais, au coeur de la ville. Les fenêtres mansardées donnent sur les toits et le chat y fait souvent son entrée. La pièce principale est un immense salon/pièce à vivre avec des piles de livre partout sur les poutres en bois peint, sur les étagères ou encore directement sur le parquet, un tourne disque vieillot, un divan défoncé, une table basse et quelques meubles anciens. La chambre est minimaliste, meublée d'un lit en fer forgé et de deux tables de nuit, une armoire. L'autre pièce, c'est son laboratoire pour développer ses photos. Véritable antre privé et interdit.

L'ÉCOLE MILITAIRE

LES RANGS 

DALI & MARCUS LAZARE → Si loin, si loin tout là-bas, au creux des champs et près des montagnes, si loin au loin, pris dans le vent, si loin que l'on ne le sent plus, l'air marin, presque. Grand, si grand le champ, si grand et pourtant si petit, avec les moutons, chantant, les deux granges et la maison perdue au travers du temps. La maison qui craque, qui chante son contentement, à chaque arrivé, la maison où vit le grand père et le petit fils. La grande, là, derrière, un peu plus loin, un peu froide en hiver mais toute refaite, un peu vieille mais si belle, là où se trouve la petite fille. La petite fille qui se dit garçon, parfois souvent, et qui a bien froid, dans ses draps, depuis qu'elle n'est plus là.

LE LONG DE LA CÔTE

CASSANDRE & MONROE → Il se trouve que les deux amants vivent ensemble dans la maison d'enfance de Cassandre, l'une de ces belles villas qui fait pâlir d'envie la population de Douvres, l'une de celles qui semblent terriblement isolée, perdue en haute mer. Elle se trouve en face de celle de Ted Burn, rappel à la relation d'enfance qu'entretenait Cassandre et lui. Un autre souvenir qui hante les murs.

EDWIN EARL → On dirait un château, un peu sombre et un peu noir. Une maison d'autrefois bien trop grande pour deux parents, et puis un enfant. Les fins doigts des plantes, morts depuis si longtemps, qui caressent la facade, toujours, pourtant. Courant d'air affolant, à l'étage, et bouilloire, à la cave. L'antre du mal, tout en bas, et puis le véranda, pourtant, si belle et grande, emplie de couleurs et de fleurs. Elle est belle, la grande et vieille demeure, le long de la côte.