NOM(S) - Dahl. PRÉNOM(S) - Moana, elle porte le nom de l'océan en tahitien. Rava, la brune. AGE ET LIEU DE NAISSANCE - dix-neuf ans, tu es née à Papeete, petite perle de tahiti. NATIONALITÉ - arrivée à Douvres un an à peine après ta naissance, tu as pris la nationalité anglaise. STATUT CIVIL - Amoureuse à coup sûr. ORIENTATION SEXUELLE - Les femmes t'attirent, relations purement sexuelle, tu aimes trop les hommes pour ça. MÉTIER - moana prend la pause, allongée sur un lit, lui il la peint. mais on ne gagne pas sa vie en se faisant peindre, alors pour allonger les fins de mois, moana fait caissière à la superette. GROUPE - écrire ici. AVATAR - Giza Lagarce.

il est beau l'océan, il paraît calme l'océan. mais tout n'est qu'apparence, la supercherie du masque. elle est belle la méduse, elle semble douce la méduse. elle attire, elle vous prend dans ses filets mais gare à vous. gare aux conséquences. méfiez vous de l'océan qui dort. méfiez vous de la belle méduse. un pas de trop et c'est l'électricité. prenez en soin, ne l'effrayez pas et elle restera là, calme et douce. jouez vous d'elle, jetez là comme un jouet et c'est l'électricité. moana c'est tout ça, moana c'est la méduse et l'océan, la méduse au beau milieu de l'océan, l'océan qui se reflète dans la méduse. moana traine son corps comme un festin, mais moana elle ne le veut pas, elle ne le fait pas exprès. la méduse n'a pas de cerveau. la petite écervelée, elle se traine, elle vous charme sans le voir. moana est rêveuse, moana ne voit pas le mal, moana voit le bien autour d'elle. alors moana finalement tombe amoureuse, dès que l'on s'intéresse un peu à elle, moana s'attache. mais c'est souvent la même chose, on la laisse là, sur le bord de la route. gare à l'océan qui dort. moana ne sait pas pardonner et sa rancœur est toujours des plus violentes. moana c'est l'ouragan quand elle s'énerve, c'est la tempête qui renverse tout sur son passage, qui détruit tout. la méduse n'a pas de cœur. détruisez là, effrayez là et elle se vengera. vengeresse sans cœur, sans sentiment ni pitié.

PSEUDO - clumsy wanderer. PRÉNOM - Pauline. ÂGE - bientôt dix-neuf. T'AS CONNU LE FORUM OÙ - bazzart mon ami. COMMENTAIRE(S) - je l'aime déjà d'amour, vous m'emmenez rêver de l'autre côté de la manche, c'est beau, le design est parfait, j'ai envie d'aller fouler ces galets. bref, je vous aime. POISSON PRÉFÉRÉ - la sole. CODE AVATAR -

Code:

<pris>giza lagarce</pris> <ppn>♒ moana rava dahl</ppn>

le vent s'engouffre dans ta robe et emporte tes cheveux. tu regardes, au loin, le bateau disparaître peu à peu. je reviendrai, je te le promet. les promesses en l'air, ça tu connais bien. toi tu tombes toujours amoureuse, on s'intéresse un peu à toi, on te regarde et toi tu aimes, tu aimes à t'en faire tourner la tête. et puis c'est toujours la même chose, petite poupée utilisée pour un soir, petit jouet que l'on trimballe le temps d'une passion et puis qu'on jette là, sur le bord de la route, pas de pitié pour la petite poupée. mais là c'est différent, tu le sais, tu le sens, tu espères fortement. il traverse la manche, retourne vers sa douce France et toi tu restes plantée là, figée sur le haut de cette falaise que tu connais bien. c'est ta sœur qui vient te retrouver là, elle attrape ton bras et te serre contre elle. ça ira. tu veux la croire. tu finis par tourner les talons et tu retournes vers la maison. ton père est encore en mer, la saison est bonne, les poissons sont nombreux ces derniers mois, le commerce marche bien. ta mère est au marché. les jours ici s'enchaînent, se ressemblent. ils avaient fait chavirer ton quotidien, lui et ce petit accent français à croquer. il était venu là passer ses vacances en famille. deux mois et le voilà repartit. et ton cœur en bouillie.
ici, ce sont les jours qui défilent, inlassablement, le temps qui passe. pause impossible, retour en arrière improbable. le temps emmène au loin les souvenirs et les sentiments, il les fait oublier, on finit par ne plus y penser. et un matin, tu te réveilles sans ce manque au creux de tes côtes, sans cette douleur qui te poussait à le chercher chaque jour du regard. alors c'est la vie qui reprend.
et puis le voilà qui reviens, la marée te l'a ramené. il a retraversé la mer pour toi, qu'il te dit. et il double ses caresses, il double ses mots doux pour te séduire. mais toi tu ne sais plus, toi tu ne veux plus, l'oublier avait déjà été très difficile et tu ne voulais pas avoir à recommencer alors tu hésites et tu fuis, le temps de réfléchir.