En deux mots, ta vie est courte, décevante et ensuite tu meurs. On occupe nos vies avec de la merde, comme les carrières et les relations, pour nous faire croire que tout n’est pas totalement inutile. ▲ Trainspotting
NOM(S) - Lannister. Seulement, toi, tu ne payes pas toujours tes dettes. A ne pas confondre. PRÉNOM(S) - Aristée. Une référence mythologique. Pour une mère historienne, on a vu plus original. Et Milan. La ville où, apparemment, tu as été conçu. Oui, on s'fait pas chier chez les Lannister. AGE ET LIEU DE NAISSANCE - vingt et une années que la terre est témoin de ton existence. NATIONALITÉ - Anglais de pur souche. T'es né en Angleterre. Comme tes parents et leurs parents et leurs parents et ect. STATUT CIVIL - célibataire en deuil d'une petite amie trop vite disparue ORIENTATION SEXUELLE - tu préfèrerais te dire hétéro mais il est clair que tu doutes profondement de ta sexualité. enfin, disons que tu peines à l'avouer. pourtant, l'évidence est là. bien là. MÉTIER - tu étais étudiant en droit. maintenant tu n'es plus rien. il serait grand temps de te retrouver un petit boulot d'ailleurs. GROUPE - ame amere AVATAR - niglas gillis le magnifique
Le chant de l'âme
Jolie vision d’une illusion. Un rêve brumeux. Silencieux. Tendancieux. Ce rêve, c’est ta vie. Une multitude de cris poussées sous leurs yeux ébahis. Mais personne n’entend ton hurlement. C’est con. T’es juste là pourtant. Au milieu de la scène. Acteur de ce spectacle obscène. Tu hurles. Des mots violents. Des mots sanglants. Tu veux t’enfuir. Sortir de cette société que tu ne supportes plus. Juste partir. Courir vers l’inconnu. T’échapper. Et crier. Mais les chaines de la réalité te maintiennent enfermé. Alors tu rêves. Le corps prisonnier mais l’esprit libre. Tu rêves de liberté.
T’es qu’un gamin un peu perdu. Un peu tordu. Un gamin qu’a oublié qu’il avait oublié. Oublié qu’un jour, il a compris. La vie, c’est qu’des putains de compromis. Des rêves inachevés. Des cris dissimulés. La vie c’est ‘baisse les yeux et marche droit’. Toi tu rêvais de zigzaguer. D’aller contre les lois. Tu rêvais de faire changer l’humanité. Autant dire que t’as foiré. Tu marchais droit avant. Tu voulais t’intégrer. Alors quand t’as viré. C’était violent. T’as déconné. Tes éclairs de lucidité, c’est sous la mort qu’ils sont marqués. Elle. Lui. Eux. Tu pleures encore cette folie non-contrôlée. Tu voulais pas. Tu sais même pas pourquoi. T’es pas violent normalement. Et pourtant. Parfois t’es là, à défoncer à la gueule d’un inconnu sans raison. Tu te perds. Dans cette lutte pour l’acceptation. Dans cette quête sanguinaire. Tu te perds. C’est effrayant.
En toi brule la flamme de l’indépendance. Dissimulée, elle ne heurte personne. Pourtant, elle n’est que violence. Parfois, la voilà qui sonne. Prête à débarquer. Les mots. Les gestes. Tout devient indigeste. C’est ta tête. C’est ton cœur. C’est ta vie qui s’entête. On s’en fou. Tu vis et c’est tout.
Sous l'océan
PSEUDO - tadshoot PRÉNOM - marion ÂGE - dix neuf T'AS CONNU LE FORUM OÙ - par neeeeeo COMMENTAIRE(S) - écrire ici. POISSON PRÉFÉRÉ - écrire ici. CODE AVATAR -
Code:
<pris>niclas gillis</pris> <ppn>♒ aristée milan lannister</ppn>
Dernière édition par Aristée M. Lannister le Mer 10 Juil - 21:00, édité 6 fois
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Sujet: Re: ARISTEE ◭ et si t'allais plutôt te carrer des poignées de porte dans le cul pour voir ? Mar 2 Juil - 8:30
J’ai couru... J’ai couru jusqu’à sentir tous mes muscles brûler, jusqu’à sentir dans mes veines de l’acide sulfurique à la place du sang. Puis, j’ai couru encore. ▲ fight club
Les flammes brulantes dansent devant tes yeux ébahis. Tu restes là, immobile pendant de longues secondes, fixant ce spectacle obsédant. L’alarme lancinante retentie brusquement dans tout le bâtiment tandis que l’agitation commence à se faire sentir. Les portes s’ouvrent, laissant percevoir les rires et bavardages de jeunes fort peu préoccupés par cette alarme intrusive. Elle est tellement attendue cette putain d’alarme qu’il ne viendrait à l’esprit de personne de se dire ce que n’est pas un exercice. A croire qu’une simple excuse pour cesser de travailler leur fait totalement oublier la nature même de ce signal. T’aurais pu leur crier de se casser. Qu’il y avait vraiment le feu. Mais cette bande de cons te dégoute tellement que tes lèvres restent hermétiquement closes. Derrière toi, la bibliothèque et ses quelques milliers de livres sont le combustible de ce feu qui croît rapidement. Un sourire s’affiche sur ton visage d’ange. Un putain de sourire malsain. Tu rigoles intérieurement de les voir aussi sereins. Bientôt, ça s’ra la panique. Quand ils comprendront. Et tu pourras jouir de voir ces idiots se marcher dessus pour être le premier à sortir. Bande de cons.
A vrai dire, tu sais pas vraiment pourquoi t’as fait ça. Foutre le feu à ce putain de bouquin. T’en avais juste ras le bol. T’étouffais. T’en pouvais plus de cette vie programmée à l’avance par des adultes rêvant d’un monde aseptisé. Un monde sans forme. Où chacun rentrerait dans son moule et n’en sortirait jamais. Le temps d’un instant, t’as rêvé d’évasion. T’as rêvé d’autre chose que ce rêve américain à la con. Puis t’as réalisé. T’as réalisé que dans vingt ans, tu s’rais sur le porche de ta maison avec ta femme, tes trois enfants et ce clébard à la con que tes enfants t’aurais suppliés d’acheter. Bordel, mais tu détestes les chiens ! C’est à ce moment-là que l’idée s’est insinuée en toi. Une mauvaise herbe, envahissant tout, détruisant tout sur son passage. Rapidement, seule cette idée subsistait. Obsession. Putain d’obsession. Dix minutes plus tard, les flammes s’élevaient de ton bouquin de droit. Prêtes à tout dévorer. Tout anéantir.
Les pompiers sont arrivés. T’es là, dans le jardin de l’université. Et doucement, tu réalises. Quand t’entends les gens parler. Quand t’entends les pompiers parler surtout. Tu captes juste des bribes. Des bribes que tu prends en pleine gueule. « … huit morts » Avec tes conneries, tu viens de tuer huit putain d’innocents. « … vingt-deux blessés. Cinq gravement » Tu viens de détruire des dizaines de vies. Pour un moment d’égarement. Ta main passe sur ton visage tandis que tu sens ton cœur battre vite. Trop vite. Tremblant entièrement, tu attrapes ton téléphone. « … N… Niel… Je … Putain … J’viens de faire une… une putain de connerie … Je… Merde… » Tu sens les larmes te monter. Ça s’entend dans ta voix. T’es paumé. Complètement. Tu voudrais hurler au monde d’annuler ça. Te supprimer cette putain d’action stupide. « …Putain. Viens. J’suis dans la chambre, viens. » Tu l’sens perdu lui aussi. Il t’a jamais entendu dans cet état. Jamais. Pas une fois en trois ans. Le poing serré à t’en faire blanchir les jointures, tu te mets à courir. Courir jusqu’à ta chambre. Votre chambre. Faut que tu partes. Que tu t’barres d’ici. A peine as-tu ouvert la porte que tu te rues sur ton meilleur ami, le serrant fortement contre toi alors que les larmes finissent par couler sur ton visage d’ange. « Putain … Niel … Je… J’ai…Jviens de …de buter huit personnes … Je… Je sais pas ce qui m’a pris…J’ai foutu le feu à…à la fac… » Il répond rien. Se contentant de te serrer un peu plus fortement contre lui. C’est la première fois que tu te laisses aller contre lui comme ça. Ça faisait deux semaines que tu l’avais pas vu. Il a décidé de se barrer lui aussi. De fuir enfin son père et ses principes à la con. Et pour la première fois, t’as trouvé qu’il avait du courage. « …Viens on s’barre à Douvres … Viens avec moi … »
Et puis on se dit que ce n'était qu'une vague illusion, que le temps emporte tout, que les êtres changent. Les sourires se transforment, on ne reconnais plus rien, tout disparait peu à peu. Plus aucuns repères, plus rien. Ou peut-être juste l'infime espoir qu'un jour tout sera comme avant. ▲ anonyme
Tes yeux survolent doucement les lettres d’or gravée dans la pierre blanche. NOVALEE CYGANIK (1992-2013). Les larmes ne viennent même plus. Tu t’assoies silencieusement à côté de la pierre tombale. T’aurais préféré être à sa place. Tu peines à te dire que tes conneries l’ont tué. Le regard vague, tu laisses les souvenirs te pénétrer. Son sourire. Sa façon de te regarder. De dire ton prénom. Malgré tous les questionnements qui s’agitaient dans ton esprit, elle restait une évidence. Elle était juste là. Et t’aimais ça. Tu t’en es toujours voulu. De sentir ton cœur battre plus vite sous le regard d’Oze plutôt que sous le sien. Tu n’as jamais compris surtout. Tu l’aimais. Probablement pas comme tu aurais dû. Mais tu l’aimais. Elle était ta petite amie. C’était sa peau que tu parcourais de tes doigts habiles. Ses lèvres que tu léchais malicieusement. Ses cuisses que tu écartais pour t’y loger, le corps plein de désir. Et pourtant, l’image de son frère de cessait de s’imposer. Obsédant. Douloureusement obsédant. Malgré toi, t’as jamais pu effacer le souvenir de cette nuit-là. De cette soirée passée dans la maison de tes parents alors qu’ils étaient sortis. Vous étiez tous à moitié défoncés. Et lui. Oze. Il était là, juste contre toi. Sa peau brulante contre la tienne. Et sans que tu comprennes réellement comment, sa langue est venue capturer la tienne avec chaleur. Sans que tu ne réalises vraiment, tes mains glissaient sur son corps parfait tandis que les siennes te faisait frémir de désir. Et ton cœur. Ton putain de cœur qui battait comme il n’avait jamais battu sous les doigts de sa sœur. Ce soir-là, vous n’avez pas fait l’amour. Mais l’impact était le même. A partir de ce moment-là, tu t’es perdu. Au milieu des doutes. Au milieu des peurs. Tu t’es perdu dans cet océan de brume. Ta main passe doucement sur la pierre froide « … Je suis tellement désolé Nova … Si tu savais … » Tu fermes les yeux un instant. Puis d’un geste délicat, tu viens déposer une rose rouge avant de te lever pour repartir.
« … J’étais sur la tombe de Nova aujourd’hui … » Ton regard est perdu dans le plafond blanc de votre petit appartement de merde. Tu sens le regard de Niel sur toi. D’un geste tendre, il vient dessiner des formes étranges sur ton torse avec son doigt, te faisant frissonner entièrement. Parfois, sa tendresse te trouble plus que tu ne le voudrais. Il a été l’objet de tes premiers questionnements après tout. Lorsque vous avez commencé à vivre ensemble dans votre petite chambre universitaire. C’est à ce moment-là que tu as commencé à douter de ta sexualité. D’ailleurs, c’est probablement pour ça que tu n’étais pas toujours très tendre avec lui. Il t’agaçait. A être aussi attirant. Aussi adorable. Puis Nova et Oze sont arrivés. Ça allait mieux après. Aujourd’hui, tu arrives encore à te demander la nature de votre relation. Surtout depuis que vous vivez dans un appartement tous les deux. Si petit que vous dormez ensemble, l’un contre l’autre. C’est devenu comme une évidence. Presque un besoin. Sentir sa chaleur pour s’endormir. P’tain Ari, tu d’viens accro.
Il faut croire que c'est la société qui m'a définitivement abîmé. ▲ serge gainsbourg
Nova.
J’aurais voulu te dire que ce que j’ai fait est le résultat d’un traumatisme que j’aurais vécu quand j’étais jeune. J’sais pas. Quelque chose comme dans les films. Un truc bien dramatique. Mon oncle qui me viole. Ma mère qui se suicide devant moi. Une connerie comme ça. Sauf que non. Ma mère et mon père sont toujours mariés. J’crois même qu’ils sont heureux. Mon père n’est pas violent. Ma mère n’est pas particulièrement étouffante. Bref. Ma vie est juste d’une putain de simplicité. Pourtant, j’ai quand même trouvé le moyen de faire ça. De foutre le feu à cette putain de bibliothèque. De te tuer. Je sais pas pourquoi j’ai fait ça Novalee. Je sais pas. J’avais peur je crois. Du futur. De la vie. J’avais peur de devenir l’exemple parfait de ce que je détestais en silence. Je crois que, pendant quelques minutes, j’ai voulu échapper à ma vie. Et en voulant échapper à la mienne, j’ai ruiné celle des autres. La tienne, mais tellement d'autres encore. J’aimerais que tu sois toujours là. Je me meurs en silence. Dans la brume, je m’éteins. Parfois, je voudrais te rejoindre. Puis je me souviens. J’ai le devoir de vivre. De vivre la vie que je t’ai retirée. Vivre pour deux. Pour trois même. Non, vivre pour dix. Alors je survis.
J’espère que tu es bien là où tu es.
Je t’aimerais toujours. Aristée
Dernière édition par Aristée M. Lannister le Sam 6 Juil - 20:51, édité 4 fois
Felipe Sabouraud
TU PRENDS MON ÂME.
♒ messages : 595
Feuille de personnage ♒ âge: 19 ans ♒ profession : peintre en bâtiment ♒ le choix du coeur: chocolat au lait ; confettis de bonbons azurés.
Sujet: Re: ARISTEE ◭ et si t'allais plutôt te carrer des poignées de porte dans le cul pour voir ? Mar 2 Juil - 8:31
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Sujet: Re: ARISTEE ◭ et si t'allais plutôt te carrer des poignées de porte dans le cul pour voir ? Mar 2 Juil - 8:32
fauve, trainspotting, what else ? bienvenue mon beau
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Sujet: Re: ARISTEE ◭ et si t'allais plutôt te carrer des poignées de porte dans le cul pour voir ? Mar 2 Juil - 8:48
feliiiipeee **
la classe hein ? (a) merci **
Cerbère du Maurier
ATTENTION CHIEN MÉCHANT
alors, ô ma beauté! dites à la vermine qui vous mangera de baisers, que j'ai gardé la forme et l'essence divine de mes amours décomposés !
♒ messages : 331
♒ Age : 28
Feuille de personnage ♒ âge: on ne le sait pas réellement, certains lui donne la trentaine et d'autres à peine vingt ans. ♒ profession : fossoyeur, croque-mort, gardien du cimetière, fournisseur de poison, de corde aux noeuds coulants et tout autre objets contondants pour vous faire rejoindre les morts. ♒ le choix du coeur: enterré quelque part sous une tombe sûrement
Sujet: Re: ARISTEE ◭ et si t'allais plutôt te carrer des poignées de porte dans le cul pour voir ? Mar 2 Juil - 10:19
un nom de famille original, dis moi va, je t'aime quand même (mais j'me priverais pas d'une occasion d'foutre le feu à ta bibliothèque) mais niclas est carrément sex quoi
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Sujet: Re: ARISTEE ◭ et si t'allais plutôt te carrer des poignées de porte dans le cul pour voir ? Mar 2 Juil - 12:10
Ouais...Ce nom de famille me dit étrangement quelque chose
bienvenue
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Sujet: Re: ARISTEE ◭ et si t'allais plutôt te carrer des poignées de porte dans le cul pour voir ? Mar 2 Juil - 13:02
non non ... je ne regarde pas GOT. (a) et pis, on peut pas faire original partout hein ... et pis ... LAISSE MA BIBLIOTHÈQUE TRANQUILLE !
merci sinon **
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Sujet: Re: ARISTEE ◭ et si t'allais plutôt te carrer des poignées de porte dans le cul pour voir ? Mar 2 Juil - 16:30
GOT c'est l'amour et moi je t'aime pour ça Dit la fille qui va faire un scénario avec Nikolaj Coster-Waldau
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Sujet: Re: ARISTEE ◭ et si t'allais plutôt te carrer des poignées de porte dans le cul pour voir ? Mar 2 Juil - 16:38
jaime **
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Sujet: Re: ARISTEE ◭ et si t'allais plutôt te carrer des poignées de porte dans le cul pour voir ? Mar 2 Juil - 16:48
arrête d'me suivre. ö
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Sujet: Re: ARISTEE ◭ et si t'allais plutôt te carrer des poignées de porte dans le cul pour voir ? Mar 2 Juil - 17:11
c'est parce que je t'aime trop **
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Sujet: Re: ARISTEE ◭ et si t'allais plutôt te carrer des poignées de porte dans le cul pour voir ? Mar 2 Juil - 23:39
bienvenue poulette j'suis pressé d'en voir un peu plus sur ton gugus
B. Monroe Osborne
VOYOU.
J'vais finir par te sauter au visage si tu t'approches trop ; comme ça a fait avec les autres. Mais tu sais pas d'quoi tu parles. J'ai essayé ça sert à rien on change pas, on change jamais. → Fauve.
♒ messages : 135
♒ Age : 28
Feuille de personnage ♒ âge: vingt-et-un ans. ♒ profession : divers petits boulots. ♒ le choix du coeur: l'abruti tatoué.
Sujet: Re: ARISTEE ◭ et si t'allais plutôt te carrer des poignées de porte dans le cul pour voir ? Mer 3 Juil - 8:45
saint-anne. puis en plus, l'bonhomme est sexy, et ton prénom est carrément pas mal. bienvenue, donc.
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Sujet: Re: ARISTEE ◭ et si t'allais plutôt te carrer des poignées de porte dans le cul pour voir ? Mer 3 Juil - 11:02
B. Monroe Osborne a écrit:
saint-anne. puis en plus, l'bonhomme est sexy, et ton prénom est carrément pas mal. bienvenue, donc.
j'aurais pas mieux dit. bienv'nue (et c'est sainte-anne )
Elsie Lattimer
♒ messages : 385
Feuille de personnage ♒ âge: 18 ans ♒ profession : serveuse dans un bar ♒ le choix du coeur: le coeur ne choisit rien
Sujet: Re: ARISTEE ◭ et si t'allais plutôt te carrer des poignées de porte dans le cul pour voir ? Mer 3 Juil - 13:21
Bienvenue ici !
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Sujet: Re: ARISTEE ◭ et si t'allais plutôt te carrer des poignées de porte dans le cul pour voir ? Mer 3 Juil - 18:36
Aristée M. Lannister a écrit:
c'est parce que je t'aime trop **
j'accepte cette excuse alors et souhaite la bienvenue
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Sujet: Re: ARISTEE ◭ et si t'allais plutôt te carrer des poignées de porte dans le cul pour voir ? Mer 3 Juil - 20:16
trop aimable ... xD
Niel Ambrose
♒ messages : 238
Feuille de personnage ♒ âge: vingt-six ans ♒ profession : aide aux soins de l'enfance. ♒ le choix du coeur: le magicien d'oze.
Sujet: Re: ARISTEE ◭ et si t'allais plutôt te carrer des poignées de porte dans le cul pour voir ? Sam 6 Juil - 20:14
un point c'est tout.
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Sujet: Re: ARISTEE ◭ et si t'allais plutôt te carrer des poignées de porte dans le cul pour voir ? Lun 8 Juil - 4:18
Ah ce gif ! Bienvenue et bon courage pour ta fiche
Niel Ambrose
♒ messages : 238
Feuille de personnage ♒ âge: vingt-six ans ♒ profession : aide aux soins de l'enfance. ♒ le choix du coeur: le magicien d'oze.
Sujet: Re: ARISTEE ◭ et si t'allais plutôt te carrer des poignées de porte dans le cul pour voir ? Mer 10 Juil - 21:21
je t'aime, mais ça, tu le sais. j'adore tes mots, je t'adore toi, tout bonnement bref, sans surprise, t'es validée.
Invité
Invité
Sujet: Re: ARISTEE ◭ et si t'allais plutôt te carrer des poignées de porte dans le cul pour voir ? Mer 10 Juil - 21:24
awh ** je t'aime
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Sujet: Re: ARISTEE ◭ et si t'allais plutôt te carrer des poignées de porte dans le cul pour voir ?
ARISTEE ◭ et si t'allais plutôt te carrer des poignées de porte dans le cul pour voir ?