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 « au moins, les sadiques ne sont pas indifférents aux souffrances qu'ils causent. » kiran

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MessageSujet: « au moins, les sadiques ne sont pas indifférents aux souffrances qu'ils causent. » kiran   « au moins, les sadiques ne sont pas indifférents aux souffrances qu'ils causent. » kiran Icon_minitimeVen 26 Juil - 18:18


© crédit


KIRAN DEAKIN
qu'est-ce qui vaut mieux être, noir ou homosexuel ? c'est mieux d'être noir, parce qu'on n'a pas besoin de le dire à ses parents... ▲ catherine bézard


NOM(S) - deakin. PRÉNOM(S) - kiran. AGE ET LIEU DE NAISSANCE - dix-neuf ans ; à douvres. NATIONALITÉ - anglaise. STATUT CIVIL - bourreau. ORIENTATION SEXUELLE - pansexuel. MÉTIER - libraire.  GROUPE - coeur las. AVATAR - louis tomlinson.


Le chant de l'âme


kiran, c’est pas quelqu’un de fréquentable. sous ses airs de petit garçon modèle se cache un véritable prédateur. un monstre de sang-froid qui n’hésite pas à manipuler ses amis les plus proches pour parvenir à ses fins. il s’avère d’ailleurs être un fin stratège ; il n’a aucun mal à se faire passer pour un saint aux yeux de ses parents qui le voient comme l’étudiant studieux qu’il a l’air d’être. parce que c’est bien trop facile de tromper les gens pour peu qu’ils ne s’intéressent pas vraiment à vous, et ça il l’a très bien compris. qui pourrait se douter qu’en réalité, le jeune homme blagueur et enjoué n’est autre qu’un menteur dont la machine est si bien rôdée qu’il parvient à duper le monde entier ? sans doute aurait-il dû choisir une carrière d’acteur à laquelle il aurait eu vocation. et pourtant, malgré son caractère explosif, il est très rare qu’il ne s’énerve. il préfère ruminer une vengeance durant des semaines entières pour être certain de taper là où ça fait mal plutôt que de se mettre à taper sur tout ce qui bouge. au fond, il est plutôt calme. parce que quand il est calme, il garde le contrôle. et c’est probablement tout ce qui lui importe. il a besoin d’exercer son emprise sur chaque parcelle de sa vie, et cette obsession de la domination absolue inclue aussi et surtout son frère jumeau. si au départ, il ne s’agissait que d’un jeu un peu enfantin, les choses ont très vite dégénéré au point de non-retour. ils sont désormais incapables de revenir en arrière, kiran ayant pris goût à voir travis se démener pour sortir la tête de l’eau. il aime le pousser dans ses derniers retranchements, voir jusqu’où il est capable d’aller pour ne pas lui tenir tête. c’est malsain, c’est dégueulasse, mais c’est sa drogue. il a besoin de sa dose pour continuer à avancer, c’est comme ça qu’il fonctionne. alors il va toujours plus loin dans la provocation en oubliant toute notion de limite, parce que kiran, c’est l’excès à l’état pur. il ne fait pas les choses à moitié, il ne ressent pas les choses à moitié. son frère, il l’aime. mais plus que ça, il n’a pas l’intention de le laisser lui échapper, d’une quelconque manière que ce soit.


Sous l'océan


PSEUDO - mlle halloween. PRÉNOM - mel'. ÂGE - vingt ans. T'AS CONNU LE FORUM OÙ - par travis « au moins, les sadiques ne sont pas indifférents aux souffrances qu'ils causent. » kiran 3658940345 . COMMENTAIRE(S) - le forum est magnifique, c'est agréable d'être accueilli comme vous l'avez fait ! et surtout de voir que vous acceptez notre histoire de tordus de ouf (a). POISSON PRÉFÉRÉ - les seuls poissons qu'j'aime sont sur les sushis. CODE AVATAR -
Code:
<pris>louis tomlinson</pris> <ppn>♒️ kiran deakin</ppn>





Dernière édition par Kiran Deakin le Sam 27 Juil - 14:27, édité 4 fois
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MessageSujet: Re: « au moins, les sadiques ne sont pas indifférents aux souffrances qu'ils causent. » kiran   « au moins, les sadiques ne sont pas indifférents aux souffrances qu'ils causent. » kiran Icon_minitimeVen 26 Juil - 18:18


© crédit.


Le murmure de ta vie
dans le jeu de la séduction, il n'y a qu'une seule règle : ne jamais tomber amoureux ▲ Choderlos de Laclos


La fumée irritait mes yeux endormis. Je soufflai doucement pour expirer l’air de mes poumons noircis par la clope, délicieuse drogue à laquelle j’étais accro depuis l’âge de quatorze ans. J’avais longtemps caché cette addiction à ma mère mais elle avait fini par découvrir que leur fils aux airs d’angelot n’était pas si sage, ce qui lui avait clairement déplu. Elle avait d’abord pensé à me punir, me priver de sortie pendant quelques semaines ; heureusement j’avais joué le pauvre garçon éploré qui se répandait en excuses et cela avait suffi à désamorcer le conflit. J’étais plutôt doué et j’aurais sans doute fait un comédien de talent et très renommé, ce qui impressionnait toujours mon frère. Je l’observais du coin de l’œil, comme souvent parce que j’avais simplement horreur qu’il sorte de mon champ de vision. J’avais besoin de l’avoir près de moi, et ça, tout le monde l’avait bien compris même si nombreux étaient ceux qui se posaient de sérieuses questions quant à la nature exacte de notre relation. Moi, j’avais pas envie de mettre un nom là-dessus, c’était inqualifiable, aucun mot n’aurait su décrire avec exactitude l’ampleur de mes sentiments à son égard et je préférais éviter de m’interroger, c’était bien plus drôle de conserver une part d’incertitude. Je savais que Riley n’appréciait pas qu’on le laisse de côté mais j’y pouvais rien, ce gars-là, même si on partageait le même sang, était une victime idéale. Il s’énervait trop facilement, il perdait pieds et je pouvais en faire ce que je voulais. Avec Travis, on s’était souvent amusés à lui piquer ses copines, pas qu’elles aient été particulièrement jolies, c’était juste pour le sport. Cependant… Je devais bien admettre qu’il n’était pas exactement un challenge d’envergure, avec lui, tout était simple et moi, j’aimais m’amuser. J’aimais batailler pour obtenir ce que je désirais. Et le seul qui se trouvait être un adversaire à ma taille était justement mon double, qui me suivait comme mon ombre. Une ombre, c’est bien ce qu’il était en fait. De temps en temps, je remarquais qu’il essayait de me tenir tête mais il en était incapable, je jouissais d’une puissance absolue sur son être et ça m’plaisait. Il se laissait entraîner et j’avais même l’impression qu’il prenait goût à ces affrontements puérils et parfois dangereux, si bien qu’il en redemandait. En cette journée d’été, c’est lui qui avait lancé le jeu. Et une fois que c’était parti, on ne l’arrêtait plus.

Au début, on se contentait de trois fois rien, de vulgaires enfantillages. Mais croire que j’allais m’en satisfaire, c’était mal me connaître. J’en voulais encore, j’voulais repousser les limites toujours plus loin et tant pis si j’me perdais en chemin. On se perdrait tous les deux, c’est tout ce qui comptait. Ces petites provocations avaient très vite dérapé, ils étaient devenus de véritables assauts, une compétition sanglante entre deux frères qui s’aimaient comme des dingues. Parce qu’on était dingues oui, ou en tout cas je l’entraînais dans ma folie. Je m’étais installé en face de lui, nos regards accrochés l’un à l’autre. J’adorais lire la crainte que je lui inspirais dans ses grands yeux bruns, je me délectais de l’influence que j’avais sur ce gamin à peine plus jeune que moi. « Retire ton grigri. » J’esquissai un rictus mauvais, il détestait ça et commençait déjà à râler mais il avait pas le choix. On pouvait rien se refuser. Alors il détacha son collier au bout duquel était accroché un crâne en ivoire et je balançai le bijou à travers la chambre. « Tu veux jouer ? Très bien. » Travis arborait un air fier, presque prétentieux, déterminé à me faire regretter mon geste. Mais la grande différence entre nous, c’est que moi j’n’avais pas peur. De sa poche, il sortit un briquet qu’il alluma. Intrigué, j’attendais ma sentence qui tomba presque aussitôt. « Pose ta main au-dessus de la flamme jusqu’à ce que je te dise d’arrêter. » Intérieurement, je fulminai. J’avais envie de lui dire que c’était qu’un connard sadique, mais je souriais. Il me poussait à bout et je ruminais déjà ma vengeance. D’un geste peu assuré, j’avançai la paume de ma main au-dessus de la flamme comme il me l’avait ordonné. Les premières secondes, je ne ressentis qu’une vague chaleur à peine désagréable. Mais très vite, la douleur se propagea jusqu’au bout de mes doigts, qui commençaient à s’engourdir. Ma peau brûlait et l’odeur qui s’en dégageait était presque insoutenable mais je résistais. J’pouvais pas lâcher. Si j’abandonnais, je perdais mon emprise sur lui et ça, c’était impensable. J’avais beau souffrir le martyr, mes yeux restaient ancrés dans les siens jusqu’à ce que je finisse par craquer, mon égo en prenant un sérieux coup. Il mit un terme à mon supplice et j’observai les dégâts en grimaçant. La cloque qui s’était formée risquait de m’handicaper pendant un long moment, mais j’avais quand même gagné. Jamais Travis ne s’était montré si cruel, et ça me rendait étrangement heureux. Je prenais conscience que j’le faisais glisser avec moi, et qu’on allait finalement pouvoir s’amuser un peu. Le jeu commençait tout juste à devenir intéressant. « Je vois que tu commences enfin à en avoir dans le pantalon, p’tit frère. À mon tour de jouer. » L’idée était toute trouvée, et je voyais qu’il s’inquiétait de connaître son sort. « Grille-toi une clope. » Il était soulagé l’petit, il s’imaginait sûrement que j’avais décidé de calmer nos ardeurs pour éviter que quiconque ne soit blessé. Dommage pour lui, c’était pas vraiment ce à quoi j’pensais. « Tends ton bras maintenant. Tout de suite. » J’attrapai sa cigarette et sans la moindre douceur, sans détour, j’enfonçai la braise dans sa chair. Je sentais qu’il avait envie de hurler, mais il se retenait. Il prenait sur lui, il me défiait du regard même si quelques larmes roulaient sur ses joues. J’arrivais pas à m’émouvoir de sa douleur, au contraire, ça me procurait un plaisir malsain mais terriblement exquis. Lorsque je le libérai, il détourna un moment le regard pour observer sa brûlure. On allait se détruire, on fonçait droit dans le mur sans vouloir appuyer sur la pédale de frein et bordel c’que c’était bon.

Travis avait pas supporté, comme d’habitude. On était allés trop loin et il avait préféré se réfugier dans un coin de la chambre pour pleurer sur son sort. C’est vrai que ce coup-ci, on était sacrément amochés mais moi ça me faisait rire. Enfin au début. Non parce que j’avais beau être un monstre au cœur de pierre et aux tendances psychopathes, j’étais quand même pas totalement insensible et j’avais du mal à voir mon frère se mettre dans un tel état. En même temps, c’est lui qui l’avait cherché ! Mais allez savoir pourquoi, je m’approchai doucement et posai même une main sur son épaule. « Allez, arrête de chialer un peu, merde. » Il tourna la tête et accrocha mon regard. Je m’en voulais, mais j’avais l’étrange impression que son chagrin s’était mué en quelque-chose d’autre. Une détermination sans faille. « On a pas fini de jouer. » J’m’attendais pas à ça. Souvent, c’était lui qui mettait fin à nos affrontements mais il revenait jamais me chercher après. « Quoi ?! Arrête ça va mal finir si on continue comme ça. T’as vu dans l’état dans lequel tu te mets à chaque fois ? » J’étais pas inconscient. Je voulais pas vraiment lui faire de mal, et je craignais qu’à continuer comme ça, le jeu prenne une tournure plus dramatique. « Ferme-la, j’t’ai dit qu’on avait pas fini de jouer. » Pour la première fois, j’me sentais comme pris au piège. Il avait pris le dessus et je détestais ça. Mais je pouvais pas faire autrement que de le suivre. Sans qu’je comprenne comment ni pourquoi, je me retrouvais étalé par terre, Travis me toisant d’un air satisfait. « Embrasse-moi. » Ces quelques mots venaient de me foutre une claque monumentale. Là, je perdais le contrôle et c’était pas bon du tout. On devait tout arrêter maintenant. « T’es sérieux là ?! Jamais d’la vie, tu m’entends ? T’es taré ma parole. » Ma fierté me criait de ne pas lâcher, de relever le défi comme n’importe quel autre gage stupide. Mais ma raison se manifestait elle aussi alors que je la croyais morte depuis bien longtemps. J’essayai vainement de me dégager de son emprise mais il me maintenant au sol avec une force que je ne lui connaissais pas. « Ce sont tes règles du jeu, et j’ai dit qu’on en avait pas terminé. C’est clair ? » Alors on avait fini par en arriver là. On avait franchi nos dernières limites et on était maintenant incapable de revenir en arrière. C’était terminé, j’avais créé un monstre et il se retournait contre moi, j’allais devoir en assumer l’entière responsabilité. Je pris une profonde inspiration et mes mains allèrent encadrer son visage. Je me redressai un peu et j’allai effleurer ses lèvres des miennes avant de les capturer dans un baiser qui d’abord me souleva le cœur. C’était mon frère, merde, qu’est-ce que j’étais en train de foutre ?! Mais au moment où j’étais sur le point d’abandonner, j’eus la sensation qu’une chaleur nouvelle et vicieuse s’emparait de mon être. Travis m’entoura de ses bras et on se laissa enfin aller l’un contre l’autre, cette proximité nouvelle nous troublait comme elle nous fascinait et je décidai de l’allonger sur la moquette avant de me séparer de lui. Il l’avait dit, on n’en avait pas terminé. J’allai verrouiller la porte et en revenant, j’ôtai mon t-shirt pour lui faire comprendre que s’il était joueur, j’étais bien le pire des deux.

J’imagine que pour le commun des mortels, la relation que j’entretenais avec mon frère sonnait comme franchement dégueulasse, abjecte, contre-nature. Elle nous détruisait, nous bouffait de l’intérieur, nous rongeait comme un parasite qui s’attaque à nos organes. Travis, j’l’avais dans la peau mais pire que ça, il était présent dans chaque parcelle de mon être, de ma chair jusqu’à mon sang en passant par mes neurones. Il était partout, il m’obsédait, il me rendait dingue. Et il comprenait pas. Il comprenait pas pourquoi j’devenais incontrôlable quand il s’approchait de quelqu’un alors il essayait d’me pousser à bout, de voir jusqu’où j’étais capable d’aller pour le faire mien. Il m’appartenait, il était ma propriété et j’avais pas l’intention d’le laisser filer comme ça. Du coup, quand il rentrait pas à la maison et que je savais pas où il était, la partie la plus noire de ma personnalité prenait le dessus. J’étais envahi d’une rage intarissable, j’étais comme un lion en cage qui envoyait valser tout ce qu’il trouvait à portée de main. La chambre était un véritable champ de bataille, j’avais tout foutu en l’air dans l’espoir qu’il entende ma détresse et revienne au plus vite. Mais il revenait pas. Il répondait pas à mes messages, avait coupé son téléphone et se fichait bien de c’qui pouvait m’arriver. Ma mère essayait de me calmer, alors évidemment je faisais comme si ça m’touchait pas, devant elle, j’étais juste le grand-frère un peu trop protecteur qui s’inquiétait pour son jumeau. Il était parti depuis des heures, n’avait donné aucun signe de vie. J’étais tiraillé entre l’envie d’le serrer contre moi et celle de lui coller mon poing dans la gueule. De toute façon, pour le moment, j’avais qu’à attendre, c’était bien ce qui m’énervait le plus. J’attendais, encore et encore. J’allai dîner, j’remontai ensuite me réfugier dans notre lit pour m’enivrer du parfum qui couvrait son oreiller. J’pleurai, j’tapai dans les murs, ce connard m’avait abandonné et j’le détestais. J’étais incapable de trouver le sommeil, parce que j’avais des images plein la tête. Lui dans les bras d’un autre. Lui, qui embrassait d’autres lèvres que les miennes. Ça me déchirait le cœur en même temps que je déchirai les pages de mon cahier où je retranscrivais chacune de mes pensées les plus viles, les plus sadiques.

Au matin, j’avais proprement refusé de sortir de la pièce dans laquelle j’m’étais enfermé. Et il avait fini par me trouver adossé contre le mur, les genoux repliés contre mon torse. Mon regard croisa le sien, froid, triste, empreint d’un chagrin que je n’avais jamais éprouvé auparavant. J’aurai pu le cogner, il méritait que ça. J’aurais sans doute dû me laisser aller à la violence qui s’était emparée de moi. Au lieu de ça, je l’attrapai par le col et l’amenai à moi, prêt à oublier ma rancœur s’il répondait à mon étreinte. J’avais besoin de lui putain ! C’était mon frère, mon âme-sœur, mon double, je pouvais pas me résoudre à le perdre. J’l’avais sûrement poussé à partir, il avait voulu prendre l’air et j’m’étais monté la tête comme un crétin. Il aurait jamais pu aller avec un autre, c’était… Bordel c’était quoi ça ?! Cette odeur, c’était pas la sienne ! Il n’avait suffi que d’une fraction de seconde pour gâcher la beauté de l’instant. Il venait de m’assassiner à coups de pelle, il en avait rien à foutre de ma tronche. J’me relevai brusquement pour lui coller une gifle monumentale, trahissant toute l'étendue de l'amour que je lui portais et je l’entraînai dans la salle de bain sans ménagement. J’pouvais pas supporter ça, il avait pas le droit d’me traiter comme ça. Travis, c’était un sentimental, il baisait pas avec n’importe qui, d’ailleurs il l’avait jamais fait ! Ce gars, je savais pas qui c’était mais j’le haïssais comme personne. Mes gestes étaient désordonnés, brutaux, sauvages, j’l’envoyais sous la douche sans me soucier d’lui faire mal parce qu’après tout c’était tout ce qu’il méritait. Moi, quand j’couchais avec un ou une inconnue, c’était du sexe brut, et je connaissais trop bien mon frère pour savoir que le mec en question représentait bien plus à ses yeux qu’une simple conquête d’un soir. Parce qu’il lui avait donné sa virginité. J’avais envie d’vomir mes tripes tellement il me dégoûtait. Il allait me l’payer cher. Il fallait qu’il comprenne qu’il n’était qu’à moi. Et j’étais bien décidé à effacer toute trace de l’existence de son amant s’il pouvait me revenir.

Ronan. Ce prénom résonnait dans ma tête comme une mélodie dont on ne parvient pas à se libérer. J’l’avais pas oublié celui-là. J’avais cru qu’j’en étais débarrassé mais ce connard revenait à la charge et il venait tout juste de devenir ma prochaine cible. Cette fois, j’le louperai pas. A l’époque, j’le voyais souvent traîner autour de Travis et j’aimais pas ça du tout. J’étais étouffé par l’impression que mon frère, ma victime m’échappait des mains et j’étais devenu fou. Vraiment. J’l’avais isolé dans un coin et j’l’avais frappé, encore et encore. J’lui avais crié qu’il avait pas le droit d’me le prendre, que Travis était à moi et qu’il devait plus s’aviser de le regarder. Que si j’le reprenais à le mater comme ça, j’lui ferais bouffer ses dents. J’avais bien failli le tuer, heureusement pour lui, un mec était passé pas loin et j’m’étais tiré de peur qu’on me chope. Mais j’suppose que si on m’avait pas coupé dans mon élan, j’aurais pu aller jusqu’au bout. J’aurais eu aucun remord à protéger mon frère, à protéger notre relation parce que c’est bien la seule chose qui m’fait vivre. Il me fait vivre, et je crève à petit feu de l’aimer trop.




Dernière édition par Kiran Deakin le Sam 27 Juil - 14:23, édité 6 fois
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Dali Lazarre
Dali Lazarre

« au moins, les sadiques ne sont pas indifférents aux souffrances qu'ils causent. » kiran Tumblr_inline_n0qmzhzCFO1s3jv8i
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♒ profession : classeuse de morts (réceptionniste aux columbarium )
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MessageSujet: Re: « au moins, les sadiques ne sont pas indifférents aux souffrances qu'ils causent. » kiran   « au moins, les sadiques ne sont pas indifférents aux souffrances qu'ils causent. » kiran Icon_minitimeVen 26 Juil - 18:33

bienvenue ici « au moins, les sadiques ne sont pas indifférents aux souffrances qu'ils causent. » kiran 1467249500
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MessageSujet: Re: « au moins, les sadiques ne sont pas indifférents aux souffrances qu'ils causent. » kiran   « au moins, les sadiques ne sont pas indifférents aux souffrances qu'ils causent. » kiran Icon_minitimeVen 26 Juil - 21:12

bienvenue ici, ton personnage a l'air d'être original comparé aux habituels joueurs des one direction, j'ai hâte de voir ce que tu vas en faire I love you 
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MessageSujet: Re: « au moins, les sadiques ne sont pas indifférents aux souffrances qu'ils causent. » kiran   « au moins, les sadiques ne sont pas indifférents aux souffrances qu'ils causent. » kiran Icon_minitimeSam 27 Juil - 6:16

j'ai hâte que tu puisses me tourmenter. :<3: 
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MessageSujet: Re: « au moins, les sadiques ne sont pas indifférents aux souffrances qu'ils causent. » kiran   « au moins, les sadiques ne sont pas indifférents aux souffrances qu'ils causent. » kiran Icon_minitimeSam 27 Juil - 6:35

merci pour l'accueil I love you 
t'en fais pas mon amour, tu seras pas déçu « au moins, les sadiques ne sont pas indifférents aux souffrances qu'ils causent. » kiran 2168317055 
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Elsie Lattimer
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MessageSujet: Re: « au moins, les sadiques ne sont pas indifférents aux souffrances qu'ils causent. » kiran   « au moins, les sadiques ne sont pas indifférents aux souffrances qu'ils causent. » kiran Icon_minitimeSam 27 Juil - 9:55

Bienvenue officiellement I love you
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MessageSujet: Re: « au moins, les sadiques ne sont pas indifférents aux souffrances qu'ils causent. » kiran   « au moins, les sadiques ne sont pas indifférents aux souffrances qu'ils causent. » kiran Icon_minitimeSam 27 Juil - 11:33

Bienvenue sur le forum !
(Dans Petit pédé de Renaud, il dit à peu près la même chose que la citation de Catherine Bézard, j'suis allée l'écouter du coup, merci o/)
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MessageSujet: Re: « au moins, les sadiques ne sont pas indifférents aux souffrances qu'ils causent. » kiran   « au moins, les sadiques ne sont pas indifférents aux souffrances qu'ils causent. » kiran Icon_minitimeSam 27 Juil - 14:28

merciiii ! eluart, t'as de bons goûts niveau musique, je t'aime bien toi : D
je pense avoir terminé ma présentation.
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MessageSujet: Re: « au moins, les sadiques ne sont pas indifférents aux souffrances qu'ils causent. » kiran   « au moins, les sadiques ne sont pas indifférents aux souffrances qu'ils causent. » kiran Icon_minitimeSam 27 Juil - 16:10

Je fais de mon mieux What a Face 
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Dali Lazarre
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MessageSujet: Re: « au moins, les sadiques ne sont pas indifférents aux souffrances qu'ils causent. » kiran   « au moins, les sadiques ne sont pas indifférents aux souffrances qu'ils causent. » kiran Icon_minitimeDim 28 Juil - 15:37

c'est super d'avoir les deux points de vue des frères pour la scène, avoir avoir lu la fiche de travis aussi « au moins, les sadiques ne sont pas indifférents aux souffrances qu'ils causent. » kiran 2775533418 bref, j'te valide, et encore bravo pour l'originalité « au moins, les sadiques ne sont pas indifférents aux souffrances qu'ils causent. » kiran 1845024407
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MessageSujet: Re: « au moins, les sadiques ne sont pas indifférents aux souffrances qu'ils causent. » kiran   « au moins, les sadiques ne sont pas indifférents aux souffrances qu'ils causent. » kiran Icon_minitimeDim 28 Juil - 15:43

merci beaucoup « au moins, les sadiques ne sont pas indifférents aux souffrances qu'ils causent. » kiran 2416960414 
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MessageSujet: Re: « au moins, les sadiques ne sont pas indifférents aux souffrances qu'ils causent. » kiran   « au moins, les sadiques ne sont pas indifférents aux souffrances qu'ils causent. » kiran Icon_minitime

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