+ seigneur, donnez-moi la force de contempler mon corps et mon cœur sans dégoût. (travis)
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Sujet: + seigneur, donnez-moi la force de contempler mon corps et mon cœur sans dégoût. (travis) Sam 27 Juil - 6:43
TRAVIS DEAKIN
âge : dix-neuf ans. nationalité : britannique. classe sociale : celle des défavorisés. petit boulot : jeune docker au port. famille : une mère, un frère aîné (riley), un frère jumeau (kiran).
en vrac : né un dix-huit décembre ○ allergique aux fruits de mer (disons qu’il préfère les bananes) ○ situation amoureuse outrageusement compliquée ○ possession de son frère jumeau kiran ○ est constamment surveillé par ce dernier ○ tient à lui comme à la prunelle de ses yeux même s’il se sent parfois étouffé ○ il le craint ○ clairement, sa vie tourne autour de lui ○ ne supporte pas que son jumeau soit volage et libertin ○ complètement soumis à lui ○ lui, lui, lui, et encore lui.
wanted, m - maître-chanteur, sur un arbre perché… : par on ne sait quel vil stratagème, tu soupçonnes de plus en plus la nature de la relation travis-kiran. tu penses que les deux frères sont en passe de copuler joyeusement dans leur foyer familial. peut-être as-tu trouvé cela dérangeant, peut-être as-tu trouvé cela excitant. tu sais pourtant que travis n’est pas un mauvais garçon, qu’il est même une crème. tu te méfies par contre de son jumeau, la vipère que tout le monde semble apprécier. pris entre deux feux, tu ne sais plus sur quel pied danser; faire tomber le serpent de son piédestal ou partir à la découverte de ces plaisirs interdits qui te fascinent plus que tu ne saurais l’avouer.
wanted, m - il était une fin… : … toi et moi. une histoire qui avait pourtant bien commencé, jusqu’à ce que mon jumeau kiran s’en mêle. nous nous étions rencontrés sur le port alors que je déchargeais la cargaison d’un petit bateau. tu avais des yeux d’opale qui me fascinaient. c’est là qu’on s’est connus et qu’on s’est aussi perdus de vue. on s’est retrouvés, on s’est réchauffés, puis on s’est séparés. chacun pour soi est reparti dans le tourbillon de la vie. kiran s’en délectait, lui qui t’avait érigé tout en haut de son palmarès d’ennemis jurés. un soir, au son des banjos, je t’ai reconnu. ce curieux sourire qui m’avait tant plu. cette voix si fatale, ce beau visage pâle; tu m’émus plus que jamais. je me suis soûlé en t’écoutant, car l’alcool fait oublier le temps. je me suis ensuite réveillé en sentant des baisers sur mon front brûlant. kiran finira tôt ou tard par l’apprendre, et cela, de ma propre bouche. car même si j’ai de l’affection pour toi, rien ne peut l’arrêter. alors, jusqu’à quel point tiens-tu à moi ?