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 Le gris de la mer || Loup et Cabot

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Wolf Saleos White
Wolf Saleos White

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MessageSujet: Le gris de la mer || Loup et Cabot   Le gris de la mer || Loup et Cabot Icon_minitimeJeu 12 Sep - 21:50



Le gris de la mer.

C’est la bonne humeur, au creux de mes yeux. Mon sourire qui tangue, Tout tangue en fait. Le sol, les visage... La bière au creux de ma main, les regards aussi. Les regards tendres et heureux, brillant de l’alcool et des blagues que j’ai échangé avec le bar man...woman...peut-être... Le bar quelque chose, l’humain derrière le comptoir qui contrôle mes consommations. Enfin, presque. Maintenant, j’ai plus de limite vu que les clés de ma voiture m’ont été prise. Juste au cas où. Je les comprend, je leur en veux pas et tant mieux. Au mieux, je marcherai, au pire, je perdrai pied et je profiterai d’une nuit d’oublie. Je me noie encore, ce soir et ça me plait.

À Douvres, tout le monde me connaît, j’ai l’alcool heureux, toujours les histoires de marins et de bateaux de pêche, forcément, je les attire un peu. Parfois j’arrive dans un bar vide, je discute avec le bar man / woman et au final, quelques personnes entre et se regroupe avec nous en attirant d’autres et encore d’autres. Au final, les pintes s’enchaine et on s’amuse un peu trop.
Les jeunes, parfois, on ce moment de communions presque religieux lorsqu’une chanson populaire passe et qu’ils se mettent à chanter ensemble. Ça me fait rire plus qu’autre chose. Aujourd’hui, je suis de bonne humeur, c’est tout.

Je profite d’un petit moment de détente, une noyade volontaire dans les pintes de noire et de blonde. Quelques rousses frôlent mes lèvres aussi. L’euphorie délicate. Je me suis laisser tenter par un peu de bonheur après avoir vendu un amas impressionnant de poissons. C’est la fête à la plage, en même temps, forcément alors les gens en profite, achète mes produits pour les faire griller sur un feu de bois sur le sable. Rien de mieux qu’un produit de sa mère la mer griller sur un feu de bois, forcément. Un peu de sauce piquante et voilà, quelques frites peut-être, des chips ou rien du tout. J’aurais pu faire quelque chose d’utile avec cet argent; changer de bottes par exemple, les miennes prennent l’eau à l’image de mon coeur, mais non. J’ai pas vraiment besoin de cet argent de toute façon.

Alors j’ai pris le reste de ma soirée de congé. J’aurais pu aller à la plage avec les autres, mais je m’y serais pas sentit à ma place, je pense. Trop de jeunes amoureux, trop de jeunes qui s’amusent, j’ai préféré rester de mon côté pour cette fois. De toute façon, j’ai plein de plaisir aussi.

Je souris beaucoup, je profite de ma soirée sans soucis, un petit bonheur facile à partager. Bettie me trouvait trop sociable, mais c’était des foutaises. Discuter avec les autres me rend heureux et agréable. C’est elle qui était trop coincé, elle qui n’aimait pas que je parle aux autres, à cause des filles j’imagine...

J’aime bien les filles aussi, elles aiment mes tatouages, apprécient mes mots et mes compliments, mon corps aussi. Sans coucher avec moi, elles me trouvent bien conserver et moi, moi je fais mon coq. Je bombe le torse comme un jeunot et je leur raconte les histoires autours de mes tatouages.  La mer, les prénom... Je les drague même pas, non, je me fais des amis, c’est tout. De nouveaux potes sans prénom qui se rappelleront de moi, Wolf. Loup. L’homme qui signe son héritage dans les mémoires vivantes de Douvres.
Même qu’avant la fermeture, on me laisse aller sur la petite scène  du petit bar pour jouer un ou deux morceaux de blues vieillit sur une guitare acoustique grugée par l’univers. Et à la fin, à la fin, on applaudit ma voix rauque de tabac et de bière.

« On ferme, Papy, c’l’heure du dodo. »
Un rire. Doux, masculin aussi. Le mien. Un rire de marin comme je bourre ma pipe et finit de rouler quelques cigarettes pour ma route jusqu’au bateau. Elle est courte, certes, mais je ne saurais jamais me passer de tabac. La voix de la personne ne m’éclaire pas sur son sexe, en fait... J’sais toujours pas si c’est une femme ou un homme, mais bon. Je juge pas. Tant que j’ai de la bière, ça pourrait bien être la belle, la bête ou même Bambi derrière le comptoir, je m’en fous pas mal...

«‘Kay. Y faut, j’suis vieux pour ce genre de chose, putain. »
Encore un rire. De l’autre, cette fois. Drôle d’accent dans les aigus, drôle d’accent dans les grave, aussi.

«N’importe quoi, tu seras encore là jeudi prochain et tu le sais très bien, t’contes pas d’mensonge, papy barbu. »
Un dernier rire. Je souris toujours. Comblé et repus d’alcool. Normalement, ils auraient appelé Cerbère directement. Un genre de «Loup s’est bourré la gueule encore, tu viens le chercher ?» Parfois, j’ai l’impression que c’est le cabot qui prend soin de moi plutôt que moi de lui. Enfin, à son âge, il est grand, il a pas trop b’soin d’un vieux con dans mon genre. Ce soir, j’ai dis que je voulais marcher alors ils me laisseront faire... De toute façon, je risque pas grand chose, à Douvres, j’ai confiance en ma première femme...

Je me suis laisser porter, un peu trop vagabond, par la musique de la ville, tellement que la vieillesse qui me guète me rattrape. Des élancements dans les genoux ont prit la place des mouvements fluides. Je me suis posé, alors, tranquillement. Il est tard et bien que je sache où je suis, j’en ai marre de marcher seul... Toujours seul...

«Cerbère ?» Un petit rire, un peu amusé, j’ai pris du temps avant de réussir à l’appeler avec mon téléphone nomade. Je comprend pas trop ce genre de chose, de toute façon.... Je tire ma pipe et allume le tabac, respirant à plein poumon ma dose de poison agréable pour l’âme.

«‘Faudrait qu’tu viennes me chercher, Cabot. J’sais plus comment rentrer... »
Tout ça amuse drôlement mon petit côté rebelle... L’adolescent qui c’est marié trop tôt...

Cerbère...C’est toujours lui que j’appel en premier... Lui.


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Cerbère du Maurier
Cerbère du Maurier

ATTENTION CHIEN MÉCHANT
alors, ô ma beauté! dites à la vermine qui vous mangera de baisers, que j'ai gardé la forme et l'essence divine de mes amours décomposés !

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Feuille de personnage
♒ âge: on ne le sait pas réellement, certains lui donne la trentaine et d'autres à peine vingt ans.
♒ profession : fossoyeur, croque-mort, gardien du cimetière, fournisseur de poison, de corde aux noeuds coulants et tout autre objets contondants pour vous faire rejoindre les morts.
♒ le choix du coeur: enterré quelque part sous une tombe sûrement


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MessageSujet: Re: Le gris de la mer || Loup et Cabot   Le gris de la mer || Loup et Cabot Icon_minitimeDim 3 Nov - 8:24


entre chien et loup
(BAUDELAIRE) ▽ Aujourd'hui l'espace est splendide ! Sans mors, sans éperons, sans bride, Partons à cheval sur le vin Pour un ciel féerique et divin ! Comme deux anges que torture Une implacable calenture
Le vent qui souffle sur la mer, le vent qui siffle à ses oreilles, le vent qui fouette sur son visage. Le vent, c’est son compagnon d’infortune, celui qui lui murmure les choses qu’il veut entendre. Le vent, ce sont ses mots doux, ses mots durs, ses insultes, ses caresses, tout et rien à la fois. Le vent, il le laisse s’engouffrer dans sa bouche, dans sa poitrine. Il respire l’air frais, l’air pur qu’il apporte. Il le laisse aller dans son corps, dans son cœur. Pour le recracher aussitôt. Ça devient sale, vicié, aux relents malsains. C’est un miasme macabre, à l’arôme putride. Ce sont les cadavres, les corps qui jonchent sous ses pieds, partout où il est. Vous ne le sentirez pas au premier abord, non. De loin, vous le trouverez peut-être charmant, avec ses cheveux en bataille, ses chemises froissées, ses pantalons usés, l’air tout droit sorti d’un autre temps. Malgré ce que le principal concerné peut penser, Cerbère est sans doute loin d’être affreux. Du moins, pas en apparence. Il aura beau rester des heures sous les brises marines, qu’il trainera toujours cette horreur au fond de lui, cet atroce laideur de son intérieur. Plus ou moins visible selon les jours, selon les heures. Non loin, des aboiements, des grognements féroces. Ultime bouffée de cancer. Le vent dissipe les dernières volutes amères. Mégot jeté à la mer. Il s’en fout de la planète, Cerbère. Que l’humanité crève, qu’elle se meurt à petit feu, par ses propres créations, joli cercle vicieux. Cerbère, ça le rendrait presque joyeux. Il se tient au courant des dernières maladies, des nouvelles manières de mourir. Les naissances condamnés, les tératologies avancées. S’il célébrait noël, il aurait sans doute voulu un de ces monstres nageant dans du formol. Mais c’est trop cher, et c’est bientôt l’hiver. Et l’hiver n’est jamais bon pour Cerbère. Les affaires ne sont jamais au beau fixe, moins de suicides et pas assez de morts. Pas de quoi se payer un joli fœtus déformé, ni pour décorer, ni pour étudier. Alors Cerbère, il contente de trainer sa silhouette le long de la falaise jusqu’au cimetière. Là où grogne ses bêtes féroces, ses molosses noirs, l’air tout droit débarqué des Enfers. De ce qu’il en reste, c’est à dire, une sombre carcasse sanguinolente, que les clébards n’ont pas fini de s’arracher, Cerbère vous dira que ce fut sans doute jadis un chat qui s’est égaré par là. On aura beau dire, mais celui là n’était sans doute pas bien intelligent, pour pointer le bout de ses moustaches dans les parages. Cerbère, ne bouge pas, il reste planté là, il observe les chiens qui se disputent les derniers os, les derniers bouts de chairs ensanglanté, avec la même fascination morbide avec laquelle il a pu voir ses parents pendouiller. Il ne rate pas une miette du spectacle, plus concentré que n’importe qui devant un thriller. Le festin tire sur sa fin. Les museaux qui relèvent d’un même mouvement. Les langues roses lèchent les babines et leur résidu de sang. Du chat, il ne reste plus que quelques os épargnés et cette lueur satisfaite dans leurs yeux jaune brillant. Cerbère emporte la carcasse plus loin, près des autres bestioles aux destinés contrariés. Sans croix, sans tombes et sans noms, c’est le cimetière des animaux. Toutes sortes de rongeurs qui n’ont pas couru assez vite, d’oiseaux qui n’ont pas volés assez haut. Il creuse un léger trou, le voilà bien au chaud dans sa nouvelle prison de fer. La nuit s’est abattu il a déjà quelques heures. La lune trône, de son pâle croissant lumineux. Dehors, le silence règne, lourd et pesant. Des silhouettes se découpent, sombres et menaçantes. Immobiles et morbides, ce sont les derniers vestiges des macchabées. Cerbère est assis à sa table, une tasse de café y est posée. Café aussi noir que son âme aussi amer que son esprit. Il attend. Le nez dans le journal, rubrique nécrologie, il fait le compte de ses futurs clients. La sonnerie est stridente. Un des chiens aboie, mécontent. Cerbère laisse encore sonné avant de se lever pour décrocher. « Cerbère ? Faudrait qu’tu viennes me chercher, Cabot. J'sais plus comment rentrer... » Faiblement éclairé à la lumière lunaire, sur ses lèvres se dessinent un sourire carnassier. « Ne laisse pas une blonde t’envoûter avant que je n’ai le temps d’arriver. » Il est moqueur, mais la blonde en question, si elle existait, aura tôt fait de finir six pieds sous terre, pas loin de l’ex-femme de Loup, pour le bien de l’ironie cosmique. Son usuelle veste en cuir sur le dos, il s’enfonce dans la nuit noire, retrouvant le vent fouettant du soir. Il s’engouffre dans son cabriolet crachotant, vestige d’un autre temps. C’était la voiture de papa et maman, probablement même celle de ses grands-parents. L’engin démarre plutôt facilement. Faut croire que Cerbère sait prendre soin de tout ce qui n’est point vivant. Il arrive à la fontaine, charmant édifice de la ville. Il y a cette eau qui coule, l'éternel cycle. Le bruit chiant qui en devient apaisant. Il se fond dans le paysage, comme les pièces au fond de l'eau, jetées par les idiots. Il s'agit de savoir en laisser assez pour qu'on recommence, de prendre le reste pour son propre compte. Mais Cerbère ne regarde pas les pièces au fond de l'eau, ni ne prête attention à la fontaine. Cerbère, il ne regarde que Loup, assis sur le rebord. Il a le nez un peu plissé, à force de s'approcher, l'odeur de l'alcool qui lui parvient au nez. Il se penche vers lui, près, trop près sans doute, pour l’aider à se lever. Il passe même son bras autour de son épaule, pour l’empêcher de tomber. Spectacle incongru pour quiconque qui le connaît. Cerbère et sa haine des contacts physiques. « Putain, Louloup, ton ventre de bière commence vraiment à peser. Essaie de marcher un peu plus droit, je pourrais pas t’porter comme une princesse jusqu’à la voiture. » Il soupire, il faudra un bon quart d’heure pour que son nez cesse d’être aussi congestionné. Tant bien que mal, il parvient à trainer son parrain jusqu’à la voiture, il lui ouvre même la portière et l’aide à s’installer. Cerbère est une bonne âme qu’a du respect pour ses ainés. Sauf que Cerbère, il a sans doute des arrière-pensées, des gestes un peu trop familiers. Sa main qui se pose sur sa cuisse, un peu trop haut. « Ça va aller, Louloup ? On arrive bientôt alors t’as pas intérêt à dégueuler dans la bagnole. » Il le garde au coin de l’œil en surveillant la route. Heureusement, que ce n’est pas bien fréquenté par ici, encore moins à pareille heure de la nuit.
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MessageSujet: Re: Le gris de la mer || Loup et Cabot   Le gris de la mer || Loup et Cabot Icon_minitimeLun 17 Fév - 19:43



Le gris de la mer.

Des rires légers, des soupirs de bonheur, je savais bien qu’il m’abandonnerait pas, lui, en tout cas. J’ai beau avoir tout les potes du monde, barman, tatoueurs, femmes et tout ça, Cabot, c’est le mieux d’entre eux. Il me laisse pas tout seul quand je bois trop, il me borde, même et comble mes nuits de tout solitude quand Betty me manque un peu trop et que ma compagne préférée devient une bouteille de bourdon et quelques joints fraichement roulés.
Enfin, Cabot, c’est mon cabot, quoi.
Avec ses façons tordues et son âme grise foncée et noire pâle. J’l’aime pas mal, quand même. C’un peu bizarre, comme sentiment parce que y’a pas si longtemps que ça, j’aurais jamais crus d’voir élevé un chiot de son genre dans ma vie.
Bettie pouvait pas avoir d’enfant et de toute façon, c’était une grosse vache, une grosse baleine mécontente, pinnochio prit entre ses grosses dents… ou alors rien que le museau rallongé d’un autre, coincé au travers de la gorge.
Mais on a eut Cabot, quand même. Cerbère, le petit chiot mignon et un peu bizarre, toujours en train de chercher la mort dans la vie.
Il a pas trop mal tourné, au final, contrairement à ce que la vieille baleine racontait.

Même qu’à le regarder… Il a très bien tourné. Mieux que bien des cons, en tout cas…
Je suis content de le voir là, du moins. Il m’aide, sourit un peu avec ses façons tactiles et pas trop chiante, amusé avec ses mots et ses phrases marrantes, un peu de travers.

J’suis pas trop, putain, c’mes os qui sont imbibé de bière, c’pour ça que je suis lourd…»

Boudeur, le rire est pourtant au coin des lèvres, il m’amuse autant que l’alcool, le petit, en fait.
Enfin, petit, il est grand, maintenant. Trop grand pour que je l’appels petit ou que je le laisse me trainer sur ses épaules. Bientôt, si ça se trouve, il m’enterrera dans son grand cimetière. Dans un petit coin confortable, okay, Cabot ? Aussi, m’enterre pas avec Bettie. Elle boude encore, j’suis sure, c’te connasse. Elle sert à rien.

Sure c’est pas elle qui serait venu me chercher, en tout cas. Déjà elle conduisait comme une pétasse et après, elle m’aimait pas vraiment. Toi, tu es différent, Cabot. Toi tu es là. T’es pas mort, même si tu l’embrasse avec plaisir.
Je me laisse aller, souriant de savoir que tu es là et que j’ai pas peur que tu meurs demain. Il aime trop la mort pour qu’elle puisse lui faire du mal. Amante, elle est jalouse après tout.
Mon cul se pose donc sur la banquette de la voiture dans un grognement de vieux, dans un son équivoque de mon état d’ébriété. Putain, je suis vieux et bourré…

Aussitôt j’ouvre la fenêtre et pose ma joue sur le rebord de la carcasse roulante. La même odeur, ouais, la même odeur de quand les parents de cabot la conduisait, la même odeur depuis tout le temps, mais avec un arrière goût de terre et de vieillesse.

Je vais pas vomir, c’la voiture de tes parents, se serait vomir sur tes parents… »

Peut-être que ma pensée va trop loin, mais mon regard, sait exactement où se poser, sur la main sur ma cuisse, proche de ce qui pourrait être sensible. Ma main se pose sur ses doigts à lui, serrant un peu les phalanges dans un geste tendre qui, en fait, n’a pas grand chose de paternel…

«C’cool tu sois venu me chercher, t’sais… »


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