les monstres sont réels. les fantômes aussi. ils vivent en nous - et parfois, ils gagnent.
NOM(S) - mon nom, c'est bright. je déteste. PRÉNOM(S) - saga, mon deuxième prénom c'est kevy mais bon, il me sert pas à grand chose. AGE ET LIEU DE NAISSANCE - j'ai dix-huit ans, j'suis né ici, j'ai jamais eu l'occasion de me barrer d'ici. NATIONALITÉ - je suis anglais, ça se voit à ma gueule. STATUT CIVIL - je suis célibataire, je n'ai jamais été en couple. ORIENTATION SEXUELLE - un trou, c'est un trou. MÉTIER - je viens d'arrêter mes études, je suis caissier dans un petit super marché. faut bien vivre. GROUPE - coeur las. AVATAR - sylvester ulv.
Le chant de l'âme
saga est un drôle de type. c'est une contradiction insensée. c'est un rêveur. il faut s'en méfier. il rêve de célébrité. il veut être reconnu à sa juste valeur par le monde entier. mais ses rêves se sont dissipés depuis son agression. il a radicalement changé. il s'est enfoncé dans sa dépression. il ne peut plus se contenter de sa vie. il en veut plus. tellement plus. mais il perd espoir. il commence à douter qu'un jour il arrivera à faire quelque chose de sa vie. un peu pessimiste sur les bords le petit saga.
il a toujours été très attiré par la mort. allez savoir pourquoi. il a déjà tenté plusieurs fois à sa vie, mais sans succès. il est très manipulateur, il peut donc faire croire aux psychologues qu'il a repris goût à la vie, et de cette façon, ils l'ennuient un peu moins. il est débrouillard.
il s'en fout de tout. il ne se pose pas de question. il est pas chiant, il s'habitue à tout. il peut paraître froid, distant, déconnecté mais dans le fond, il ne demande qu'à être aimé.
Sous l'océan
PSEUDO - captain psycho, mais appelez moi par mon prénom, alan. ÂGE - j'ai dix-sept ans. T'AS CONNU LE FORUM OÙ - dans la bible, à la page 666. COMMENTAIRE(S) - il est balèze en vrai. ça donne envie. POISSON PRÉFÉRÉ - j'adore le thon, avec de la mayo.. CODE AVATAR -
tu te fais traîner dans ce long couloir, sombre, lugubre, sinistre. les gens hurlent. ils crient ton nom, même ton prénom. tu n'en connais aucun. ils te connaissent tous. tu es désormais une célébrité saga, tu es parvenu à, non pas simplement effleurer ton rêve, mais à le ressentir, à la vivre dans chacun des battements de ton coeur. tu as tout compris à l'incompréhensible marché de la célébrité mon bonhomme. l'amour, la loyauté, le partage sont des notions à oublier. tu es quelqu'un maintenant. tu n'es plus simplement saga. tu es l'allégorie du sang et de la peur.
ils te tiennent par les bras. tu as des lunettes de soleil pour ne pas te faire agresser par les flashs des paparazzis. tu ne souris pas. et tu ne pleures pas non plus. tu restes fidèles à toi même ; tu ne ressens rien. tes pas sont si lourds. tu as comme l'impression que le contact de tes pieds au sol provoque un séisme que seul ton cerveau ressent. tu vis un enfer. tu es en enfer. satan t'as délicieusement violé de son ardente violence et te voilà meurtri. quel dommage saga. tu n'es plus le même. tu ne seras plus jamais le même. tu es saga, le cinglé, le taré, le malade mental. mais peu importe, tu es surtout une célébrité. à toi l'argent, la richesse, le luxe et les paparazzis - ce dont tu as toujours rêvé. t'es pourtant pas heureux. tu ne l'as sûrement jamais été. t'aimes encore moins la vie. un peu dépressif. un peu suicidaire. pendant un instant, le temps d'une poignée de quelques secondes, tu idéalises la pendaison. la corde autour de ton cou, tes pieds qui s'agitent dans le vide et tes pitoyables gémissements. parfait. une mort parfaite. maître de son destin jusqu'au dernier souffle..
tu lèves tes yeux et tu lis promptement dans ta tête ces quelques mots qui t'attaquent comme la lame du couteau qui a transpercé ton épaule gauche la semaine dernière. hôpital psychiatrique de douvre. tu baisses les yeux et regardent attentivement les gardes qui retiennent ton évasion, qui étouffent ta liberté sanglante. tu n'es pas fou saga. je t'en supplie, crois moi. tu ne l'es pas, toi.
tu rentres dans l'établissement. des infirmières cassant avec ferveur le mythe de celles qui sont sexys et qui se font sauter par les docteurs. un médecin s'avance vers toi - et tes gardes du corps. il te sourit. tu as envie de lui cracher à la gueule. tu ne veux pas de sourire. tu ne veux pas de lui. tu ne veux pas de cet endroit. connard. tu hurles. salopard de merde. tu te débats. lâchez moi bande de fils de pute de sheitan. tu parviens à frapper l'un des gardes du corps et tu comprends qu'il ne s'agit pas de gardes, mais d'infirmier. ils ne te retiennent pas parce que tu es une star et que tu pourrais être en danger, mais bien parce que tu es le danger. le rêve est terminé. ta célébrité est ta folie. ta folie est célèbre. lâchez moi ! je vais tous vous buter ! je vous le promets ! je vais vous enculer, un à un, et je vais vous trancher vos gorges de petites putes ! tu gesticules comme un névrosé, tu essaies de partir, mais une infirmière arrive et ce qu'elle a dans sa main ne fera qu'empirer ton mal être. une seringue. elle la plante brusquement dans ton bras. tu faiblis. tes yeux se ferment doucement. tu dors littéralement debout.
tu n'as pas envie de raconter ton histoire. elle est si personnelle. saga, tu étais tout de ce qu'il y avait plus de banal dans ce monde et en l'espace d'une semaine ou deux, tes aventures ont fait le tour du pays. tu n'es plus passionné, mais tu n'as jamais été tant passionnant. tu t'es toi-même enfermé dans cet asile. sors-y si tu en as envie. tu sais commet faire. prouve leur que tu es plus lucide qu'eux.
tu plantes alors tes yeux sur le psychiatre qui s'occupe de toi depuis ton arrivée. tu aimerais le tuer. voir sa tête rouler sur le sol, ça te ferait jouir. tu souris à l'idée. tu souris longtemps sans même prononcer un mot et en ne le quittant pas des yeux. tu le détestes. tu te détestes. tu détestes absolument tout. le médecin attend. il s'apprête à écouter ton récit. c'est le moment. libère toi saga. tu peux le faire. tu n'as qu'à raconter ce qu'il t'a fait. tu n'as qu'à lui décrire le sang, les cris et la mort.
tu inspires longuement et porte ton intention sur le vent qui fouette les branches des arbres par la fenêtre. je ne m'entendais pas avec mon frère. j'sais pas. ça collait pas. vous allez me dire que c'est normal, entre frangin, on s'entend rarement bien. mais là, c'était plus fort que ça. plus que de la haine. il y avait ce truc en plus, dans ses yeux. je pouvais carrément lire l'envie qu'il avait de me voir crever à ses pieds. je le détestais. tu te tais. tu en as assez dit. tu as trop parlé. tu n'aimes pas te livrer aussi facilement. t'es pas quelqu'un de bavard. tu le sais.
tu regardes les tableaux, les affiches sur le mur à la tapisserie drôlement démodée. cette pièce est étouffante. tout, ici, est étouffant. tu veux juste capter l'essence même de la vie, mais cela te semble impossible. ici, rien n'est possible. on se battait souvent. mais quand je le frappais, j’espérais pas simplement lui faire du mal pour lui montrait qui était le plus fort, non. je voulais le tuer monsieur. tout simplement. je voulais l'étranger, lui tirer dessus, le planter, le brûler. je voulais sa mort docteur. c'était lui, ou moi. mais l'un des deux devaient mourir. tu avales promptement ta salive. tes yeux s'humidifient au fur et à mesure de tes paroles. j'étais moins fort que lui. il le savait très bien. j'étais plus jeune quoi. j'avais toute l'intention de maman. il était jaloux. il me répétais souvent que notre père était parti à cause de moi. mon frère avait sept ans quand il s'est cassé, j'en avais quatre. j'ai plus de souvenir de lui. je m'en fous. mais pas lui. mon frère en souffrait. et quand il me frappait, il hurlait que papa lui manquait. c'était effrayant, mais ça m'excitait.
deux semaines auparavant. il est là devant toi. tu es couché sur ton lit. il t'effraie, bien que tu ne lui avouera jamais. tu défies pourtant son regard. ça t'excite. le défier. le détester. le haïr. il te sourit alors. il fait nuit noir. il est tellement tard. tu n'arrivais pas à trouver le sommeil. visiblement, ton frère non plus. il vient doucement se glisser sur toi. il fait trop chaud pour se couvrir d'une couette. tu n'es vêtu qu'un débardeur et d'un slip. il est nu. ça ne te choque pas. tu es habitué à le voir nu. ton frère est beau. il fait glisser ses douces lèvres le long de ta cuisse, et toi, tu glisses tes doigts dans ses cheveux fins. tu plisses tes lèvres machinalement. c'est ton frère, mais tu t'en fous. tu te fous de tout. t'es comme ça. il vient juste se coller à toi. ton dos est collé à son torse bouillant, sa main glisse sur tes fesses qu'il caresse. ça te fait du bien, tellement de bien. il t'envoûte. il te susurre des mots excitants. tu deviens fou. fou de rage. tu le détestes. alors, tu te lèves. tu allumes la lumière de ta chambre et tu lui demandes de se casser. il hoche négativement la tête, mimant la masturbation, la baise, la fellation, la passion sur ton lit. sa langue s'agite devant toi. tu le trouves dégoutant. il t’écœure. tu n'as le temps de réagir qu'il se lève pour te jeter contre ton lit. tu grimaces de douleur, car ce fumier t'as vraiment littéralement jeté. t'es sur le ventre. il retire bestialement ton slip et c'est à ce moment là que tu commences réellement à paniquer. il vient se glisser sur toi. il faudrait être idiot pour ne pas comprendre ses intentions. c'est rapidement qu'il entre en toi. tu es vierge. tu hurles. de douleur ? oui. de plaisir ? aussi. tu aimes ça, détester ça, t'aimes ça. tu ne comprends pas. tu te débats, parce que c'est ce que toutes personnes censées feraient, mais au fond de toi, tu le supplies de continuer. ses pieds bloquent les tiens, ses mains les tiennes. prisonnier de ton frère, de ton ennemi, de ton amant.
tu cris. tu hurles et tu réussis à lui donner un coup de tête - la sienne étant juste au dessus de la tienne -. il tombe sur le côté et se détache de toi. tu as le temps de te lever et de te sauver de la chambre. il hurle ton prénom. tu sais que tu vas payer ton geste. pourquoi cours-tu ? tu as adoré ça. pourquoi t'es-tu sauvé ? tu es fou. comme ton frère. il est derrière toi. la maison n'est pas bien grande. trouve les clefs et barre toi de là. à droite, à gauche, au salon, dans la salle de bain, il te poursuit et tu n'arrives pas à trouver ce putain de trousseau. la rage se fait sentir dans la façon dont il s'égosille en criant ton prénom. tu vas sûrement mourir ce soir. trop tard, tu es pris. il te pousse contre le mur. tu t'éclates contre et glisse à terre. il tire ton pied et te fait traîner dans le salon d'une violence inouïe. maman n'est pas là pour te sauver cette fois-ci. personne n'est là. tu cris. il rit. tu es à lui. tu dois le respecter. tu dois vivre pour lui. tu donnes un coup de pied dans sa taille, espérant pouvoir viser ses parties sensibles. bingo. il te lâche. à quatre pattes, t'essaie de te relever pour accourir mais il t'attrape par les cheveux et fait frapper ta tête contre le mur. ton nez est brisé, tu saignes, te voilà déjà amoché. tu le supplies d'arrêter. il te prend dans ses bras musclés et te coince dans le divan. t'es pris au piège. t'es face à lui. tu pisses le sang, et il vient napper de sa langue le sang qui émane de ton nez. t'es dégouté. il écarte brusquement tes cuisses et te pénètre d'un coup sec. tu t’époumones à crier. le sang ruisselle le long de ton corps. il te fusille du regard. t'as juste le temps de prendre le vase posé sur la table à côté et l'éclater sur sa tête. il tombe à terre. il bouge plus. tu pleures. tu chiales. hystérie incontrôlée. tu cherches ses maudites clefs. tu ne sais pas où elles sont. tu cries de rage. putain. là. devant toi. dans le panier à la cuisine. les clefs. tu les serres dans ta main en ne lâchant pas le corps errant de ton frère des yeux. tu accours vers la porte et tu tentes de glisser la clef dans la serrure mais une intente douleur te prend à l'épaule. le feu, la pendaison, la noyade, le gaz, tu ressens tout. tu te retournes et tu vois ton frère, un couteau ensanglanté à la main. du sang découle de ton épaule. il t'a planté. tu cris de douleur. l'insulte. la douleur te provoque. te faire mal résume à te faire faire du mal. tu rentres en furie. t'es incontrôlable. tu lui rentres dedans. tu le claques. il se défend avec la lame de son couteau. tu te recouvres d'entailles au fur et à mesure du combat. tu t'en fous. tu veux sa mort, quitte à crever toi aussi. tu le pousses de toute ta force en t’époumonant et tu tombes à terre. la scène se déroule lourdement, lentement. tu le vois. il perd son équilibre. ton frère bascule en arrière. il tombe. une fenêtre en verre derrière lui. défenestration. il chute. tu ne le vois déjà plus. tu entends juste ton prénom qu'il hurle une dernière fois. tu restes allongé quelques secondes par terre. essoufflé. apeuré. tu as tué ton frère saga. tu es un monstre. tu te lèves en grimaçant, tu es recouvert de sang. la fenêtre est brisée. ta vie aussi. tu regardes dehors. en bas. la mer. il fait nuit. l'eau est agitée. la chute a été mortelle. ton frère est mort. tu es un meurtrier. tu prends le téléphone, et c'est calmement que tu composes le numéro de la police. tu marmonnes quelques mots. j'ai tué mon frère. venez me chercher. lors de ta déposition, tu expliqueras tout, tout, absolument tout. tu sauteras la partie où tu avoueras avoir aimé te faire violer. l'hôpital. le commissariat. l'hôpital psychiatrique. tout le monde s'intéresse à ton histoire. les frères maudits. la jalousie. la haine. ton nom pend à toutes les lèvres. tu es un survivant. un héros. mais tu le sais très bien, dans le fond, tu n'es pas une victime, tu n'es qu'un tueur saga.
Dernière édition par Saga Bright le Jeu 27 Juin - 11:04, édité 7 fois
Dali Lazarre
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Feuille de personnage ♒ âge: vingt-trois ♒ profession : classeuse de morts (réceptionniste aux columbarium ) ♒ le choix du coeur: brisé. jeté. fracassé.
Sujet: Re: L'ENFANT SAUVAGE. Mer 26 Juin - 20:00
ah putain, tu donne envie de jouer à loup-garou, avec un titre pareil bref, bienvenue ici, j'kiffe ta tête, sylvester est trop parfait j'ai bien hâte de lire la suite
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Sujet: Re: L'ENFANT SAUVAGE. Mer 26 Juin - 20:34
Ta citation de malade Et ta bouille. Bref, je t'aime déjà toi. Bon courage pour ta fiche.
Cerbère du Maurier
ATTENTION CHIEN MÉCHANT
alors, ô ma beauté! dites à la vermine qui vous mangera de baisers, que j'ai gardé la forme et l'essence divine de mes amours décomposés !
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Feuille de personnage ♒ âge: on ne le sait pas réellement, certains lui donne la trentaine et d'autres à peine vingt ans. ♒ profession : fossoyeur, croque-mort, gardien du cimetière, fournisseur de poison, de corde aux noeuds coulants et tout autre objets contondants pour vous faire rejoindre les morts. ♒ le choix du coeur: enterré quelque part sous une tombe sûrement
Sujet: Re: L'ENFANT SAUVAGE. Jeu 27 Juin - 7:42
OH SIMONE, ELLE EST BONNE ton prénom m'fait penser à SEGA bienvenue parmi nous, sinon, hâte de voir la suite
Invité
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Sujet: Re: L'ENFANT SAUVAGE. Jeu 27 Juin - 7:51
oh, vous êtes trop adorables james dean étant mon acteur favori, mon idole, ma raison de vivre, je me dois de te demander le meilleur lien de ta misérable vie
Cerbère du Maurier
ATTENTION CHIEN MÉCHANT
alors, ô ma beauté! dites à la vermine qui vous mangera de baisers, que j'ai gardé la forme et l'essence divine de mes amours décomposés !
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Sujet: Re: L'ENFANT SAUVAGE. Jeu 27 Juin - 7:58
oh comme tu m'fais envie, avec une phrase comme ça
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Sujet: Re: L'ENFANT SAUVAGE. Jeu 27 Juin - 9:14
il fout un peu les ch'touilles, ton Saga, mais il m'intrigue surtout.
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Sujet: Re: L'ENFANT SAUVAGE. Jeu 27 Juin - 9:45
il est pas vraiment méchant, quoi que
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Sujet: Re: L'ENFANT SAUVAGE. Jeu 27 Juin - 9:59
"les monstres sont réels. les fantômes aussi. ils vivent en nous - et parfois, ils gagnent." Magnifique
Bienvenu, et j'ai hâte de voir ce que tu vas faire de cette merveilleuse bouille
Invité
Invité
Sujet: Re: L'ENFANT SAUVAGE. Jeu 27 Juin - 11:05
stephen king mon histoire est terminée - j'suis pas super fière mais j'suis trop pressé de rp -, je finis ma fiche dans l'après midi !
Elsie Lattimer
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Feuille de personnage ♒ âge: 18 ans ♒ profession : serveuse dans un bar ♒ le choix du coeur: le coeur ne choisit rien
Sujet: Re: L'ENFANT SAUVAGE. Jeu 27 Juin - 12:31
pfiou l'histoire de fou ! Il nous faudra un lien, obligé Bienvenue ici !
Invité
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Sujet: Re: L'ENFANT SAUVAGE. Jeu 27 Juin - 13:00
vu comme t'es canon, j'peux pas refuser
Dali Lazarre
♒ messages : 345
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Feuille de personnage ♒ âge: vingt-trois ♒ profession : classeuse de morts (réceptionniste aux columbarium ) ♒ le choix du coeur: brisé. jeté. fracassé.
Sujet: Re: L'ENFANT SAUVAGE. Jeu 27 Juin - 13:26
mon dieu, mais quelle histoire ton personnage est sublime, je l'aime et j'ai bien hâte de voir ce petit en action bref, t'es validé. Amuse toi bien
Invité
Invité
Sujet: Re: L'ENFANT SAUVAGE. Jeu 27 Juin - 13:34
trop cool ! merci
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Sujet: Re: L'ENFANT SAUVAGE.
L'ENFANT SAUVAGE.
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