Been wasting all my time, Watchin' my youth slip away Surely is a crime. ▲ Alex Clare
NOM(S) - White PRÉNOM(S) - Wolf Saleos AGE ET LIEU DE NAISSANCE - entre 35 et 45 ans. NATIONALITÉ - Anglo-écossais. Je ne suis plus anglais qu’écossait. Je n’ai jamais passé plus de deux mois en Écosse sans avoir envie de foutre le camps. Je déteste la pluie, je déteste les moutons et je déteste l’odeur de la nourriture Écossaise. Je ne porterai jamais de kilt et je ne jouerai jamais de putain de cornemuse. C’est pas de la musique, c’est du bruit. STATUT CIVIL - Veuf ORIENTATION SEXUELLE - C’est la mer qui me porte. La seule femme... Restante, dans ma vie. C’est une belle pin up aux hanches larges et accueillantes, à la peau douche et aux mèches bouclées que j’ose tromper avec ce jeune fringuant qui s’offre luxueusement à mon regard. Tant qu’ça jouit, ça me va... MÉTIER - Un peu pécheur, un peu commerçant, un peu poissonnier, un peu héritier, un peu retraité, un peu vieux loup de mer, un peu mécanicien de moto, un peu moralisateur, un peu professeur de la vie, un peu de tout, un peu compliqué... GROUPE - écrire ici. AVATAR - Miles Better
Le chant de l'âme
Je me suis assit tranquillement sur la surface mouillée de mon bateau. Il était blanc, avant, maintenant il est gris. Comme ma barbe, comme mes cheveux. Ils étaient châtains et avec le temps et le manque d’intérêt, ils ont vieillit et j’ai rien fais pour les en empêcher. Je suis pas vieux, je suis pas jeune non plus, j’ai juste décidé que maintenant, j’en avais marre. Marre de la pluie qui tombe sur mon imperméable beige et qui salie le foulard de femme qui entour mon cou. L’eau est glaciale alors qu’elle glisse tout de même sur mon torse, sous mon teeshirt. Les cuisses ouvertes, ma canne à pèche y trône sans que je n'attrape rien, je bois une bière, ma troisième depuis le matin, les poissons n’aiment pas la bière, j’imagine. Ni les bouchons de bouteille, je pense, j’essaie toujours de les appâter avec un morceau du métal que j’ai plié entre mes doigts, sauf que ça fonctionne jamais. Peut-être que c’est pour ça que je le fais aussi, pour les laisser vieillir comme moi, sans le réaliser. La routine m’agresse et je ne fais rien pour l’en changer. J’aime ma vie, j’aime ne pas avoir de temps à perdre parce que je n’ai rien de mieux à faire que d’attendre le voir passer. « Counting flowers on the wall, that don’t bother me at all. » Plus tard peut-être, aurais-je le courage fou de me lever et de me diriger au cimetière. Elle m’y attend... Sage comme le bouquet de roses sur sa tombe maladroite.
Sous l'océan
PSEUDO - RomieFeather PRÉNOM - Zou. ÂGE - 21 ans T'AS CONNU LE FORUM OÙ - ICI COMMENTAIRE(S) - NICE TITS. POISSON PRÉFÉRÉ - Ton CODE AVATAR -
Code:
<pris>Miles Better</pris> <ppn>♒ Wolf Saleos White</ppn>
Dernière édition par Wolf Saleos White le Sam 7 Sep - 23:41, édité 6 fois
I like the sound you make, when you shut up ▲ Grumpy cat
Le son de l’eau est constant à Douvres. Je l’entends en me levant le matin dans mon bateau et quand je m’y couche le soir. Il est là, comme un fantôme. Quand je quitte le bateau, il me suit jusqu’au village et sur le chemin du retour aussi. Je l’entend sans l’écouter parce qu’il n’est qu’un murmure de la routine qui m’ennuie un peu trop. J’ai des rêves confus de mon corps flottants entre les vagues rejeter sur contre la falaise grise ne serait-ce que pour me débarrasser de l’ennuie constant.... Pour le tuer, littéralement. C’est même pas la solitude qui m’embête. Comment est-ce qu’elle le pourrait ? Je ne suis seul que lorsque je quitte la maison familiale flottante pour faire un tour sur la terre ferme sur ma moto noire et blanche. C’est elle l’amour de ma vie, « Bettie ». Elle fait tourner les têtes des belles qui m’aident à faire passé l’ennuie, un peu.
L’éducation ? Je ne vais pas en cours, je n’y ai jamais mis les pieds plus de quatre semaines par année. Mon père à besoin de moi à bord et de toute façon, ça ne m'intéresse pas du tout. J’assimile ce qu’ils apprennent assit en cours en le vivant tout les jours... La géographie pour les voyages de pèches de mon père qui n’a jamais su abandonné son métier malgré l’héritage familiale. Les mathématiques pour les cordonnés et pour calculer le prix des poissons et les taxes, ce genre de choses... Je ne sais peut-être pas lire, mais à quoi ça me servirait ? À rien. À rien de pratique, à rien qui me ferait gagner plus d’argent rapidement. C’est tout ce qui m'intéresse à mon âge. C’est tout ce qui intéresse tous les garçons de mon âge, de toute façon. Faire de l’argent et rencontré des filles... Des garçons aussi, dans mon cas...
Le matin, mon père se levait, prenait sa première bière pour le petit déjeuner, se glissait sur le pont, sortait ses filets et préparait le bateau de pêche, s’installait à la barre et nous guidai là où il en avait envie. Généralement, il ne suivait pas les routes maritimes déjà dessiné. Il s’en foutait un peu, de toute façon, nous n’allions jamais suffisament loin pour risquer de se perdre, mais suffisamment pour que Douvres me semble éloignée. Ça me suffisait. Ça me suffisant pour quitter la maison et la routine un peu sans pourtant en sortir totalement... Si je voulais pas jouer les pêcheurs, suffisait que je prennes ma moto le matin avant que le bateau ne quitte le port...
Mes doigts s’enivraient de la chaleur de sa peau. Le rouge carmin de ses lèvres a laissé des marques sur mon cou et ma peau. Ses cuisses se sont serrées autour de mes hanches... Son souffle soupire mon prénom contre ma bouche, elle m’appelle, m’envie, m’attire de ses lippes sucrés. Elle vole l’oxygène de mes poumons, anime l’éclaire d’envie dans mon regard... Ses griffes caressent le creux de ma tête, racle mon cuir chevelus comme elle en réclame d’avantage, me fait la promesse de ne jamais me relâcher. Mon rire s’échappe et s’échoue contre la chute de son cou... Je connais le chemin sur le bout des doigts. Je l’ai tatoué sur la paume de ma main qui remonte naturellement le galbe tendre de sa cuisse, agrippe ses cuisses et réaffirme ma possession sur son corps.
Elle me connait mieux que personne et pourtant c’est la première fois que nos corps se mêlent. Bettie. Comme ma moto. Son prénom est parfait. Parfait comme sa façon de tirer mes cheveux en se cambrant contre moi. Sa jupe est remontée à sa taille, découvre mon corps contre le sien, épousé d’elle.
Et soudainement. Elle est là. La panique sourde, l’angoisßse. Mon regard croise ses paupières fermées. Elle est belle. Si belle contre le capot d’une voiture qui ne m’appartient pas. Pourquoi ferme-t-elle les yeux ? Le plaisir la prend, mon regard ne la voit pas. Ne peux-tu pas me regarder, Bettie ? J’ai peur. J’ai peur quand je ne te vois pas me voir, quand je ne sais pas que tu ne vois que moi... Mais le rideau de l’aveugle ne s’ouvrira jamais. L’amour rend aveugle, après tout. N’est-ce pas ? Ses lèvres cherchent ma tempe, m’agrippent par la tête, m’embrassent, tendrement, passent sur ma joue, contre mon cou... Je me tends davantage et cache mes yeux contre son cou pour qu’elle ne voit pas que j’ai gardé les yeux ouverts comme je m’enfonce une fois de trop, m’encrant à sa chaire pour de bon. Elle frissonne, gémit et soupire. À bout de souffle, elle m’appelle plus tendrement. Me remercie. Pourquoi elle me remercie ? Ne sait-elle pas, pourtant que je suis égoïste comme un putain de porc ? Ouvre les yeux, Bettie, l’amour t’aveugle de trop. J’ai pris mon pied, j’ai pris ton corps comme mien, pour de bon. Tes doigts frôlent la bague qui sert mon doigt alors que je me détache de toi et remonte mon pantalon. Elle sourit, m’embrasse et rit avant de prendre ma main et d’embrasser le dos de mon pouce dans ce geste qui lui vient tellement facilement, désormais. C’est sa marque, ce qui m’a fait craquer quand on c’est rencontré la première fois. Je m’étais coupé et elle avait eut l’obligeance d’un baiser pour chasser la douleur et voilà qu’on était fiançé. On était peut-être trop jeune pour sauter le pas, d’ailleurs. P’pa aurait pas été d’accord. Mais il est mort au cours de l’été de mes 18 ans. Majeur, je vis seul sur mon bateau. Enfin, non, Bettie vit avec moi, maintenant. Pas officiellement, certes, mais presque.
Elle sourit, je sais qu’elle y pense. Sa tête s’appuie contre mon épaule alors que mon bras se pose sur sa hanche et la tire à moi. J’ai envie de la conduire, de l’emmener sur ma moto sur la falaise pour la noyer dans le bruit de l’eau, qu’elle se serre contre moi et embrasse ma nuque. Comme quand on se mariera. Minos sera mon garçon d’honneur et sa copine sera la demoiselle d’honneur ... On se mariera et c’est tout.
Dernière édition par Wolf Saleos White le Jeu 11 Juil - 0:49, édité 5 fois
You keep it on the inside ‘cause that’s the safest place to hide ▲
Les fantasmes et les espoirs de l’adolescence sont tombés. Ils ont coulés comme le temps à défiler. J’ignores si j’ai sus en profiter suffisamment et si je saurais rattraper les rêves que j’ai laisser filer, encore. L’univers ne c’est pas arrêter comme on m’avait dit qu’il le ferait le jour où tout s’écroulerait. Peut-être que tout ne c’est pas encore complètement écroulé. J’imagine que le couple qu’on enterre aujourd’hui n’est pas le monde entier. Ils sont mes meilleurs amis et pourtant, je ne bronche pas. Bettie est en larme et les petits sont là. La gamine de Minos, Dorothée, s’accroche à ma femme comme Cerbère cache son visage dans son manteau, emmitouflé comme une armure pour le protéger du mal et de la vision de ses parents au fond de leur tombe, dans leurs petites boites fermées et impossibles à ouvrir. C’est finit, maintenant. Finit pour de bon. Je sais qu’il ne pleure pas comme sa soeur qui s’agrippe toujours plus à Bettie. Il doit comprendre pourtant, que ses parents sont mort. J’imagine que c’est le choc de la perte, la confusion du silence qui s’installe pour de bon... « Il pleura plus tard », j’essaie de m’en convaincre. Minos et sa femme se sont suicidés et c’est les enfants qui les ont trouvé. Cerbère le premier à sut son regard baigné de l’horreur de trouver ses parents pendus. Sa soeur est venue le chercher et maintenant que les parents ne sont plus là, c’est à moi d’en prendre soin. Pourquoi ? Parce que je suis le parrains et qu’on ne refuse pas ce genre de chose à son meilleur ami décédé. Ni à ces putain de rejetons abandonner. Si je ne pleures pas c’est que la colère à prit le dessus sur le dénie et le rejet de leurs décès. Les histoires d’orphelins sont toujours touchantes, même pour moi... D’autant que Bettie qui n’a jamais pu enfanté prenait son nouveau rôle un peu trop sérieux. Mère poule, elle étouffait Cerbère qui vivait avec nous alors que Dorothée était partie ailleurs, vivre avec d’autres gens. C’était son choix et honnêtement, ça ne me posait aucun problème.
On demanda au petit de jeter la première poignée de terre sur le coffre de bois contenant ses parents. Quelle tristesse et horreur. Mon coeur devenu terreux par les pertes et l’amour ingrat de Bettie se serra devant cette triste image de l’orphelin. J’en suis presque content d’exister rien que pour laisser à cet enfant le droit de dire qu’il n’est pas seul au monde. Ses doigts se serrent sur la terre juste avant de le laisser tomber au fond du trou et c’est un bout de nous tous qui s’échoue avec lassitude. Peut-être est-ce l’instinct paternel ou la tristesse de la situation, mais je l’aime, maintenant, ce petit chiot perdu. Il ne m’appelle pas «papa», d’ailleurs, il m'appelle «Lou» ou «Loulou». C’est pas mon surnom préféré, mais je saurais pas lui refuser cette petite faveur. C’est le seul à m’appeler de cette façon, de toute façon.
Bettie, elle, ne l’aime pas. Elle ne m’aime pas non plus. Son affection, son envie de moi c’est essouffler avec le temps. Elle a rapidement arrêter d’avoir envie de moi. La beauté de l’amour c’est enlisé dans le sale de la haine. Je sais pas pourquoi elle reste encore et pourquoi je la laisse resté. Surement par habitude. Au départ, c’était l’habitude de l’amour et des caresses, la routine agréable des mots doux et peu à peu, la routine tout court. Puis, les mots tendres sont morts et les insultes sont arrivés. «Imbécile», «alcoolique», «vieil emmerdeur» ont prit le dessus sur nos vies. Elle ne supporte pas les moments de vide de Cerbère ou son obsession pour la mort et pour moi. Il va bien, c’est tout ce qui compte, il est heureux, c’est tout ce qui compte. C’est pourtant une source d’engueulade dans la maison. Elle dit que je l’encourage dans sa démence, mais personnellement, je pense pas qu’il soit fou. Il est différent, c’est tout, il ne mérite pas les engueulades de Bettie et encore moins ses regards mesquins.
Life is devine chaos. Embrace it. Forgive yourself ▲
J’ai finis par l’ignorer tout simplement. Elle criait, je soupirais. Elle m’insultait, je soupirais. Soupirer était devenu ma façon de communiquer. J’ouvrais ma bière en soupirant, je la regardais fumé en soupirant Je l’ai vu ramener quelques conquêtes à manger à la maison, m’appeler son «colocataire» avant de la voir ressortir de la maison en soupirant et petit à petit, je l’ai vu dépérir en soupirant. J’ignore ce qui c’est passé où comment c’est arrivé. La vie à simplement glisser hors d’elle comme la maladie prenait toute la place. Son parfum autrement si délicat à prit les accents du tabac de mauvaise qualité qu’elle fumait plutôt que de partager avec moi. Elle toussait, prétextant une grippe ou une sinusite. Puis, la santé revenait et elle n’en était que plus aigrie et désagréable, allant parfois jusqu’à me gifler si je prenais le mauvais ton de voix avec elle, les rares fois ou j’osais ouvrir la bouche. Sa voix si tendre à mon égard n’avait plus que les accents de la haine et de la violence.
Son comportement n’avait rien d’exemplaire avec Cerbère non plus. Au fond de ses iris, je voyais qu’il ne la supportait plus. Il ne l’avait, de toute façon jamais vraiment apprécier... Entre eux il y’a pas d’amour vache, il n’a que qu’un peu de tolérance et encore, parfois c’est trop, autant pour lui que pour elle. Il pourrait partir et rejoindre sa soeur, sauf qu’il reste et j’sais pas pourquoi, n’importe qui serait parti.
Peut-être... Peut-être qu’en fait, c’était sa façon de partir. Après tout, personne n’explique vraiment ce qui c’est passé. Personne ne sait vraiment exactement ce qui c’est passé.
Je me souviens de la pluie parfaitement bien. Je me souviens des gouttes qui tombe comme si le ciel pleurait la putain de perte qui n’est pas la sienne. J’aurais dû pleurer aussi, j’imagine, mais les larmes ne venaient pas. Mes yeux restaient secs, encore. Voila qu’avec elle, on enterrait les derniers détails de ma vie. Je n’avais plus de meilleurs amis et plus de femmes, j’étais un... Un semblant de père pour un adolescent et j’étais vieux avant de l’être vraiment. On me soupçonnait de la mort de Bettie comme elle avait été empoisonnée et comme notre relation avait prit un tournant drastiquement tragique comme elle menaçait de me divorcé dès que lui donnais l’impression de résister ou, que je ne répondais pas à ces attentes. De toute ses vacheries, c’était celle qui m’affectait le plus. Parce que malgré tout je l’ai aimé, je l’ai marié... À mes yeux c’était la seule et voila qu’elle crevait comme une putain quelconque.
Les policiers passent encore souvent à la maison et me pose encore et encore les mêmes questions. Beaucoup m’accuse, d’autres sont certains de mon innocence... Mais au final, ce ne sont que des rumeurs...
Encore aujourd’hui, parfois, je me sens proche de la noyade tant elle me manque... Mes poumons s’emplissent de la bière que je bois pour ne pas y penser trop fort...
Dernière édition par Wolf Saleos White le Lun 22 Juil - 16:00, édité 5 fois
Sujet: Re: Wolf Saleos White || Devine Chaos (delai) Sam 6 Juil - 0:07
+1 ON SAIT JAMAIS. ( moi je sais, parfois *PAN* )
Dali Lazarre
♒ messages : 345
♒ Age : 31
Feuille de personnage ♒ âge: vingt-trois ♒ profession : classeuse de morts (réceptionniste aux columbarium ) ♒ le choix du coeur: brisé. jeté. fracassé.
Sujet: Re: Wolf Saleos White || Devine Chaos (delai) Sam 6 Juil - 0:10
Sujet: Re: Wolf Saleos White || Devine Chaos (delai) Sam 6 Juil - 0:13
J'ai appris que c'était plus facile d'effacer des messages en trop que de les ajouter à la suite x)
merci à toi toi toi qui se cache sous mon oreiller-iller-iller <3
Dali Lazarre
♒ messages : 345
♒ Age : 31
Feuille de personnage ♒ âge: vingt-trois ♒ profession : classeuse de morts (réceptionniste aux columbarium ) ♒ le choix du coeur: brisé. jeté. fracassé.
Sujet: Re: Wolf Saleos White || Devine Chaos (delai) Sam 6 Juil - 0:18
Sujet: Re: Wolf Saleos White || Devine Chaos (delai) Sam 6 Juil - 0:19
oui D: j'espère que t'es confortable au moins.
Invité
Invité
Sujet: Re: Wolf Saleos White || Devine Chaos (delai) Sam 6 Juil - 3:55
KEEEEEEEEEEEEEEENZOUUUUUUUUUUUUUUUUU
Cerbère du Maurier
ATTENTION CHIEN MÉCHANT
alors, ô ma beauté! dites à la vermine qui vous mangera de baisers, que j'ai gardé la forme et l'essence divine de mes amours décomposés !
♒ messages : 331
♒ Age : 28
Feuille de personnage ♒ âge: on ne le sait pas réellement, certains lui donne la trentaine et d'autres à peine vingt ans. ♒ profession : fossoyeur, croque-mort, gardien du cimetière, fournisseur de poison, de corde aux noeuds coulants et tout autre objets contondants pour vous faire rejoindre les morts. ♒ le choix du coeur: enterré quelque part sous une tombe sûrement
Sujet: Re: Wolf Saleos White || Devine Chaos (delai) Sam 6 Juil - 5:05
(l) (l) (l) (l) pleins de smileys vagins rien que pour toi qu'il est beau mon louloup mon lit t'attend avec deux trois bouteilles de rhum
Invité
Invité
Sujet: Re: Wolf Saleos White || Devine Chaos (delai) Sam 6 Juil - 7:36
bienvenuuue
Invité
Invité
Sujet: Re: Wolf Saleos White || Devine Chaos (delai) Sam 6 Juil - 8:12
bienvenue
Elsie Lattimer
♒ messages : 385
Feuille de personnage ♒ âge: 18 ans ♒ profession : serveuse dans un bar ♒ le choix du coeur: le coeur ne choisit rien
Sujet: Re: Wolf Saleos White || Devine Chaos (delai) Sam 6 Juil - 8:58
Bienvenue !
Invité
Invité
Sujet: Re: Wolf Saleos White || Devine Chaos (delai) Sam 6 Juil - 10:07
bienvenue j'adore le petit animal mignon dont le nom m'échappe dans ton profil
Sujet: Re: Wolf Saleos White || Devine Chaos (delai) Mar 9 Juil - 16:08
merci <3
Pan Beauregard
♒ messages : 166
Feuille de personnage ♒ âge: six étoiles, vingt-deux printemps, cent-sept balais. ♒ profession : vendeur de rêves d'enfants. ♒ le choix du coeur: le lac.
Sujet: Re: Wolf Saleos White || Devine Chaos (delai) Mar 16 Juil - 5:46
oh coucou. on se connait petite plume ! (wild world sisi.) bienvenue ici
Sujet: Re: Wolf Saleos White || Devine Chaos (delai) Mar 16 Juil - 19:08
OH OUI. NON. QUI ÉTAIS-TU ? <3 tu m'as reconnus ! *contente ee*
merci (a)
Pan Beauregard
♒ messages : 166
Feuille de personnage ♒ âge: six étoiles, vingt-deux printemps, cent-sept balais. ♒ profession : vendeur de rêves d'enfants. ♒ le choix du coeur: le lac.
Sujet: Re: Wolf Saleos White || Devine Chaos (delai) Mer 17 Juil - 3:43
achiiiille (le plus beau).
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Sujet: Re: Wolf Saleos White || Devine Chaos (delai)