NOM(S) - Maugrey, c'est simple, c'est anglais. hérité du papa, son nom lui rappelle ses origines, cette parenté et lui renvoit en pleine face qu'elle ressemble traits pour traits à cet être abject. PRÉNOM(S) - Marie-Jeanne, c'est laid, trop long, elle n'aime pas ce prénom qui a toujours amusé ses camarades d'école, aujourd'hui, elle ne se présente tout simplement pas. AGE ET LIEU DE NAISSANCE - Douvres, il y'a vingt ansNATIONALITÉ - anglaise, mais du sang français coulerait dans ses veines venant de sa mère qui n'aurait jamais dû se perdre en angleterre STATUT CIVIL - seule, et c'est très bien comme. ORIENTATION SEXUELLE - ni chair, ni poisson, cette question reste sans véritable réponse. MÉTIER - elle trempe dans des affaires louche, homme - femme ? - de main d'un mafieux, la nuit on la trouve à écouler quelques douceurs. GROUPE - âme amère AVATAR - Cara.
Le chant de l'âme
Marie-Jeanne n'aime rien. Ou presque. Elle a cette haine du monde entier qui bout en elle et les tord les boyaux. Partout où elle va, elle ne peut s'empêche de regarder le monde avec haine et ses victimes sont les nombreuse personne qu'elle croise et qui ont parfois le malheur de poser les yeux sur elle. Marie-Jeanne a l'impression bien souvent que le monde la toise, que chaque être humain la regarde l'air hautain du haut d'un piédestal. Ces regards qu'elle ne supporte pas, qui lui donne envie d'hurler, de frapper. Marie-Jeanne se bat tout les jours. Sa colère comme un puits sans fond, elle l'extériorise de cette manière. Elle est fichue, comme une bête enragée qui n'attendrait qu'une mise à mort, elle se promène dans les rues de Douvres et vend sa drogue à la jeunesse qu'elle empoisonne avec plaisir. Elle les observe, ces idiots qui la vénère pour son lot de douceur. Ces faibles dont elle ne supporte la vue que pour leur prendre le reste de leur force, ce qui leur reste d'argent pour qu'elle puisse vivre. Sainte Marie-Jeanne qui les guide loin du droit chemin. Mais ils ne le voient pas, les êtres de la nuit qui vénère le démon. Elle se présente sous les traits d'un ange. Marie-Jeanne n'est pas un ange. Elle a du sang sur les mains, beaucoup. Elle n'hésite pas à se débarrasser des gens quand elle les déteste trop. Mais la vérité, c'est qu'elle se noie. Elle se noie dans une marée humaine parce que la vie a décrété qu'elle ne s'en sortirait pas, mais le démon tente de toute ses forces de se débattre et pour parer la vie, elle fait du mal aux autres.
Sous l'océan
PSEUDO - BABYLΩNE PRÉNOM - Océane. ÂGE - 22 T'AS CONNU LE FORUM OÙ - dans ma poche. COMMENTAIRE(S) - c'est ici que je dois glisser un petit mot d'amour ?. POISSON PRÉFÉRÉ - ta mère le thon. CODE AVATAR -
« N'oublie jamais la saveur de l'horreur sous mes dents. N'oublie jamais que le corps n'oublie jamais.» ▲ eths
Chapitre I :
Les voix montent, le ton grimpe, le son résonne et partout dans l’immeuble on peut entendre le couple du quatrième étage en train de se disputer. C’est comme l’épisode d’un horrible feuilleton télé. Tous les soirs à la même heure, on peut entendre Monsieur et Madame Maugrey pousser des hurlements qui empêchent les voisins de se concentrer sur autre chose que les dernières frasques de Monsieur Maugrey. Toujours à la même heure. Assez tard dans la soirée sans que l’on puisse pour autant considérer être en pleine nuit. La raison : c’est l’heure à laquelle les enfants sont censés dormir. Sauf que, tandis que Monsieur et Madame exécutent la danse de la dispute, Marie Jeanne la cadette du couple observe cachée sous leur lit ses parents. Elle ne comprend rien de ce qu’ils racontent. Ses mains écrasent ses oreilles pour qu’aucuns sons ne passent et ses yeux à défaut de pouvoir voir leurs visages, leurs gestes, suivent les pas de leurs pieds. Elle observe tranquillement et sans pleurer parce que malgré son jeune âge, voir ses parents se battre est devenu chose naturelle et indolore. La petite Marie-Jeanne parle peu. Elle est aussi discrète qu’une souris et ses parents la pensent endormie au fond de son lit. Evidemment, ils ne se sont jamais rendu compte du boucan qu’ils causaient, pas même quand les voisins leur jettent des regards noirs. Ils sont si égoïstes qu’ils n’ont jamais rien vu, obnubilés par leurs propres personnes, leurs propres problèmes, l’alcoolisme du père et la solitude de la mère. Non, ils n’ont jamais remarqué que tout le monde savait pour eux et que leurs enfants en pâtissaient, à la maison comme ailleurs. A l’école, souvent on le leur disait. A l’école, on savait pour eux. A l’école, elles étaient rouges de honte. Pour l’heure, le ton a continué de monter entre Monsieur et Madame Maugrey, plus fort que d’habitude. Ses mains ne servent plus à rien, Marie-Jeanne entends. Marie-Jeanne sait les horreurs que ses parents se disent. Puis une arme tombe devant ses yeux. Ce n’est pas un jouet, un vrai pistolet que Monsieur Maugrey s’empresse de tenter de ramasser, mais la petite fille est plus rapide. Elle tend le bras, saisi l’arme à feu et sort de sa cachette à la grande surprise général. Un silence règne dans la pièce pendant quelques minutes. Tout le monde dans l’immeuble pense que c’est fini. Tout le monde ignore que Marie-Jeanne, cinq ans se tient armée devant ses deux parents qui ne mesure pas encore les conséquences de leur comportement. La petite fille ne bouge pas. L’arme cachée dans son dos, elle ne dit rien alors ses parents, chacun de leur côté essaie de récupérer l’arme en lui chuchotant des mots. Sa mère se montre plus persuasive et finalement, c’est devant elle que Marie-Jeanne commence à tendre l’arme. Quand il s’en aperçoit, Monsieur Maugrey attrape sa mère et la jette contre un mur. Son arme, il en a assez d’attendre que la gamine se décide alors pour la presser, il bat sa femme sous ses yeux pour qu’elle lui donne l’arme rapidement. Madame Maugrey crie à sa fille de tirer. La petite qui ne comprend plus ce qui se passe obéit. Seulement, il y’a des choses dont on ne peut se servir quand on est si jeune. La balle n’atteint pas le père mais la mère qui est transpercée au niveau de l’abdomen. Madame Maugrey tombe au sol tandis que la balle se loge dans le mur derrière elle. L’immeuble est à nouveau réveillé et pour la première fois, on parle du couple de leur dispute mais ce que personne ne soupçonne, c’est que la coupable, c’est la petite.
Chapitre II :
Marie-Jeanne a froid. Marie-Jeanne est insultée. Les marchés de Douvres, l’hiver anglais, les touristes sont son quotidien depuis qu’elle ne va plus au collège. C’était pour quelques jours au début, puis les jours deviennent des semaines et les semaines des mois. Elle ne ressent pas le besoin de s’instruire, ce n’est pas ce qu’il l’aidera et les professeurs auront beau appeler à la maison, ils ne tomberont que sur sa sœur Madeleine qui ignore tout de l’endroit où se trouve Marie-Jeanne. Plusieurs semaines maintenant qu’elle n’est pas rentrée à la maison. Paraîtrait qu’elle vendrait des bracelets sur le marché avec son amie Shaïma. Paraîtrait qu’elles les fabriqueraient et qu’ensemble, elles aient pris la décision d’arrêter l’école. Paraîtrait que Marie-Jeanne est heureuse loin de chez elle, dans la famille de son amie. Là où on lui apprend de vrai valeurs, celles que son père n’a jamais été fichu de comprendre. Et c’est la vérité. Tous les matins, Marie-Jeanne se lève tôt mais pas pour aller dans cette établissement froid qui respire la haine. Non, elle se lève pour gagner sa vie, apportant jour après jour, sa pierre sur l’édifice bâti par la famille de son amie. Evidemment, les marchés ne sont pas l’endroit idéal pour une enfant. A la vue des passants, elle reçoit leur insultes, leur regards noirs, leur dédain, mais très jeune Marie-Jeanne se sera habituée à ce qu’on la traite plus bas que terre. C’est peut-être par lassitude que plus tard, elle ne laissera plus personne le faire mais pour l’heure. Marie-Jeanne est à la rue à quémander quelques pièces en échange de quelques bouts de ficelles entremêlés. Cette situation ne durera pas. C’est pourtant la période la plus heureuse de sa vie mais la police y mettra fin en débarquant en pleine nuit chez ses hôtes, les renvoyant fissa dans leur pays d’origine et laissant Marie-Jeanne entre les mains d’une assistante sociale chargée de la ramener dans l’appartement de son père, là où Madeleine l’attends pour lui annoncer que les services sociaux ont ouvert une enquête. Par rapport au fait que Marie-Jeanne ait vécu deux mois dans un autre foyer, Madeleine ne dit rien. Madeleine ne parle pas beaucoup à Marie-Jeanne. D’un côté, Madeleine hait sa sœur. Elle la hait parce qu’elle est responsable de cette situation, en tuant sa mère, elle lui a enlevé toutes ses chances d’un jour pouvoir sortir d’ici. Marie-Jeanne partie, Madeleine subit la colère du père. Marie-Jeanne est la cause de son malheur. Mais Madeleine semble avoir trouvé comment vivre avec grâce à sa foi, grâce à la religion Marie-Jeanne pense que Dieu n’accueille que les désespérée, ce qu’elle n’est pas. Pas encore. Aussitôt rentrée chez elle, après avoir fait face au silence de sa sœur, Marie-Jeanne s’enferme entre les quatre murs qui composent sa chambre. Elle n’est pas étonnée en rentrant de voir que son petit radiocassette a disparu, ainsi que tous les objets de valeurs qu’elle avait laissé. Elle est en colère quelques secondes puis finalement, elle n’est pas surprise. C’est son père. C’est toujours son père. Mais la petite est maline et n’accorde que peu de valeur aux choses qui rapporte de l’argent. L’objet le plus cher à son cœur est resté caché sous le plancher, le violon de sa mère qu’elle s’empresse de saisir pour en jouer avant que le paternel ne rentre à la maison et apprenne l’existence de l’objet.
Chapitre III :
On entend leur voix depuis l’autre bout du couloir. On entend aussi le bruit de rafale de la chasse d’eau. Il faut dire qu’elles ne sont pas discrètes. Quelques filles dans les couloirs se mettent à la porte de leur chambre pour savoir ce qui se passe dans les toilettes. Les cris ressemblent à des encouragements, mais on ne comprend ce qui se passe que dès que l’on passe la porte. Devant la rangée de lavabo, on peut trouver une dizaine d’adolescente groupées autour de deux autres. Marie-Jeanne est la première. Elle a l’air d’être la plus jeune du groupe, avec ses longs cheveux blond et son petit visage d’ange. La seconde, on ne voit pas son visage. Marie-Jeanne le tient dans la cuvette tandis qu’elle tire la chasse d’eau encore et encore. Probablement que la jeune fille serait noyée si Marie-Jeanne ne la laissait pas respirer de temps en temps. Elle n’a pas l’intention de la tuer bien qu’elle pourrait, après tout, elle est mineure, elle ne risque pas grand-chose mais Marie-Jeanne essaie plus de faire comprendre à la pauvre jeune fille entre ses mains que c’est elle qui commande maintenant. C’est ce qu’elle est devenu après que les services sociaux l’aient séparé de Madeleine puis emmené ici. D’abord victime de multiples bizutage, s’en fut fini quand elle décida de devenir le bourreau et depuis elle est là, à plonger la tête dans les toilettes la première qui ose lui déplaire. Les filles partent avant qu’un surveillant n’accoure alerté par les hurlements. La victime de Marie-Jeanne est jetée, abandonnée sur le sol à demi consciente tandis que son bourreau allume une cigarette et part suivie de sa clique. Dur à croire, mais elle n’aime pas avoir ce groupe d’idiote autour d’elle comme si elles étaient de la même trempe. Marie-Jeanne n’est de la trempe de personne et chaque fille prétendant ne peut que mal finir. Elle n’aime pas non plus le fait « d’avoir des amies » ou même de devoir en maltraiter d’autre pour se faire sa place mais c’est la jungle ici, et ce qu’elle fait, elle le fait parce qu’elle le doit. De plus, elle ne l’admettra devant personne mais c’est assez libérateur de pouvoir casser la figure de quelqu’un sans avoir de bonnes raisons. C’est comme ça qu’elle évacue sa haine, sa colère et peu que le spectacle soit intéressant, personne ne la dénonce. Oui, Marie-Jeanne fait la loi mais elle en a assez de son royaume. Elle compte les années qui la séparent de sa liberté, sa majorité. En attendant, elle va à l’école, elle va travailler. Elle sait qu’on lui fout la paix si elle bosse alors même si couper des cheveux n’est pas son affaire, elle se tait et fait. Elle avouerait presque avoir plaisir à le faire quand au foyer une fille à la longue tignasse se pointe en espérant détrôner la reine. Puis les mois passent, les filles partent dans des familles, d’autres obtiennent la majorité, d’autres tombent enceinte aussi et elle reste seule. Bien entendu, il y’a toujours une nouvelle pour combler la place restante. Les rangs ne sont jamais vide et les mois ne deviennent que un défilement de suiveuse qui ne feront que l’acclamer à chaque épisode empreint de violence. Marie-Jeanne grandit, et un jour tombé de nulle part, c’est elle qui est renvoyée du foyer. T’as dix –huit et tu casse, la politique de la maison ne fait pas de cadeau aux filles comme elle. Tant mieux, elle est libre et certainement que bientôt ils auront une autre gamine dans son genre à souffrir mais ça, ça compte peu. Dix-huit et quelques francs en poche, Marie-Jeanne n’a maintenant nulle part où aller.
Chapitre IV :
Tous les jours, elle fait les frais de la mauvaise humeur des passants. Parfois, elle aimerait pouvoir en attirer dans une ruelle sombre pour planter une lame dans leur abdomen mais elle n’est pas complètement stupide, elle a besoin d’eux pour se payer une vie. Marie-Jeanne ne travaille pas. Personne ne veut d’elle, alors elle mendie, elle fait la seule que son père lui a appris à bien faire : réclamer les revenus d’autres personnes. Elle a fait ça pendant des semaines, peut être un ou deux mois quand on y réfléchit et puis finalement, la roue a tourné. « Lui », il est arrivé dans sa vie. Non, « lui » n’est pas un premier homme qui aurait pu l’adoucir. « Lui » n’est pas l’homme qui la libèrera, rendant la vie de Marie-Jeanne normale ou au moins conventionnelle. « Lui » n’est que l’homme qui choisira de ne pas mettre Marie-Jeanne sur le trottoir. « Lui » il est l’homme pour lequel elle écoule la drogue qui remplit ses poches. Comment l’a t-elle rencontré ? Le hasard, très probablement qui l’aura placé sur sa route. Un enchainement de petites rencontres, d’évènements, elle trainait au milieu d’une bande de junkie toute en ayant assez de jugeote pour savoir que ça serait mettre un pied dans la tombe que de faire partie entièrement de leur groupe. Elle l’a rencontré là, pendant qu’il entretenait la faiblesse de ses soi-disant amis, enfin plutôt de ses compagnons de route. Puis le jour où le diable a enfin fait sa proposition, elle a refusé de suivre les autres filles sur le trottoir. Elle aurait pu se prostituer si elle n’avait pas envie de vomir à chaque fois qu’elle voyait un porc sortir son fric. « Lui » il ne voyait des femmes qu’une combinaison de trou qu’un homme pourrait payer pour combler. « Lui » ne pensait pas que quelqu’un comme Marie-Jeanne pourrait faire preuve d’autant de sang froid dans l’exécution d’une personne mais quand elle l’a fait sous ses yeux, il a eu assez d’admiration pour lui faire une place. En tuant un homme sous ses yeux, c’est ainsi qu’elle a vendu son âme au diable et aujourd’hui quand elle glisse un sachet de poudre dans la poche d’un adolescent, elle ne le regrette pas, elle n’a aucune honte, estimant que ce qui se passe après n’est pas de son ressort. Les années ont passé depuis son entrée dans les rangs, les morts se sont additionnés aussi mais il est venu le temps où ça ne lui fait plus rien, après tout, la vie n’est que temporaire et elle s’est à l’idée que les gens ne font que défiler dans sa vie. C’est donc à la rue que vous la trouverez et pour quelques billets, vous pourrez vous évader du quotidien et dans n’importe lequel des paradis que votre conscience choisira. Par ce biais, elle vous fera l’aimer et vous en demanderez toujours plus jusqu’à ce que ce soit fatal, mais n’attendez pas d’elle qu’elle pleure sur vos soucis, sur votre vie car si vous en venez à vouloir la rencontrer, c’est qu’à ses yeux vous ne valez pas mieux qu’un insecte qu’on écrase.
Dernière édition par Marie-Jeanne Maugrey le Lun 2 Sep - 18:24, édité 3 fois
Niel Ambrose
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Feuille de personnage ♒ âge: vingt-six ans ♒ profession : aide aux soins de l'enfance. ♒ le choix du coeur: le magicien d'oze.
Sujet: Re: les pluies de cendres noires. Lun 2 Sep - 17:25
je t'aime et je te fais des bébés.
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Invité
Sujet: Re: les pluies de cendres noires. Lun 2 Sep - 17:26
on mettra un congélo sur notre liste de mariage alors
Spoiler:
mais sinon, je t'aime aussi, comme un fou, comme un soldat, comme une star de cinéma
Paul Williams
>JE RÊVE TROP FORT<
♒ messages : 79
Feuille de personnage ♒ âge: 19 ans ♒ profession : étudiant ♒ le choix du coeur: l'éphémère
Sujet: Re: les pluies de cendres noires. Lun 2 Sep - 17:30
HAHA rien qu'au prénom de ta demoiselle j'ai deviné que c'est toi Baby xD
re-bienvenue o/
Invité
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Sujet: Re: les pluies de cendres noires. Lun 2 Sep - 17:31
rebienvenue.
Invité
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Sujet: Re: les pluies de cendres noires. Lun 2 Sep - 17:33
oh, je sais pas comment je dois le prendre, tu pense à moi quand on t'parle de marijuana ? xD
merci kane'
Dernière édition par Marie-Jeanne Maugrey le Lun 2 Sep - 17:37, édité 1 fois
Paul Williams
>JE RÊVE TROP FORT<
♒ messages : 79
Feuille de personnage ♒ âge: 19 ans ♒ profession : étudiant ♒ le choix du coeur: l'éphémère
Sujet: Re: les pluies de cendres noires. Lun 2 Sep - 17:36
je te chuchote mon secret: archives de la cb
Cerbère du Maurier
ATTENTION CHIEN MÉCHANT
alors, ô ma beauté! dites à la vermine qui vous mangera de baisers, que j'ai gardé la forme et l'essence divine de mes amours décomposés !
♒ messages : 331
♒ Age : 28
Feuille de personnage ♒ âge: on ne le sait pas réellement, certains lui donne la trentaine et d'autres à peine vingt ans. ♒ profession : fossoyeur, croque-mort, gardien du cimetière, fournisseur de poison, de corde aux noeuds coulants et tout autre objets contondants pour vous faire rejoindre les morts. ♒ le choix du coeur: enterré quelque part sous une tombe sûrement
Sujet: Re: les pluies de cendres noires. Lun 2 Sep - 22:00
nos bébés seront plus beau et plus intelligents que ceux que tu peux faire avec n'importe qui d'autre ne l'oublie pas, en achetant le congelo
Invité
Invité
Sujet: Re: les pluies de cendres noires. Mar 3 Sep - 2:03
Pourquoi vous achetez un congelo ? Vendez les putain. Ça s'vend chères ces conneries.
Invité
Invité
Sujet: Re: les pluies de cendres noires. Mar 3 Sep - 6:14
Han le personnage !
Plus le pseudo et le vava (Cara a vraiment quelque chose je trouve) !
Je viendrais te demander un lien ! **
Et rebienvenue d'après ce que j'ai compris
Pan Beauregard
♒ messages : 166
Feuille de personnage ♒ âge: six étoiles, vingt-deux printemps, cent-sept balais. ♒ profession : vendeur de rêves d'enfants. ♒ le choix du coeur: le lac.
Sujet: Re: les pluies de cendres noires. Mar 3 Sep - 12:28
marie-jeanne marie-jeanne marie-jeanne de ww ?
Invité
Invité
Sujet: Re: les pluies de cendres noires. Mar 3 Sep - 15:02
putain, ça me fait mal de le dire, mais Marion a dit un truc intelligent. on devrait s'mettre à la mode et vendre notre progéniture. ( même si la fortune d'un prince du qatar n'y suffirait pas tellement ils seront beaux )
merci Narcisa, c'est gentil. j'oublierais pas ta demande alors. (:
oui elodie, c'est elle, j'ai décidé de la reprendre.
Dali Lazarre
♒ messages : 345
♒ Age : 31
Feuille de personnage ♒ âge: vingt-trois ♒ profession : classeuse de morts (réceptionniste aux columbarium ) ♒ le choix du coeur: brisé. jeté. fracassé.
Sujet: Re: les pluies de cendres noires. Mar 3 Sep - 16:52
t'es parfaite, sans surprises.
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Invité
Sujet: Re: les pluies de cendres noires. Mar 3 Sep - 17:29
c'est toi la parfaite.
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Sujet: Re: les pluies de cendres noires.
les pluies de cendres noires.
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