je glisse sur les toits des vents je glisse sur le toit des mers je suis devenue sentimentale je ne connais plus le conducteur je ne bouge plus soie sur les glaces je suis malade fleurs et cailloux ▲ p. eluard
NOM(S) - jönsson. PRÉNOM(S) - heka. AGE ET LIEU DE NAISSANCE - vingt ans, née à linköping (suède). NATIONALITÉ - suédoise. STATUT CIVIL - le vent, l'océan, la tempête, la forêt, les étoiles. ORIENTATION SEXUELLE - homosexuelle. MÉTIER - pêcheuse vagabonde, amoureuse bohème, muse impatiente. GROUPE - éphémère infini. AVATAR - esther boldov.
Le chant de l'âme
Un goût de sel sur le bout de la langue, Heka t'embrasse à t'en faire tourner la tête. Elle est belle Heka, belle comme une tempête, mais elle fait pas exprès : elle aime pas se coiffer et elle sait pas se maquiller. Elle a la rage au ventre et le voyage à l'âme. Heka, elle est pas faite pour la ville, elle est faite pour les paysages immenses et les vagues qui se brisent sur les falaises, l'aventure qui remue le cœur. Elle suit le vent : elle ressemble à une plume qui aurait la légèreté d'un rocher, tu sais, un poids à l'âme qui l'empêche de s'envoler vraiment. Elle est vraie Heka, comme un coup de tonnerre, comme un orage d'été. Elle ne laisse pas indifférent parce qu'elle aime hurler, qu'elle pleure quand le poids du monde l'écrase un peu trop, qu'elle danse parfois même sans musique, qu'elle rit avec les dents à découvert et qu'elle a un mal fou à accepter les compromis.
Heka, c'est la liberté, l'éphémère infini, la fuite éternelle, les frissons au creux du corps, étoile filante échouée sur la plage de ta peau.
Heka reste une nuit, une semaine, jamais une vie. Elle ne promets rien. Mais les lèvres d'Eurydice n'ont pas le même goût et ses yeux sont plus profonds. Et l'âme d'Eurydice mérite bien un peu plus qu'une nuit. Rester? jamais. S'échouer seulement un peu plus longtemps, manger la peau, laisser la trace de ses doigts fins dans la vie, dans les rêves. Heka s'échappe toujours, elle fuit Eurydice, elle masque la peur de finir dépendante, elle rejoint l'océan et la voix usée de celle avec qui elle voulait traverser le monde.
Sous l'océan
PSEUDO - bord de ciel. PRÉNOM - clara. ÂGE - vingt ans. T'AS CONNU LE FORUM OÙ - j'étais là il y a quelques temps et puis j'ai plus eu internet pendant un mois et demi, alors j'ai été supprimé. COMMENTAIRE(S) -POISSON PRÉFÉRÉ - pané. CODE AVATAR -
je vous souhaite des rêves à n’en plus finir et l’envie furieuse d’en réaliser quelques-uns. je vous souhaite d’aimer ce qu’il faut aimer et d’oublier ce qu’il faut oublier. je vous souhaite des passions. je vous souhaite des silences. je vous souhaite des chants d’oiseaux au réveil et des rires d’enfants. je vous souhaite de résister à l’enlisement, à l’indifférence, aux vertus négatives de notre époque, je vous souhaite surtout d’être vous ▲ j. brel
le premier jour du reste de ma vie.
C'était un soir d'hiver. J'avais seize ans, sûrement moins, mais mon âme criait déjà « N’importe où ! n’importe où ! pourvu que ce soit hors de ce monde ! » Il avait quarante ans, sûrement plus. Son sourire se cachait derrière une barbe déjà blanchie par les années. Ses yeux étaient rieurs et sa peau tannée, comme par des années d'aventure et de voyages à l'autre bout du bout du monde. Il parlait peu, mais quand il parlait, c'était pour dire beaucoup. Je l'ai appris plus tard. Je le connaissais peu, surtout de vue. Je ne savais pas qui il était, sûrement un lointain cousin, jamais marié. Quand il n'était pas là, les autres disaient qu'il n'était rien, rien de plus qu'un voyageur sans but, un vagabond qui avait raté sa vie. Il traînait toujours là, comme posé dans un coin, dans nos soirées de famille sans fin. Pas à sa place. Souvent, il avait un livre, qu'il feuilletait sans honte quand les autres débattaient de sujets sans importance – du prix du pain, de l'éducation des enfants, de politique ou de télévision. Il avait cet air toujours ailleurs que je lui enviais, cet affront dans la posture, toujours, comme pour nous dire, à tous, qu'il serait mieux ailleurs. Comme pour nous prouver, à tous, qu'il n'avait rien à faire là, qu'il s'en foutait, que dans sa tête, il voyageait encore. Ce soir-là, il a levé les yeux sur moi. C'était comme une première fois. J'étais là, dans une robe trop grande pour moi, mal à l'aise, un peu gauche, et il m'a regardé. Une seconde, d'abord. J'ai frémis. Mais il n'a pas détourné le regard, non. Il a fermé son livre, doucement. C'était comme s'il découvrait une nouvelle destination : quelque chose de plus intéressant. Je n'entendais plus les autres qui parlaient, je n'entendais que son sourire naissant. Pendant de longues minutes, il a sondé mon âme seulement avec les yeux. Parfois, il riait, souvent, il fronçait les sourcils. Et moi, je restais immobile. Parfaitement immobile. Je ne cillais pas, je n'avais pas peur. C'était mon examen de passage et, plus que tout, je voulais le passer haut la main. Pour la première fois, je voulais réussir quelque chose. Il a posé son livre sur la table, il a pris ma main et il a chuchoté, seulement, « viens, on va faire un tour ». Alors, je l'ai suivi. Dehors, il faisait froid, mais lui ne semblait pas le sentir. Il regardait le ciel qui, doucement, s'assombrissait. Le soleil, au loin, allait se coucher dans l'indifférence de presque tous. Tous, sauf nous. Ma main au creux de la sienne, j'attendais. Je n'avais rien à lui dire, rien à lui apprendre. C'était à lui de parler, tout au fond de moi, je le savais déjà. Le regard dans le vague, c'était à moi qu'il s'adressait. « Heka, c'est ça ? Heka, oui. Petite fille. » Sa voix était une caresse. « Heka, tu sais, partir ce n'est pas mourir. Tu as l'âge parfait : l'âge de t'en aller. Si tu rêves d'ailleurs, il faut le prendre l'ailleurs. Le serrer contre toi, le serrer si fort, le briser presque. Tes rêves sont beaux, il faut les réaliser. Ne pourris pas ici. Ne deviens pas comme eux. Tu mérites mieux. Deviens qui tu es. Pars. Envole-toi, mon oiseau, ma sirène. Évade-toi. Je te dessine des ailes si tu me promets d'en faire bon usage, je te donne mes bottes pour faire mille lieux en un pas si tu me promets de vivre, de devenir folle tant tu vis.Ton âme voyageuse étouffe. Tu meurs si tu restes – et tu ne veux pas mourir, la vie est belle, ailleurs, Heka, la vie est belle. Crois-moi. » Je n'ai rien répondu. Il n'y avait rien à répondre. Il s'est allumé une cigarette, j'ai avalé sa fumée. Mon cœur battait la chamade et mes yeux fixaient le soleil qui mourrait. J'avais envie de l'embrasser, de danser une valse sans fin dans ses bras trop grands pour moi. D'écorcher mon visage contre sa barbe et d'apprendre la vie sous ses mains rugueuses. J'avais envie de choses folles – de choses qui ne me ressemblaient pas. Mais plus que tout, j'avais envie de le croire. « Emmène-moi. »
avant d'partir le cœur en l'air, à l'autre bout du bout du monde.
Les pieds usés par la route infinie, la peau sèche qui craquelle par endroit, les cheveux emmêlés. J'avais mon sourire d'enfant sur les lèvres, comme un trophée, comme une victoire qui en annonce mille autres. Je ne savais pas où j'étais, je ne savais pas où j'allais. L'océan me racontait une histoire que je ne comprenais qu'à moitié. Un truc qui disait la mort, la vie, l'amour et l'infini. C'était violent, mais je trouvais ça follement doux. Je me suis assise dans le sable mouillé, j'ai posé mon sac à côté de moi. Il n'était pas vraiment plein, le minimum vital pour survivre sur la route – et encore. Edwin était parti depuis longtemps, il avait d'autres mondes à voir, d'autres femmes à embrasser, d'autres cieux à embraser. Il m'avait laissée, avec un sourire. Je connaissais son histoire, je connaissais ses routes, ses chutes, ses peurs même. Je pouvais, disait-il, faire ma route à moi. J'étais forte et j'étais belle – mais pas trop, juste assez pour ne pas trop attirer la méfiance. Je regardais l'océan et, tu vois, elle s'est retrouvée près de moi. Tombée du ciel. J'ai mis du temps à la voir, à comprendre que c'était bien une femme qui s'était assise près de moi : pas une sirène, pas une fantôme, non, une femme. En chair et en os. Je ne crois que je l'ai trouvée belle dès le premier regard. Elle dégageait quelque chose de fort. De beau. Un charme animal, des désirs à allumer n'importe quoi, n'importe qui. Je ne disais rien – elle se taisait. Je sais pas vraiment comment les choses se sont enchaînées, pourquoi on s'est souri, comment on est parties. Toutes les deux. Ses tempêtes intérieures me plaisaient, ma route pouvait bien suivre la sienne. Sans rien dire, sans rien faire, sans rien laisser paraître, je me suis blottie contre sa voix brisée, contre ses histoires d'ailleurs. La nuit, dans le bateau je grelottais et elle me réchauffait, rien qu'avec son souffle. À côté d'elle, j'étais minuscule. Une petite fille, presque poussière. Je la suivais parce qu'elle voulait bien de moi, je jouais avec ses cheveux seulement parce qu'elle ne mordait pas. Si un jour, elle venait à me demander de m'en aller, d'aller voir ailleurs, je crois bien que je le ferais. Sans rien dire, sans même penser à hausser le ton. Mais elle ne me jette pas, alors je reste. Petit animal fidèle, folie passagère, compagne bohème jusqu'au bout du monde. Rivka, elle m’ensorcelait. Avec ses mots, avec sa bouche, son odeur de sel que j'ai revêtue aussi, comme un costume trop grand pour moi. Nous étions deux, nous étions reines. Reines de quoi au juste ? Reines des océans, des cieux, des falaises jusqu'au soleil et des routes qui serpentent vers un peut-être sans certitudes. Nous dansions sur les flots, enfants de l'océan, bientôt vagues, écume, tempêtes. À deux, nous pouvions bien braver les ouragans et les orages.
Et puis, un jour, sans y penser, sans même en parler, nous nous sommes échouées sur cette plage, un peu grise, un peu triste, pour une nuit dans un lit chaud ? pour une semaine ? Et après ?
je suis à l'age où l'on ne dort nulle part, les seuls lits dont je rêve sont des quais de gare.
Tu as l'âme qui déborde, Eurydice. Tu as l'âme immense et je la vois qui s'étale sur tes toiles. Tu dis que c'est moi, mais c'est beaucoup trop de toi pour que ce soit moi. C'est trop vrai, pas assez violent, trop bleu, pour que ce soit moi, tu sais ? Ne me regarde pas comme ça, j'ai trop envie de t'embrasser, mais l'océan m'appelle, et Rivka m'attend, et Rivka ne m'attendra pas toujours. Et je suis comme elle, même si tu ne veux pas l'entendre, j'ai besoin d'ailleurs et ton corps n'est pas un voyage assez long pour mes doigts. Je voudrais bien savoir le faire, savoir être comme les autres, pouvoir devenir celle que tu voudrais que je sois. M'ancrer à ton lit, te susurrer des « toujours » entre deux baisers et poser pour toi, à moitié nue, souriante et légère. Te faire l'amour avec les mots, enfermer mes envies de voyages dans un coin de mon crâne. Mais tu vois, c'est pas moi, et je lutte, tous les jours, pour ne pas tout foutre en l'air, pour ne pas me barrer à jamais, pour ne pas partir sans jamais me retourner, parce que j'en suis capable, parce que c'est comme ça que je fais, mais parce qu'avec toi, c'est pas pareil. Je sais pas. Je vais jeter des bouts de moi à l'océan. Balancer les pièces de mon âme qui aspirent au voyage. Et te revenir, vide et lasse. Et te revenir, moi, mais comme une autre. Tu pourras bien me faire revivre, me réchauffer, me donner tout, tout me donner, je ne serais plus rien, Eurydice. Alors. Alors ? J'ai bien envie de me perdre dans ta vie. De m'arrêter là, comme si c'était la fin d'ma route, que depuis toujours, c'est vers toi que je cheminais. Parfois j'y pense. J'me dis que c'est possible, pourquoi pas, après tout, il faut bien une virgule ou un point, il faut bien s'arrêter de courir, parfois, pour ne pas regretter. Mais je n'peux pas, Eurydice. C'est plus fort que moi. Et mon âme se déchire entre toi et le reste entre toi et l'ailleurs entre toi et le bateau et Rivka qui crie mon prénom les lèvres closes et ton regard qui espère sans en avoir l'air qu'aujourd'hui je reste et demain aussi et encore après.
Le bateau s'est échoué, et moi aussi. J'ai le cœur ensablé, j'ai l'âme salée, amère, à mer. Tu ne peux pas me sauver, même si tu essaies, t'y peux rien, c'est ma faute (à toi). Je veux pas finir comme un poisson en bocal, j'veux un océan tout entier pour me sentir libre.
Dernière édition par Heka Jönsson le Sam 19 Oct - 8:14, édité 7 fois
Felipe Sabouraud
TU PRENDS MON ÂME.
♒ messages : 595
Feuille de personnage ♒ âge: 19 ans ♒ profession : peintre en bâtiment ♒ le choix du coeur: chocolat au lait ; confettis de bonbons azurés.
Sujet: Re: ≠ et m'dire que l'jour se lèvera forcément au moins une fois ≠ Jeu 17 Oct - 15:04
ce qu'elle est belle rebienvenue - tu étais qui, par curiosité ? -
Pan Beauregard
♒ messages : 166
Feuille de personnage ♒ âge: six étoiles, vingt-deux printemps, cent-sept balais. ♒ profession : vendeur de rêves d'enfants. ♒ le choix du coeur: le lac.
Sujet: Re: ≠ et m'dire que l'jour se lèvera forcément au moins une fois ≠ Jeu 17 Oct - 15:26
haaaan le titre. ça me rappelle le concert de vendredi soir. "et m'dire, ça va, ça va, ça va". bienvenue
Feliks Levinson
Assassin ou barman, barman ou écrivain, qu'importe : son sort était le sort de tous, sa fin ma fin ;
♒ messages : 110
Feuille de personnage ♒ âge: aussi vieux que les vagues. ♒ profession : libertin. ♒ le choix du coeur: libre comme bouteille à la mer.
Sujet: Re: ≠ et m'dire que l'jour se lèvera forcément au moins une fois ≠ Jeu 17 Oct - 15:30
oh oui le titre
bienvenue.
Invité
Invité
Sujet: Re: ≠ et m'dire que l'jour se lèvera forcément au moins une fois ≠ Jeu 17 Oct - 16:08
kikou jolie fée.
Invité
Invité
Sujet: Re: ≠ et m'dire que l'jour se lèvera forcément au moins une fois ≠ Jeu 17 Oct - 16:16
Oh ma chérie
Némo Chenoa
un beau matin, chez un peuple fort doux, un homme et une femme superbes criaient sur la place publique : "mes amis, je veux qu'elle soit reine !" "je veux être reine !" elle riait et tremblait. il parlait aux amis de révélation, d'épreuve terminée. ils se pâmaient l'un contre l'autre. en effet ils furent rois toute une matinée où les tentures carminées se relevèrent sur les maisons, et tout l'après-midi, où ils s'avancèrent du côté des jardins de palmes.
♒ messages : 72
♒ Age : 26
Feuille de personnage ♒ âge: trente ans déjà que les nuages te voient grandir et t’épanouir, et pourtant c’est la trace de ce nombre vertigineux d’années – plus ou moins – vécues qui trouble cruellement ton esprit. ♒ profession : explorateur idéaliste à temps plein. ♒ le choix du coeur:
Sujet: Re: ≠ et m'dire que l'jour se lèvera forcément au moins une fois ≠ Jeu 17 Oct - 16:28
oh, j'adore le début de ta fiche j'veux tellement connaître la suite déjà - (re)bienvenue
Dernière édition par Némo Chenoa le Jeu 17 Oct - 19:36, édité 1 fois
Invité
Invité
Sujet: Re: ≠ et m'dire que l'jour se lèvera forcément au moins une fois ≠ Jeu 17 Oct - 18:42
Le vava... Je suis amoureuse ! Et le personnage bien qu'il n'y ait que quelques mots je suis très très curieuse d'en apprendre plus maintenant !
Bienvenue
Elsie Lattimer
♒ messages : 385
Feuille de personnage ♒ âge: 18 ans ♒ profession : serveuse dans un bar ♒ le choix du coeur: le coeur ne choisit rien
Sujet: Re: ≠ et m'dire que l'jour se lèvera forcément au moins une fois ≠ Jeu 17 Oct - 19:05
Re-bienvenue
Invité
Invité
Sujet: Re: ≠ et m'dire que l'jour se lèvera forcément au moins une fois ≠ Ven 18 Oct - 4:07
felipe, c'est vrai qu'elle est jolie, hein? elle va très bien à heka en plus! j'étais neeve. pan, moi aussi ça me rappelle le concert. j'ai trop hâte de les revoir en live. merci beaucoup, joli garçon. feliks, connaisseur(se?) de fauve aussi? hihi. merci beaucoup. chloétoile, même pas tu me fais un bisou? tout petit minuscule? pauline, ma pauline, t'es belle. némo, j'espère que tu aimeras ma heka toute entière, hein? heka et son cœur déchiré entre une belle peintre, l'océan, ses voyages et le reste. narcisa, oooh, merci beaucoup. ça fait plaisir ce genre d'accueil! elsie, merci beaucoup.
Invité
Invité
Sujet: Re: ≠ et m'dire que l'jour se lèvera forcément au moins une fois ≠ Ven 18 Oct - 7:36
ahn qu'elle est belle.
(re)bienvenue parmi nous du coup.
Invité
Invité
Sujet: Re: ≠ et m'dire que l'jour se lèvera forcément au moins une fois ≠ Ven 18 Oct - 12:14
tu trouves aussi? merci beaucoup.
Invité
Invité
Sujet: Re: ≠ et m'dire que l'jour se lèvera forcément au moins une fois ≠ Ven 18 Oct - 15:12
je t'en fais mille énormes de fée princesse.
Invité
Invité
Sujet: Re: ≠ et m'dire que l'jour se lèvera forcément au moins une fois ≠ Ven 18 Oct - 15:17
c'est mieux comme ça.
Noe Pandore
♒ messages : 77
Feuille de personnage ♒ âge: dix-neuf ans. ♒ profession : allégorie océanique. ♒ le choix du coeur: l'Océan
Sujet: Re: ≠ et m'dire que l'jour se lèvera forcément au moins une fois ≠ Ven 18 Oct - 16:39
c'est beau par ici. j'y camperais bien, à la belle étoile. elle est jolie, heka. bienvenue.
Invité
Invité
Sujet: Re: ≠ et m'dire que l'jour se lèvera forcément au moins une fois ≠ Ven 18 Oct - 17:13
viens donc t'échouer sur la plage de ses jours, mademoiselle. merci, camille. ça me fait toujours plaisir de te retrouver.
Invité
Invité
Sujet: Re: ≠ et m'dire que l'jour se lèvera forcément au moins une fois ≠ Sam 19 Oct - 4:58
« Elle s'envole, l'insolente. Elle voyage. Sans bouger, elle visite le monde. Elle entraîne les autres. Ils tombent derrière elle alors qu'elle s'arrache à leurs vaines tentatives. On ne l'attache pas, douce amante. Elle aime. Libre et sauvage. Elle aime et s'en va. Souvenirs qui restent. Un parfum de sel dans l'air. Un goût de peau sucrée. Un sourire qui tournoie, flotte, s'évanoui. Vents et nuages. Ciel du monde. »
Bienvenue sous les nuages de la côte, douce enfant.
Invité
Invité
Sujet: Re: ≠ et m'dire que l'jour se lèvera forcément au moins une fois ≠ Sam 19 Oct - 9:05
Cette fiche.
Invité
Invité
Sujet: Re: ≠ et m'dire que l'jour se lèvera forcément au moins une fois ≠ Sam 19 Oct - 9:26
vyro, t'es trop un amour, en vrai. eury, et que dire de la tienne? vite, vite, écrire avec toi.
Elsie Lattimer
♒ messages : 385
Feuille de personnage ♒ âge: 18 ans ♒ profession : serveuse dans un bar ♒ le choix du coeur: le coeur ne choisit rien
Sujet: Re: ≠ et m'dire que l'jour se lèvera forcément au moins une fois ≠ Sam 19 Oct - 16:49
Ta plume est géniale Je te valide avec plaisir !
Invité
Invité
Sujet: Re: ≠ et m'dire que l'jour se lèvera forcément au moins une fois ≠ Dim 20 Oct - 7:26
merci beaucoup.
Contenu sponsorisé
Sujet: Re: ≠ et m'dire que l'jour se lèvera forcément au moins une fois ≠
≠ et m'dire que l'jour se lèvera forcément au moins une fois ≠