NOM(S) - vladix.PRÉNOM(S) - luke ronny alexander II AGE ET LIEU DE NAISSANCE - la roumanie en mai d'une certaine année du XXe siécle. NATIONALITÉ - roumano-amérindien. STATUT CIVIL - compromis. ORIENTATION SEXUELLE - falsifiée. MÉTIER - multifonction libre.  GROUPE - éphèmere infinit AVATAR - bradley soileau.

Un lion au sang du serpent ; c’est la définition par excellence de mon caractère selon mes pères. Des facettes encastrées qui miroitent dans les montagnes d’atomes qui constituent mon corps.  Je n’ai pas l’intention d’écrire des jolies phrases plaisantent pour la beauté des mots, d’avoir des actes dégoulinant de poésie pour sentir la mélodie toucher les cœurs. Ma lutte est faite de convulsions à travers le temps contre l’absurde. Les mouvements qui m’aspirent jours après jours sont prédestinés à l’échec mais je ne peux pas ne pas le faire. Ne pas créer et ne pas détruire. Ce cycle me tient dans une valse qui propulse les injustices aux premiers plans. Un caractère marqué par un firmament de batailles secrète dans les brumes, la nostalgie et des brulures. Socialement schizophrène, amoureux de la solitude amant du peuple. L’allure froide et désinvolte dans le paradoxe de l’être chaleureux et passionné.

Une sorte de débris dans les ruines du monde, il m’arrive de démolir mes neurones pour la contemplation de ces ruines. J’aime découvrir, redécouvrir et observer les contours de la simplicité. Il y a de la dureté qui parait incompréhensible dans mes façons, comme des formes de répulsion vomitive et symptomatique.  J’écoute attentivement les érudits pour capter les ondes que je n’ai pas su saisir. La soif d’apprendre reste un moteur allumé même dans les ombres. Comprendre l’incompressible, être le non-sens du sens instinctivement, brutalement et doucement.   

PSEUDO - wild spirit PRÉNOM - joy. ÂGE - 21. T'AS CONNU LE FORUM OÙ - helly. COMMENTAIRE(S) - c'est canon    POISSON PRÉFÉRÉ - flipper  .  CODE AVATAR -

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<pris>bradley soileau</pris> <ppn> luke vladix</ppn>

bleed it out  - Les cratères boursoufflent mon histoire. Des ratures sans excuses, de l’encre dégoulinante de son sang brûle mes veines depuis le premier souffle. Venu au monde dans la matrice d’une sorcière mon père m’a sauvé. L’indifférence m’a permis de sauvegarder mon humanité dans l’imagination fertile d’un petit garçon. Mes sœurs sont la médecine de mes souvenirs, les souffles purent de mes joies. L’éveil des plus beaux instants de toute ma vie. L’union, la collision et les rires innocents se bousculent dans mon cerveau quand je pense à elles. Elles sont le ciment des briques que mes pères ont posées, malgré tous mes silences. Vivre dans l’espace le plus retiré et le plus magique du monde m’a permis d’être sauvegarder dans tous les sens du terme. Emmagasinant ainsi toutes les théories sans la pratique, dans une stérilité presque irréelle. Pourtant, je m’en suis enfui. Pourtant, j’ai fugué plus d’une fois avec l’adolescence. L’innocence a laissé place aux expériences. Et puis j’ai compris pourquoi ma famille voulait tant nous sauvegarder du monde. La pratique blesse, parfois.


Mon histoire ressemble sans doute à la vôtre, des minuscules points communs peut-être. Des pièces incandescentes presque immatérielles au fond manquent à l’appel. Ma mémoire est reste mon principal adversaire, ne pas me rappeler des visages de ceux qui nous on quitter. Ne pas me rappeler les détails des conversations. Des nuances qui sont maintenant perdues.


my sweet prince – Dans les tréfonds de mes souvenirs, il reste un sentiment que je n’ai jamais été capable de correctement formuler mais qui pourtant ma dévorer les entrailles. Je les toujours senti comme le plus grand des trésors, impalpable ou alors le plus grand de mes chaos.  C’est la tempête d’affection qui se dégage de mes reins dans l’introversion la plus secrète. « Distant, presque inébranlable petit homme. » C’est le presque de mon grand-père qui ma chatouillé les tympans car il avait compris, il est la rivière de mon miroir.  Et pourtant, j’ai réussi à vivre dans cette Alaska, dans cet igloo qui m’a bercé jusqu’à la rencontre d’une jeune fille pleins de couleurs dans les yeux.

C’est comme si à travers ses pupilles tout était possible, c’est comme si la glace fond à travers mon cœur mécanique. Il n’y a pas de spéculations qui tiennent, juste l’instantané d’une tendresse oublier dès le premier souffle. Je laisse l’architecture de notre relation se construire, se développer dans les matériaux les plus précieux que je possède.  C'est la raison de mon débarquement à Douvres.