Mais quand d'un passé ancien rien ne subsiste, après la mort des êtres, après la destruction des choses, seules, plus frêles mais plus vivaces, plus immatérielles, plus persistantes, plus fidèles, l'odeur et la saveur restent encore longtemps, comme des âmes, à se rappeler, à attendre, à espérer, sur la ruine de tout le reste, à porter sans fléchir, sur leur gouttelette presque impalpable, l'édifice immense du souvenir. ▲ proust
NOM(S) -riverfield. the nom de ta maman. c'est doux. c'est beau. comme elle. comme elle avant. tu l'aimes ce nom. et tu n'aimerais pas être obligée de le changer. PRÉNOM(S) - romane. romane et léonie même. tu ne sais pas bien d'où ça vient. tu n'as jamais demandé. ta maman devait les aimer. c'est tout. puis de toute façon, tu les utilises même pas ici. ici, tu es swann. comme le cygne. c'est malo qui t'a appelé comme ça. alors t'as gardé le surnom. AGE ET LIEU DE NAISSANCE - tu es née à londres il y a dix sept ans. dix sept longues années passées à chercher à t'évader. NATIONALITÉ - petite anglaise. pure souche. STATUT CIVIL - tu es célibataire. célibataire égarée qui ne connait pas grand chose aux relations ORIENTATION SEXUELLE - tu aimes les garçons. enfin, normalement. tu n'as jamais essayé de fille faut dire. MÉTIER - voleuse ? non, tu ne fais rien à vrai dire. tu fuis. tu te caches. tu survis. GROUPE - éphémère infini AVATAR - la jolie hannah murray
Le chant de l'âme
Il est beau ton sourire. Il est le reflet même de la beauté. Si simple. Si doux. On pourrait s’y perdre. S’égarer dans ce regard un peu paumé.
Tu as l’air de ce petit ange que tu n’es pas. Trop défoncée par la vie. Toi tu cries. Tu pleures. Tu ries. Tu te perds dans l’infini de tes rêves désabusés. Tu te crois grande. Tu te crois forte. Mais tu n’es qu’une petite fille égaré qui n’aurait pas dû grandir si vite. Alors parfois tu tombes. Tu tombes et tu voudrais qu’on te relève. Que quelqu’un soit là pour toi. Pour t’aider. Pour te guider. Mais tu as trop peur. Peur d’avoir mal encore. Peur de comprendre que tu t’es à nouveau trompée. Tu n’as plus confiance. En rien. En personne. Parce que tu ne veux pas que ça recommence. Tu refuses de vivre une nouvelle désillusion. C’est trop dur. Trop douloureux. Alors tu continues toute seule. Tu marches sans but. Tu marches sans rêve. Et tu te sens seule. De cette solitude affreuse qui te prend le cœur. Tu n’as jamais aimé être seule. Tu aimes trop la présence des autres pour ça. Pourtant, aujourd’hui, les autres te font peurs. Alors tu es là, au milieu de ce putain de paradoxe. Un peu perdue.
Le regard un peu vide, un sourire un peu absent, tu te caches. Doucement, tu réapprends à vivre.
Sous l'océan
PSEUDO - tadshoot PRÉNOM - marion ÂGE - dix neuf ans T'AS CONNU LE FORUM OÙ - ... c'est mon dc BITCH COMMENTAIRE(S) - je m'aime POISSON PRÉFÉRÉ - ariel CODE AVATAR -
C'est l'incertitude qui nous charme. Tout devient merveilleux dans la brume.
Tu la regardes silencieusement. Sans ouvrir les lèvres, tu passes tendrement la main sur son corps meurtri. Les yeux vagues, tu caresses sa peau bleuie par les coups dans l’espoir de faire disparaitre les marques disgracieuses. Les cadavres de bouteilles ornent encore l’appartement minable dans lequel vous vivez. Comme à chaque fois. Alors, laissant échapper un petit soupire, tu agis comme à ton habitude. Tu les ramasses. Une par une. Tu les ramasses, puis tu viens t’assoir près de ta mère en allumant la petite télévision minable qui meuble encore le salon. Et tu regardes les dessins animés. Tu rêves d’aventures. Tu rêves de t’évader de ce monde où le bonheur semble illusoire. Les images colorées semblent tellement plus attractives. Pourtant, elles ne sont rien d’autres que des images. Et la réalité t’appelle. Dur réalité. « Tu r’gardes encore la télé gamine ?! T’en as pas marre de rien branler ? » Ton regard se pose sur lui. Dur. Il dit ça. Lui. Alors qu’il est celui qui reste planté à la maison à ne rien faire. A pervertir ta mère dans ses conneries de drogue et d’alcool. Tu te lèves sans un mot. Et tu le regardes. Avec ces yeux. Si noirs. Si noirs. Tu as envie de crier que tu le hais. Qu’un jour tu le tueras pour ce qu’il a fait à ta maman. Ta si belle maman. Pourtant, tu ne dis rien. Tu n’ouvres pas la bouche. Tu te contentes de récupérer le sac poubelle contenant toutes les bouteilles afin de le descendre. « Et j’ai besoin de fric gamine ! » Tu laisses échapper un long soupire. Tu sais ce que ça veut dire. Il veut que tu le lui rapportes. Quel con. Comment veut-il que tu lui apportes de l’argent ? Toi ? Pourtant, tu sais ce qu’il adviendra si tu continues à l’ignorer. Il va la frapper. Et ça, tu refuses. Tu refuses de savoir que tu aurais pu faire quelque chose pour éviter ça. Il faut que tu trouves comment ramener de l’argent. Maintenant.
C’est en déposant les bouteilles que ton regard se pose sur la maison d’en face. Vide. Tes voisins sont en vacances. Ils laissent toujours la porte des toilettes entrouvertes. Tu restes là, figée pendant quelques secondes. Ça sera facile. Entrer par la petite fenêtre et récupérer quelques trucs puis ressortir. Juste ça. Pourtant, ton cœur bat à cent à l’heure. Tu as un peu peur. Juste un peu.
Elle a sonné. Cette putain d’alarme. Elle a sonné. T’étais terrorisée. T’es ressortie en un rien de temps. Ton cœur palpitait. Et pour la première fois de ta vie, tu te sentais vivante. C’est comme ça que tu l’as rencontré. Lui. Il rigolait. Planté devant la petite fenêtre des toilettes par laquelle tu étais rentré. Il rigolait. Et alors, doucement. Tout doucement. Comme la chose la plus naturelle du monde, il a pris ta main et vous vous êtes cachés. Quand la police est arrivée, vous n’étiez plus là. Envolé. Ce jour-là, ta vie a basculé. « Tu t’appelles comment gamine ? » Il avait cette voix un peu grave. Rassurante. Un peu dangereuse. « Romane ». Il a souri. Tu ne sais pas bien pourquoi, mais tu l’as aimé immédiatement. C’était inexplicable. Une évidence. C’est tout. « Tu as bien des choses à apprendre petite Romane … »
On attend désespérément celui ou celle qui apaisera d´un doigt nos muscles noués et nos encéphales en sous-régime
« Frappe » Les yeux rivés sur ta cible, tu frappes. T’aimes ça. Putain. Ca fait tellement du bien. « Plus fort ! » Un sourire vient orner ton visage enfantin. Tu frappes plus fort. Tu as envie de l’impressionner. Lennon. Il est cet exemple masculin que tu n’as jamais eu. Beau. Grand. Fort. Et puis, même s’il ne te le montre pas, il est dangereux. Et tu aimes ça. Tu aimes ça le danger. Ça t’donne l’impression d’être vivante. « Tout à l’heure, on part sur un gros coup. Tu viens avec nous » Tu te figes brusquement en plein mouvement. Moment de trouble dont il profite pour effectuer l’une de ses manœuvres pour te bloquer « T’es morte. » Un petit gémissement de déception s’échappe de tes lèvres alors que tu remues pour te libérer. Il voulait simplement te tester. Voilà si tu arrivais à rester concentrée. Grimaçant légèrement, tu te replaces face à lui. « Tu dois rester concentrer. Tout le temps. » Tu hausses doucement les épaules, consciente de tes erreurs. « Mais sinon, c’était pas une connerie. Tu viens avec nous » Fronçant les sourcils, tu plonges ton regard dans le sien. Comme pour sonder la présence de mensonge. Puis tu souris. De ce sourire innocent d’une gamine trop heureuse. « Sérieux ?! Oh putain ! » Et alors tu lui sautes dans les bras. Le genre de chose qu’il ne faut pas faire. Pas avec lui. Il n’est pas n’importe qui. Pourtant, étrangement, il se laisse faire. Etrangement, il finit même par serrer un instant ce petit corps contre lui. Il ne sait pas bien pourquoi il fait ça. Pourquoi il agit différemment avec toi. Pourquoi il t’a ramené. Pourquoi il t’apprend tout ça. Il sent simplement qu’il doit le faire. Il est différent parce que tu es différente. Tu as dans ce regard cet éclair de pureté un peu spécial. Cet éclair sauvage et impétueux d’un petit chat qui voudrait être un lion. Et qui y croit. Qui y croit si fort que tu pourrais le faire croire à n’importe qui. Alors il y croit lui aussi. « Aller, lâche moi gamine. » Tu lâches un petit rire avant de déposer un rapide baiser sur sa joue. Un baiser qui le trouble. Juste un instant. Il n’a pas l’habitude qu’on soit si tactile avec lui. Et toi, tu profites de cet instant d’inattention pour effectuer l’un de ces mouvements qu’il t’a appris et le mettre à terre. « T’es mort ! » Un rire s’échappe de tes lèvres. La petite fille devient grande.
- Oh, l’amour... C’est un bien grand mot ! - Je sais pas... y a que 5 lettres.
Un frisson te parcourt alors que ses doigts viennent se prendre sous ton tee-shirt. Tu sens cette chaleur indescriptible parcourir ton corps tandis que ta main vient se perdre dans ses cheveux. Presque sauvagement, ses dents viennent mordiller tes lèvres. Tu rigoles doucement avant de capturer ses lèvres. Tu aimes sa bouche. Tu aimes la chaleur de sa peau contre la tienne. Tu te sens belle sous son regard. Tu te sens importante. Sa main vient se glisser entre tes cuisses. Tu sens son souffle. Là. Juste contre tes lèvres. Doucement, il te murmure ces jolies mots « … Tu es belle Romane … » Et tu souris. Tu ne sais pas bien ce que le mot amour veut dire. On ne sait pas grand-chose à dix sept ans. Pourtant, ça doit ressembler à ça. Timidement, tu viens glisser tes mains sous son tee-shirt que tu retires un peu maladroitement. Tu en as envie. Faire l’amour avec lui. L’endroit n’est peut-être pas idéal. Le canapé défoncé du QG de votre petite organisation. Mais tu t’en fou. C’est pas ça qui t’importe. Aujourd’hui, il n’y a que lui. Que lui et toi. Le cœur battant, tu l’aides à retirer ton tee-shirt, rougissant légèrement à l’idée qu’il te verra bientôt nue. Ses doigts jouent doucement avec le tissu de ton soutien-gorge. Ça t’fait frissonner. Tu te cambres un peu pour qu’il le retire, mais il change de destination et c’est le bouton de ton jean qu’il détache. Tu l’embrasses. Doucement. Tendrement. Sauvagement. Le gout de ses lèvres te fait planer. Et alors, il retire ton pantalon. Il te regarde un instant. Il se recule un peu pour te regarder. Ça te fait rougir. Ca le fait sourire. « … vraiment magnifique … » Tu laisses échapper un petit rire avant de le frapper gentiment pour cacher ton trouble. Ses lèvres viennent de nouveau caresser ta peau, descendant lentement entre tes seins puis sur ton ventre. « …faudra plus de… » C’est ce moment précis qu’il a choisi pour débarquer. Une entrée fracassante. Il s’est figé en vous voyant. Et c’est là que tout a déconné. Pour la première fois, tu as vu ce regard. Ce regard qui faisait de lui cet être si respecté. « Toi. » Il s’est approché de ton bel amant tel un prédateur. Sauvage. « Je… Len- » « - ta gueule » Tu as écarquillé les yeux. Jamais il ne t’avait parlé comme ça. Violemment, il a attrapé ton amant par la gorge. « Tout le monde dehors. » Personne ne s’est fait prier. Tout le monde avait déjà compris ce qui allait se passer. Tout le monde sauf toi. Toi qui ne voyais en Lennon qu’une version trafiquée de lui. Déjà, tes yeux se remplissaient de larmes. « …Lennon…On…on faisait rien de mal… » Tu as peur. Vraiment. Tu ne l’as jamais vu comme ça. Pourtant, pour une fois, tes mots ne changent rien. Le regard rivé sur Ewen, il sourit. Un sourire malsain. Mauvais. « Tu voulais la pervertir hein… » Tu écarquilles les yeux avant de t’approcher de lui pour l’empêcher. Mais sa voix vient de nouveau résonner. Froide. Dure. « Tu bouges pas. » Alors tu ne bouges pas. Tremblante, tu ne bouges pas. « … tu ne comprends pas…personne ne la touche tu comprends ? Personne. » Tu le vois sortir son canif. Son canif qu’il ouvre avant de le faire tourner devant les yeux de ton amant terrorisé. Et presque doucement. Presque tendrement, il vient taillader sa joue, lui arrachant un gémissement de douleur. « Tu ne voleras pas sa pureté. » De nouveau, presque doucement, il attrape son bras avant de dessiner une ligne de sang. Il hurle ton Ewen. Et toi tu sanglotes. Tu veux pas qu’il lui fasse du mal. Tu veux pas. Tu finis par braver son interdit pour te lever. Tu attrapes son bras. Tu le supplie d’arreter. « Arreeeete ! jt’en supplie Lennon ! Je ferais ce que tu veux ! » Il te regarde. Et il te sourit. « … je veux que tu regardes. Et que tu comprennes. Il sera ta leçon du jour. » De nouveau, la lame vient s’enfoncer dans son bras. Dans l’autre sens. Le sang coule sur les doigts de Lennon. Tu cris. Tu cris en même temps qu’Ewen. Tu lui hurles d’arrêter. Mais rien n’y fait. Lennon termine son travail avant de se tourner de nouveau vers toi. Et tendrement, il passe sa main sur ta joue, y laissant une marque rouge. « Personne ne te volera ta belle innocence Romane. » Tu voudrais lui hurler que c’est ce qu’il fait. Il bousille ta putain d’innocence à coups de couteau. A coup de hurlement de douleur. Il te force à regarder. A regarder celui qui t’embrassait si chaudement se faire dépecer vivant. Mourir à petit feu sous les coups de couteau de cet être que tu croyais connaitre. Que tu croyais aimer. Les yeux vides, tu regardes désormais le corps sans vie de celui qui faisait battre ton cœur. Tu ne pleures plus. Tu n’as plus de larme. Tu te laisses juste tombée par terre. Tu ne t’aies même pas rhabillé. A moitié nue, tu observes Lennon. Le vrai Lennon. Ou son masque. Tu ne sais pas bien. Il s’agenouille face à toi et place doucement une mèche de cheveux derrière ton oreille. Comme si rien ne s’était passé. Et dans un sourire qu’il avait l’habitude de t’offrir, il souffle doucement. « … Tu es belle Romane … »
Et puis on se dit que ce n'était qu'une vague illusion, que le temps emporte tout, que les êtres changent. Les sourires se transforment, on ne reconnais plus rien, tout disparait peu à peu. Plus aucuns repères, plus rien. Ou peut-être juste l'infime espoir qu'un jour tout sera comme avant.
Tu as compris que ça ne pouvait pas continuer. Que toute ta vie reposait sur une putain d’illusion. Lennon avait tant représenté. Il t’avait tout appris. Et là. Brutalement, il reprenait tout. Tous tes rêves. Tous tes espoirs. Alors tu as décidé de partir. De voler les quelques milliers que Lennon garde planqué. Voler semble si facile aujourd’hui. A croire qu’il t’a bien appris finalement.
Dernière édition par Romane "Swann" Riverfield le Mer 9 Oct - 19:25, édité 2 fois
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Sujet: Re: SWANN ◭ le temps du bonheur, à l'ombre d'une fille en fleur Mar 8 Oct - 0:01
J'espère que tu sais comment tu vas payer un loyer quand tu vivras chez moi !
Cerbère du Maurier
ATTENTION CHIEN MÉCHANT
alors, ô ma beauté! dites à la vermine qui vous mangera de baisers, que j'ai gardé la forme et l'essence divine de mes amours décomposés !
♒ messages : 331
♒ Age : 28
Feuille de personnage ♒ âge: on ne le sait pas réellement, certains lui donne la trentaine et d'autres à peine vingt ans. ♒ profession : fossoyeur, croque-mort, gardien du cimetière, fournisseur de poison, de corde aux noeuds coulants et tout autre objets contondants pour vous faire rejoindre les morts. ♒ le choix du coeur: enterré quelque part sous une tombe sûrement
Sujet: Re: SWANN ◭ le temps du bonheur, à l'ombre d'une fille en fleur Mar 8 Oct - 9:25
TOI, avec un vagin. je m'en remettrais pas je crois puis d'où tu cites proust en lisant musso-levy, le pauvre homme doit se retourner dans sa tombe
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Sujet: Re: SWANN ◭ le temps du bonheur, à l'ombre d'une fille en fleur Mar 8 Oct - 9:36
va te pendre
... avec tout mon amour
Cerbère du Maurier
ATTENTION CHIEN MÉCHANT
alors, ô ma beauté! dites à la vermine qui vous mangera de baisers, que j'ai gardé la forme et l'essence divine de mes amours décomposés !
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Sujet: Re: SWANN ◭ le temps du bonheur, à l'ombre d'une fille en fleur Mar 8 Oct - 10:23
ça te ferait trop plaisir
Elsie Lattimer
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Feuille de personnage ♒ âge: 18 ans ♒ profession : serveuse dans un bar ♒ le choix du coeur: le coeur ne choisit rien
Sujet: Re: SWANN ◭ le temps du bonheur, à l'ombre d'une fille en fleur Mar 8 Oct - 15:12
Hannah dégage tellement d'émotions, ça m'émeut... Bref, revienvenue !
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Sujet: Re: SWANN ◭ le temps du bonheur, à l'ombre d'une fille en fleur Mar 8 Oct - 15:26
voui ** elle est beeeelle. elle est parfaite ** je l'aime
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Sujet: Re: SWANN ◭ le temps du bonheur, à l'ombre d'une fille en fleur Mar 8 Oct - 16:32
« Innocente évanouie, belle endormie. Douceur naïve d'un regard évanescent. Le mystère fait femme. Aube de lumière sur une silhouette assombrie de doute et d'angoisse. Elle danse, insouciante. Elle chante, l'insolente. Attention aux ailes brûlées ... »
Bienvenue entre le ciel et la mer !
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Sujet: Re: SWANN ◭ le temps du bonheur, à l'ombre d'une fille en fleur Mar 8 Oct - 19:01
Cerbère du Maurier a écrit:
puis d'où tu cites proust en lisant musso-levy, le pauvre homme doit se retourner dans sa tombe
dieu, que je t'aime. j'ai envie de te faire des insanités, là, maintenant.
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Sujet: Re: SWANN ◭ le temps du bonheur, à l'ombre d'une fille en fleur Mar 8 Oct - 19:29
tu peux y aller aussi (a) utilisez la même corde, ça s'ra super romantique (a)
Tks Vyro **
Cerbère du Maurier
ATTENTION CHIEN MÉCHANT
alors, ô ma beauté! dites à la vermine qui vous mangera de baisers, que j'ai gardé la forme et l'essence divine de mes amours décomposés !
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Sujet: Re: SWANN ◭ le temps du bonheur, à l'ombre d'une fille en fleur Mer 9 Oct - 3:35
Marcus Lazarre a écrit:
dieu, que je t'aime. j'ai envie de te faire des insanités, là, maintenant.
oh oui tu peux mon amour, t'as l'autorisation spéciale du staff là
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Sujet: Re: SWANN ◭ le temps du bonheur, à l'ombre d'une fille en fleur Mer 9 Oct - 17:00
hannaaaaaaaaaaaaaaaah. rebienvenue.
Elsie Lattimer
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Sujet: Re: SWANN ◭ le temps du bonheur, à l'ombre d'une fille en fleur Jeu 10 Oct - 13:54
ouah, Hannah colle tellement bien au rôle, j'ai eu toutes les images pendant que je lisais Bref, je te valide, tu connais déjà le chemin pour le reste
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Sujet: Re: SWANN ◭ le temps du bonheur, à l'ombre d'une fille en fleur
SWANN ◭ le temps du bonheur, à l'ombre d'une fille en fleur