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 Je sens les ténèbres s'emparer de moi. ◂◄◀ renoir

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Louis Renoir
Louis Renoir

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♒ âge: vingt ans et demi.
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♒ le choix du coeur: l'amour c'est moche.


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MessageSujet: Je sens les ténèbres s'emparer de moi. ◂◄◀ renoir   Je sens les ténèbres s'emparer de moi. ◂◄◀ renoir Icon_minitimeDim 26 Jan - 15:34


© tumblr


Louis Renoir
rêver, c'est se désintéresser ▲ bergson


NOM(S) - Renoir. PRÉNOM(S) -  Louis. AGE ET LIEU DE NAISSANCE - il y a vingt-et-un ans, sa mère était enceinte de lui, et n'allait pas tarder à accoucher. La famille Renoir vivait alors dans un coin paumé du Massif Central, en France. Mais Louis est né à Lyon, prématurément, alors que sa mère rendait visite à sa famille. NATIONALITÉ -  Français pur jus. STATUT CIVIL - Éternel célibataire très peu désireux de s'intéresser à quelqu'un. ORIENTATION SEXUELLE - On ne demande pas son âge à une dame... Ah, pardon, ce n'était pas la question ? Allez savoir ce qu'il est, il ne s'intéresse pas vraiment aux filles et pas vraiment aux garçons. MÉTIER - Étudiant.  GROUPE - âme amère (sauf si vous voyez mieux). AVATAR - Sid Ellisdon.


Le chant de l'âme


Vous ne pourrez jamais faire confiance à quelqu'un comme Louis. Quelqu'un qui a toujours tout eu, et qui est un éternel insatisfait. Louis Renoir, c'est un manipulateur invétéré. Fantasque, il a toujours une idée farfelue pour faire du mal aux autres. Il n'est pas gentil, sans être pour autant trop méchant. Il ne pense qu'à lui, qu'à ses rêves absolument impossibles. Il aime romancer sa vie. Et il vous en racontera, des histoires. Il vaut mieux ne pas lui faire confiance. Sa vie a toujours été entourée d'une aura de mystère, pour la simple et bonne raison que c'est un menteur professionnel qui varie souvent ses discours. On pense le connaître, et on se rend compte que tout ce qu'il a dit n'était qu'un tissu de mensonges. La vérité, c'est que Louis Renoir est un révolutionnaire idéaliste qui refuse le monde réel. Il déteste le pragmatisme et toutes les personnes qui lui disent qu'il faut se résigner. Sa vie idéale ne se joue pas dans ce monde. Il défend une utopie assez étrange où il occuperait bien sûr une place de choix. Il est opposé à à peu près toutes les formes d'opinions politiques, sociales ou intellectuelles. Il recherche juste à faire vivre ses rêves, et pour cela, il se montre très dur avec son entourage. Il n'a absolument pas peur de blesser, il sait bien que de toute façon, cette vie-là ne peut offrir que de la souffrance. Il a beaucoup de problèmes, mais il faut préciser que ces problèmes, c'est lui-même qui les crée.


Sous l'océan


PSEUDO -  Skidbladnir/Jules. PRÉNOM - Inconnu au bataillon. ÂGE - Vingt années. T'AS CONNU LE FORUM OÙ - par Aristée. COMMENTAIRE(S) - JE SUIS DIABOLIQUE. èé … Euh, non, c'est pas ça qu'il fallait dire je crois. J'suis une assistée plutôt. POISSON PRÉFÉRÉ - aucune idée, pas celui de la cantine en tout cas. CODE AVATAR -
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Louis Renoir
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Le murmure de ta vie
la douleur passe, la beauté reste. ▲ renoir

Lorsqu'il ouvrit les yeux, il aperçut des lueurs dansantes dans le coin de la pièce noire. Ces petites lumières virevoltaient si loin de lui, inaccessibles, et pourtant, cela lui faisait chaud au cœur. Il savait que la lumière brillerait un jour pour lui, qu'il verrait le bout de ce tunnel. Pour l'instant, il était dans la pénombre, et il ne voyait même pas ses doigts. Il avait beau les remuer, c'était à peu peine s'il percevait un mouvement dans les ténèbres. Il sourit. Pour le moment, il n'était pas mort. Il n'avait pas réussi à le tuer, même s'il sentait la douleur qui parcourait son corps. Il avait toujours dit que c'était lui qui le tuerait d'abord. Je te ne laisserai pas me faire du mal. Plus jamais. Mais il avait beau se cramponner à sa résolution, il devait reconnaître que, pour le moment, il était trop faible. Il l'avait toujours été, ce n'était pas nouveau. Son corps ne tiendrait pas longtemps le coup, s'il continuait sur cette voie ; mais il ne pouvait pas se permettre de ne pas réagir aux provocations. Je dois... continuer à avancer. Il imaginait très bien le rire cristallin de sa sœur. Elle n'arrêtait pas de lui dire qu'il ferait mieux d'abandonner, qu'il devait reconnaître la supériorité de la force de son adversaire, car il allait le tuer. Au fond, tuer, se faire tuer, quelle importance ? L'important, c'était de ne pas se laisser submerger sans se battre. Il devait continuer sur sa voie d'ombre. Il essaya de bouger le bras, mais se rendit compte que celui-ci était coincé derrière son dos. Il était adossé au mur, assis par terre. Il se rappela qu'il était tombé face contre terre avant de perdre connaissance. Quelqu'un l'avait bougé là, et ce quelqu'un, ce n'était certainement pas son adversaire. « Il... il y a quelqu'un ? » : demanda-t-il à l'ombre, et celle-ci ne lui répondit pas. Juste du silence assourdissant pour l'accueillir à son réveil, et une obscurité presque totale. Il aurait dû s'en douter. Il resta un instant à contempler les ténèbres, puis il sentit ses paupières devenir lourdes, et il s'endormit.

Lorsqu'il ouvrit les yeux, la lumière n'était toujours pas revenue. Les lueurs s'étaient déplacées, et une silhouette noire était penchée à côté de lui, visiblement affairée à faire quelque chose. Il tourna la tête et essaya de discerner les traits, à travers cette masse de cheveux bruns et bouclés qui étaient la caractéristique des femmes de cette famille. Son corps commençait à lui faire vraiment mal. Il sentait le moindre de ses hématomes, son cœur qui pulsait dans ses blessures, et avoir dormi dans une position inconfortable lui faisait mal au dos. Il y avait toujours du sang qui lui coulait le long de son bras ; une de ses égratignures avait dû se rouvrir pendant son sommeil. Et toujours cette obscurité qui lui glaçait le cœur. « Je... » : commença-t-il à dire, et la personne qui se trouvait à côté de lui tourna son visage en sa direction. Il reconnut le visage doux et inquiet de sa sœur. Ses grands yeux noirs, hérités de son père, reflétaient l'ombre d'un reproche. Il savait très bien ce qu'elle pensait. Il n'avait pas besoin de mots pour la comprendre, il suffisait de la voir soupirer longuement, comme si elle essayait de retenir sa rage à l'idée de le voir se conduire aussi stupidement. « J'en ai assez de tes bêtises... combien de temps continueras-tu à créer tes propres problèmes ? » Il ne répondit pas. Il n'avait pas les moyens de lui expliquer quelque chose qui ne pouvait pas se comprendre tant qu'on ne le vivait pas. Il fallait plonger dans des abîmes de haine pour retrouver quelque chose de l'état primitif de l'homme. Quelque chose qui s'était perdu avec la civilisation, et la domestication des individus. Ils étaient tous devenus si sages, si posés. Au risque d'oublier qu'il y avait au fond de chacun d'eux une violence propre à soulever les montagnes. « Tout ça, c'est de ta faute. Tu es toujours si méchant avec tout le monde... » « Laisse-moi. » Mais elle ne bougea pas. Au contraire, elle ignora complètement son ordre et reprit son travail sans plus lui prêter d'attention. Comment faisait-elle pour voir quelque chose alors que l'obscurité était presque totale, c'était un mystère. « Pourquoi tu n'allumes pas la lampe ? » Il essaya de dégager son bras, ne réussit qu'à réveiller ses douleurs, et abandonna. Pendant ce temps, elle resta silencieuse, jusqu'à ce qu'elle eût fini. Alors elle lui tendit un bol qui contenait de la soupe. Il comprit alors qu'il avait fait, que cela devait faire un petit moment qu'il était là. Cette fois-là, il n'était pas passé loin du sommeil définitif. Encore un peu, et l'autre fou aurait eu sa peau. Cela le faisait rire. S'il l'avait tué, il aurait eu des problèmes plus graves que lui - parce que lui, au fond, il s'en fichait un peu, la vie ça ne valait rien. Il prit le bol et commença à boire. « Tu l'as cassée. Tu as envoyé le vase préféré de maman en plein sur l'ampoule. D'ailleurs, c'était idiot. » Cela s'était donc passé la nuit ? Oui, à présent, il s'en souvenait. Il avait signé son arrêt de mort quand il l'avait fait. Mais il n'était pas mort. Il se mit à rire, comme il ne l'avait pas fait depuis longtemps. Sa sœur l'observa avec consternation, puis elle se leva et remporta le plateau qu'elle avait prévu à son attention. Il savait ce qu'elle pensait. Son frère ne valait pas la peine qu'on s'occupât de lui.

Quand il ouvrit les yeux, il se rendit compte que c'était enfin le jour. Enfin, il voyait clair dans la pièce, et constata avec stupéfaction que c'était sa propre chambre. Il était toujours assis dans la même position, et il avait vraiment mal. En plus, il commençait à avoir faim. Il avait trop dormi pour se rendre compte du temps qu'il avait passé là, sur le sol, mais il estimait que cela faisait au moins une dizaine d'heures que sa sœur lui avait apporté de quoi manger. Son estomac criait famine. Au moins, il ne saignait plus. Ses vêtements sentaient le sang séché, mais ses blessures avaient été guéries par quelqu'un. Sa sœur en avait sans doute profité pendant son sommeil. Il entendait une autre respiration, tout proche de lui. Il leva les yeux, et il aperçut son père, qui le regardait de haut. La mise en scène était impeccable. Tout était fait pour l'écraser, pour faire de lui un misérable insecte qu'il pourrait écraser à sa guise. Vêtements noirs. Cheveux dans les yeux. Regard sombre. Posture nonchalante. Totale conscience de sa puissance. Le fils toussa. « Je te tue tout de suite si tu ne présentes pas immédiatement tes excuses, annonça sa Némésis d'une voix doucereuse. C'est à toi de le faire. C'est toi qui a commencé. » En venir à de telles extrémités parce qu'il n'arrivait pas à se faire obéir de son fils... Il sourit. Il savait très bien que son père tiendrait parole. Après tout, dans son ancienne vie, il avait été un tueur à gages. La pomme ne tombe jamais loin de l'arbre, après tout, il était comme lui. Cela devait bien l'énerver, son père, d'avoir un fils qui lui ressemblait autant, alors que ce n'était sans doute que le bâtard de sa mère. « Tu voudrais que je m'excuse, connard ? Tu crois p'tet que j'ai peur de mourir ? Vas-y, frappe si c'est le cas, j'en ai tellement rien à faire. » Bien sûr qu'il était coupable. Il avait toujours été coupable, depuis le jour où il avait entendu ses parents parler. Quand son père avait dit à sa mère que son fils n'était peut-être pas sien, qu'il savait pour son amant, quelque chose s'était brisé en lui. Son père qui avait toujours été son modèle. Cet homme si fort, si intelligent, si parfait. Comment voulait-il qu'il réagisse, bon sang ? Il ne pouvait quand même pas le prendre bien et accepter d'être juste le bâtard de sa mère ! Bien sûr qu'il voulait mourir. Il n'avait plus envie de rien, juste de détruire son icône. S'il n'était pas son père, alors il n'était rien. Il remua, et il se rendit compte que son père s'était déjà penché sur lui, une lueur folle dans ses yeux sombres - la lueur du tueur. La lame de son couteau s'était déjà posée sur la gorge du fils, qui ne tressaillit pas. Tue-moi, alors. T'es pas mon père. La lame commença à entailler sa peau, à faire jaillir un léger filet de sang. Il ne ferma pas les yeux, et des larmes commencèrent à monter dans ses yeux. Au fond, il était si jeune. Quel destin tragique. La pression de lame s'arrêta soudain, et il observa son père avec surprise. Celui-ci évalua sa réaction, puis il le gifla comme on gifle un gamin. Le fils resta choqué, la bouche béante, essayant de comprendre ce qui se passait. Mince. Il l'avait percé à jour. C'était sans doute pour cela qu'il était rentré dans son jeu... « Franchement, Louis, tu m'énerves avec tes mises en scène à la noix. La prochaine fois que tu veux attirer mon attention, contente-toi de faire le ménage dans ta chambre au lieu de jouer les victimes. Maintenant, va te laver, tu pues la sauce tomate. » Putain, mais il l'énervait à casser ses délires !





Louis avait toujours été ce type de garçon rêveur, qui se faisait des films et voulait vivre sa vie comme s'il s'agissait d'un mauvais scénario de mélodrame bien larmoyant. Depuis tout petit, ce type de scène était récurrent. Louis avait de l'imagination à revendre, et avec lui, les choses n'étaient jamais ce qu'elles paraissaient être. Tout le monde à l'école ne cessait de le plaindre. Le pauvre petit Louis, le fils présumé naturel de sa mère, qui ne cessait de se faire battre par un père jaloux, et qui essayait de se défendre comme il le voulait. Louis était un vrai manipulateur. La seule chose qui était vrai dans cette histoire, c'était sans doute qu'il n'était pas le fils de son père. Mais son père l'avait accepté, ce n'était pas là le problème. Le problème de Louis, c'était qu'il se sentait minable. Son complexe d'infériorité avait toujours été accompagné d'un très, très fort ego - le genre d'orgueil qui le poussait à se mettre toujours en avant, et à se sentir ridicule quand il n'y arrivait pas. Au fond, il avait tout ce qu'il voulait avoir. Il vivait dans une belle maison avec des parents aimants, une sœur adorable, plein de jouets, et on satisfaisait le moindre de ses caprices. Cependant, ce n'était pas assez pour l'adolescent. Qu'est-ce qu'il voulait, au juste ? Sans doute être le maître de sa vie. Ce qui voulait dire qu'il allait créer le scénario ultime. Devenir la Victime suprême, juste une fois, et voir si son père n'allait pas essayer de le tuer.

Alors il avait créé un piège pour toute sa famille. Il avait attiré son père dans sa chambre, il l'avait traité de tous les noms, il l'avait forcé à se battre contre lui. Il savait que son père était fort et qu'il serait obligé de le frapper à un moment ou à un autre. Il savait parfaitement que c'était le seul moyen, sinon, jamais il n'entrerait dans son jeu. Quand son père avait dû lui faire du mal, il avait été heureux d'atteindre son objectif, et il l'avait nargué. Son père l'avait laissé, exaspéré. Il avait donc pu passer à la phase la plus importante de son plan : la véritable mise en scène, le jeu qu'il avait préparé. Il avait mimé l'inconscience. D'accord, la sauce tomate en guise de sang, c'était plutôt moyen, mais c'était tout ce qu'il avait sous la main - il avait donc fait avec les moyens du bord. Ne restait plus qu'à mettre en désordre dans sa chambre, qu'à briser sa lampe avec le vase préféré de sa mère, et voilà qu'il était plongé dans son rôle. Son monde était un monde si excitant, en comparaison de celui dans lequel il vivait. Au moins, il y avait un peu de suspense là-dedans. Son père avait bien marché. Mais il ne l'avait pas tué. Louis avait beau remuer ciel et terre, il ne parvenait pas à trouver la clé qui pourrait forcer son père à lui faire du mal. Car même s'il n'était sans doute pas son fils par le sang, il était son fils par le cœur. Et il n'avait jamais trouvé la parade nécessaire pour l'en empêcher.


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MessageSujet: Re: Je sens les ténèbres s'emparer de moi. ◂◄◀ renoir   Je sens les ténèbres s'emparer de moi. ◂◄◀ renoir Icon_minitimeDim 26 Jan - 15:46

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Felipe Sabouraud
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MessageSujet: Re: Je sens les ténèbres s'emparer de moi. ◂◄◀ renoir   Je sens les ténèbres s'emparer de moi. ◂◄◀ renoir Icon_minitimeDim 26 Jan - 15:46

bienvenue ici Je sens les ténèbres s'emparer de moi. ◂◄◀ renoir 684342796
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Louis Renoir
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MessageSujet: Re: Je sens les ténèbres s'emparer de moi. ◂◄◀ renoir   Je sens les ténèbres s'emparer de moi. ◂◄◀ renoir Icon_minitimeDim 26 Jan - 15:49

J'suis contente alors.  Je sens les ténèbres s'emparer de moi. ◂◄◀ renoir 2416960414   Je sens les ténèbres s'emparer de moi. ◂◄◀ renoir 3658940345 
Merci.  Je sens les ténèbres s'emparer de moi. ◂◄◀ renoir 2063956044
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MessageSujet: Re: Je sens les ténèbres s'emparer de moi. ◂◄◀ renoir   Je sens les ténèbres s'emparer de moi. ◂◄◀ renoir Icon_minitimeDim 26 Jan - 17:49



t'es là, unique et tragique.


Déjà, bienvenue ici  Je sens les ténèbres s'emparer de moi. ◂◄◀ renoir 3725391601 (ouais t'es trop rapide, j'ai même pas eu le temps de te la souhaiter avant...) ; il m'a bien fait rire ton Louis, j'y ai trop cru Je sens les ténèbres s'emparer de moi. ◂◄◀ renoir 684342796

bon maintenant, suffit l'amour, on passe à l'acte mon chat Je sens les ténèbres s'emparer de moi. ◂◄◀ renoir 1467249500 donc voilà les trucs importants. si t'es pas assez réveillé encore, sache que tu dois faire ta fiche de personnage, c'est genre le dernier champ du profil, et puis c'parfait, pas besoin de se faire chier à aller dans sa fiche pour se rappeler l'âge de son personnage Je sens les ténèbres s'emparer de moi. ◂◄◀ renoir 2656410340Je sens les ténèbres s'emparer de moi. ◂◄◀ renoir 621579218 sinon, bah, les premiers pas, c'est ici pour les liens, lister les rps et puis un journal, pourquoi pas. pour les demandes quelconques, c'est par donc te gênes pas. sinon, mon amour, si t'aimes bien les trucs de groupe, bah tu viens pour les petits groupes et ici pour les trucs communs. oublies pas de suivre les annonces, et puis, surtout, viens flooder.
on t'aime déjà, va.




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MessageSujet: Re: Je sens les ténèbres s'emparer de moi. ◂◄◀ renoir   Je sens les ténèbres s'emparer de moi. ◂◄◀ renoir Icon_minitimeDim 26 Jan - 18:00

Merci.  Je sens les ténèbres s'emparer de moi. ◂◄◀ renoir 2416960414 
Mwahaha, c'est génial, t'es tombée dans le panneau.  Je sens les ténèbres s'emparer de moi. ◂◄◀ renoir 3886601584 
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