Voici plus de mille ans que la triste Ophélie passe, fantôme blanc, sur le long fleuve noir. Voici plus de mille ans que sa douce folie murmure sa romance à la brise du soir. ▲ ARTHUR RIMBAUD
NOM(S) - + Andär d’un air gauche, bancal. Il était pas destiné à s’appeler comme ça, son âme vagabonde aurait dû se promener entre d’autres fécondations, trahir Dieu et naître autrement, naître différent. Il aurait pu être Lagerfield ou Chateaubriand, mais Andär parce qu’on ne peut faire autrement. PRÉNOM(S) - Kel, qu’on a jeté rapidement au bord des larmes, qu’on voulait hurler pour se débarrasser de la tâche d’attribuer un nom à cette boule de vie absurde dont on ne veut pas. Aryel, pour une douceur de fleur, une douceur de fille qui passait transparente entre la fumée et les cris. Kel-Aryel pensé au fond des verres de vin, Kel-Aryel même si ses parents jamais n’ont voulu de lui. AGE ET LIEU DE NAISSANCE - Dix-neuf ans qu’il porte mal alors qu’il devrait en avoir un minimum de dix en moins, dix-neuf ans aussi parce que ses parents ont sûrement dû oublier de se protéger, dix-neuf ans parce qu’on ne contredit pas les décisions divines. Donc il est là pointé là, avec son âge qui accroit mais son cerveau qui depuis refuse strictement d’avancer vers le progrès. Il est né dans la Provence Alpes Côte d’Azur, mais il n’y connaît rien, il ne connait que les falaises blanches et le sel dans l’eau qui frappe les rochers, et du sel dans la gorge, et du sel dans la plaie. NATIONALITÉ - Anglais qu’il est, c’est comme ça, tout simplement. Et s’il pouvait, il aurait inversé sa nationalité à ses origines françaises. Parce qu’il préfère la France. Il veut s’enfuir, s’évader. Il veut vivre, il veut vivre fort mais tu vois, Douvres est mort. STATUT CIVIL - BANCAL. ORIENTATION SEXUELLE - + On ne saurait y mettre de mot. Si on parle de sexe, on dira bisexuel. Mais bisexuel, c’est trop visé, trop exact, trop parfait et net. On n’en sait rien, il n’en sait rien. Peut-être qu’il préfère les hommes, les fragiles comme lui, ou alors les femmes, les belles, les jolies. Il aime tout, Kel-Aryel, il ferait l’amour aux fleurs si s’était permit. MÉTIER - Amoureux, pour la vie, jusqu’à la mort, éperdu, fragile. Un peu fou, un peu bancal. Amoureux parce qu’il n’y a que ça qu’il pourrait faaire, parce qu’il n’a pas de diplôme si ce n’est celui que la vie donne à ceux qui s’efforce de faire barrage quand il y a du blizzard. Amoureux qui sonnerait bien aux portes et lâcherait : « Je suis l’amour, vous avez besoin de moi, c’est mon boulot. » GROUPE - âme amère. AVATAR - yuri pleskun.
Le chant de l'âme
Kel-Aryel est né détesté d’ailleurs il ne s’aime pas trop lui-même. Il trouve qu’il a une dégaine de cadavre, que son prénom pèse trop lourd, qu’il est trop maigre, qu’il est trop laid. A l’inverse de ce monde, à l’inverse de cette beauté pleine de venin qui à chaque fois le plonge dans cet état second dangereux. Amoureux, il n’y a rien de mieux pour décrire le pauvre enfant qui ne sait même plus ce qu’il dit. Certains ont des guerres, dans leurs esprits, dans leurs pensées, lui il a un asile. Pleins de cerveaux détraqués qui se battent dans le sien, pleins de mots gauches qui vont trop vite, qui lui échappe et il arrive qu’on le prenne pour un fou. Du bout des doigts il fait danser les cigarettes, les allumettes et vos squelettes qu’il anime d’une flamme incontrôlée et par amour il se jetterait dans le feu, pour vos âmes suicidaires. Lui, il n’est pas le genre de personne net, il est flou, lunatique, presque bipolaire. La nuit il se couche dans les herbes, s’enivre de ces gouttes de rosées et parle aux étoiles, tout seul dans sa pomme. La simple idée d’aimer suffit pour le faire rêver et dans Douvres personne ne sait à quel point il se sent enfermé, emprisonné. S’en échapper longtemps il en a songer, mais à quoi ça servirait ? Avec qui il irait découvrir le monde ? Il s’est enraciné sans même s’en rendre compte, et dans l’instant présent il croit toujours que sa décision dépend de sa volonté. Kel-Aryel rend souvent les gens accros, quand on lui parle et qu’il vous infiltre un morceau d’anormalité dans la tête, plus jamais on ne veut le quitter, il est trop doux, il à l’air sûr de lui, on dirait même qu’il sait ce qu’il fait. Mais peuchère de lui et peuchère de vous. Détrompez-vous si vous le croyez mature. Dans ses yeux il y a des paillettes et si on lui dit que les filles font du pipi rose, il y croira. Constamment, il est excité, il pense des fois à des milliers de choses dans la même seconde, il trépigne d’impatience, il sautille, il fait toujours quelque chose. Il n’est jamais posé. Jamais. Il ne parle pas normalement, il parle comme un enfant, il saute des mots, trop précipité. Il aime avoir des choses entre ses doigts, de la chair humaine, de la chair chaude, des sentiments. Il aime aimer. Mais il n’est pas pour autant pacifique et si on lui cherche des embrouilles, il passe aux mains, comme un idiot, et il regrette piteusement, le raconte aux étoiles, se déteste encore plus. Kel-Aryel, c’est un poème. Un nuage bohème qui lentement se promène et fait crier le tonnerre quand ça lui chante. Kel-Aryel ne veut qu’aimer. Aimer et vivre fort. Vivre jeune.
Sous l'océan
PSEUDO - WHOLESATANIC (ws) PRÉNOM - Malika. ÂGE - j'ai oublié. nan j'déconne, j'ai seize ans. je crois. T'AS CONNU LE FORUM OÙ - je sais plus. COMMENTAIRE(S) -POISSON PRÉFÉRÉ - question piège, j'te vois v'nir. CODE AVATAR -
Ils ont greffé dans des amours épileptiques leur fantasque ossature aux grands squelettes noirs ▲ arthur (parfait) rimbaud.
Je voudrais vous casser les hanches, d’avoir aimé.
Les falaises de Douvres, elles sont blanches, elles sont saintes. Des fois, j’ai l’impression qu’elles sont comme moi, innocentes, pleines d’amour à donner. Je m’assois sur les rebords, alors que les belles ont les croiraient endormis, totalement silencieuses pendant que les vagues calmes, doucement les caressent. Moi, je suis là, je regarde le vide, peut-être que je pense de sentiments, je ne sais pas trop ce que je fais, je ne sais pas du tout. Le vide aussi m’observe, il doit se demander que fait une âme aux bords des falaises à écouter les paroles philosophiques du silence. Il fait jour et le sel du soleil violemment m’agresse l’âme, comme l’alcool dans une plaie. C’est un trou, c’est une absence, bercée de culpabilité. Je sais ce que je suis pour eux, les « parents », je suis un poids, un poids lourd. Un résidu de plaisir maintenant disparu, comme un déchet toxique qu’on ne sait où jeter. J’aimerais contrôler les choses qui me sortent de la bouche, savoir de quoi je parle aussi, souvent. « Kel-Aryel ? » Les mots me parviennent comme des attentions discrètes, me chatouillent les oreilles alors que d’autres auraient sursautés. Elle est trop douce Melody, trop même pour faire peur à une mouche. Et puis quand elle bouge, on sait qu’elle fait attention, elle fait attention parce qu’elle a la chance de comprendre qu’elle est un danger ambulant potentiel de la vie, chose que les êtres amères chaque fois tentent de m’enfoncer dans le crâne. Douvres, Douvres. J’en ai déjà marre de Douvres qui toujours m’a l’air évanoui. Elle a trouvé mon abattoir et maintenant je suis sûr qu’elle va tenter d’y mettre des couleurs, heureusement. Elle va m’aider, j’ai besoin d’aide aussi, j’ai l’impression que j’me perce de plus en plus à distribuer les sourires, puis il faudrait bien que quelqu’un mette des sparadraps sur mes trous. Derrière moi, elle s’agrippe à mon torse comme on s’agripperait à une bouée de sauvetage, comme les autres s’agrippent généralement moi, mais malgré tant d’années, j’ai pas l’habitude. J’ai toujours cette chaleur cruelle qui te brûle le ventre et monte jusqu’à ta cage thoracique, tuant toute once d’hypocrisie, faisant régner l’amour. « Me-lo-dy ? » Les syllabes sont séparées, gentiment prononcées. Ils sont importants les morceaux de son nom, les morceaux de son corps, les morceaux de sa chair. Elle est sûrement la plus belle de fleur humaine, cette fille. Et quand elle sourit, c’est le monde qui s’arrête, l’horloge qui ne compte plus les secondes, comme un bouleversement. Le problème avec elle, c’est qu’elle sourit toutes les dix minutes, elle déséquilibre la vie chaque dix minutes. C’est ma sœur, cette petite tête. Mais c’est pas vraiment ma sœur, elle doit pas me considérer comme son frère, ça m’blesse des fois d’admettre qu’elle est juste comme ça, juste une perle avec tout le monde, pas qu’avec moi. J’m’en fous, c’est ma sœur. La sœur de tout le monde aussi peut-être, mais moi je sauterais dans les balles pour cette Melody, c’est fou. Elle recule, s’accroche à moi et m’éloigne des vagues, alors je riposte, tente vainement de me durcir et de revenir à mon échappatoire, sauf qu’elle ne veut pas, et avec moi elle arrive toujours à ses fins. « Mais... Viens, recule roh. » Elle me tire, elle me tire de toute ses forces, et puis elle tombe, s’étale même sur le sol comme une crêpe ratée, comme un corps raté. Elle éclate de rire toute seule, et moi je ne peux que la regarder sourire, un peu amoureux de son rire à elle. Je suis amoureux d’elle, autant que cette mer qu’elle ne veut pas me laisser regarder. Je suis un jeune qui se meut, qu’on me laisse me mouvoir. Melody, elle rit tellement qu’elle en pleure, et le spectacle est tellement beau qu’il vous crèverait les yeux. Tout de suite, les papillons s’affolent dans mon ventre et je sais pas trop comment réagir, alors je souris amusé, hébété, gêné. Elle reste couchée comme une étoile, le dos contre les herbes, les yeux dans les nuages, les nuages dans les yeux. Je fais presque semblant de retourner d’où je viens, pour capter son attention, c’est presque égoïste, de pas vouloir la laisser tranquille lécher ses barbes-à-papa blanches du regard, mais tant pis. « MAIS EH. » Elle attrape ma main, elle me fragilise. « J’ai peur. J’ai peur que tu tombes, dans l’eau. Et je ne sais pas encore si je plongerais pour te rejoindre ou si je te regarderais chuter. Donc, reste là s’il-te-plaît. » C’est le genre de fille qui aime parler bien. Elle ne saute pas les négations, Melody. Il y a des mots qu’on dit vite, les mots bizarres que les jeunes ils utilisent pour faire genre, ces mots-là, elle ne les connait pas. Elle dit « bonjour, s’il te plaît, merci. ». Mais elle est pas assez grande dans sa tête, c’est une gamine, comme moi. Elle ne vouvoie pas les inconnus, non. Elle te parlera comme si elle te connaissait bien avant que tu ne deviennes boule vivante sur la planète Terre, comme si dans une vie antérieur, vous étiez meilleurs amis, vous étiez amoureux. Melody me donne l’impression d’être important et ça me brûle, c’est pas ce que je veux, réellement. « C’est beau les nuages. » C’est à côté d’elle que je me pose, être de plus en plus proche d’elle, c’est tout ce que je veux, c’est juste mon seul besoin actuellement. C’est une petite gamine qui vit loin, et lorsqu’on l’observe vivre, les poings serrés, son visage décidé, son air sûr d’elle de femme déterminée, on sait qu’il faut en prendre soin. Sinon, de sa maladresse elle ferait des désastres. « Je t’offrirais un nuage, un jour. Tu crois qu’on peut les toucher ? » Rictus sur ses lèvres. Elle doit juste se demander sur quel genre d’enfant elle est tombée, pire qu’elle, alors que dans les normes, c’était humainement impossible. Mais c’est pas grave, c’est pas grave d’être différent. Au contraire, dans le monde de maintenant, le meilleur c’est d’être fou. Fou comme moi, fou comme elle, fou d’amour. Juste fou. Elle lève ses petits doigts ridicules au ciel, les bouge lentement, cligne des yeux. « Je les touche, JE LES TOUCHE ! KELLOGS JE TOUCHE LES NUAGES ! » Et l’écho transmet ce rêve bien beau au fond du cœur de Douvres qui auparavant sec, commence à s’imbiber d’une foule de sentiments emmêlés comme des fils d’écouteurs.
Dernière édition par Kel-Aryel Andär le Mar 24 Déc - 0:34, édité 12 fois
Niel Ambrose
♒ messages : 238
Feuille de personnage ♒ âge: vingt-six ans ♒ profession : aide aux soins de l'enfance. ♒ le choix du coeur: le magicien d'oze.
Sujet: Re: + THAT ASYLUM IS KILLING US SLOWLY. (kellogs) Sam 21 Déc - 21:45
rebienvenue par ici superbe choix de tête
Invité
Invité
Sujet: Re: + THAT ASYLUM IS KILLING US SLOWLY. (kellogs) Sam 21 Déc - 22:18
ce chat, moooooh. merci.
Pan Beauregard
♒ messages : 166
Feuille de personnage ♒ âge: six étoiles, vingt-deux printemps, cent-sept balais. ♒ profession : vendeur de rêves d'enfants. ♒ le choix du coeur: le lac.
Sujet: Re: + THAT ASYLUM IS KILLING US SLOWLY. (kellogs) Dim 22 Déc - 6:46
ah, encore toi magnifique yuri.
Invité
Invité
Sujet: Re: + THAT ASYLUM IS KILLING US SLOWLY. (kellogs) Dim 22 Déc - 6:59
on se débarrasse pas si facilement.
Pan Beauregard
♒ messages : 166
Feuille de personnage ♒ âge: six étoiles, vingt-deux printemps, cent-sept balais. ♒ profession : vendeur de rêves d'enfants. ♒ le choix du coeur: le lac.
Sujet: Re: + THAT ASYLUM IS KILLING US SLOWLY. (kellogs) Dim 22 Déc - 7:14
rah merdacier (oh j'aime tellement kel, il est parfait.)
Elsie Lattimer
♒ messages : 385
Feuille de personnage ♒ âge: 18 ans ♒ profession : serveuse dans un bar ♒ le choix du coeur: le coeur ne choisit rien
Sujet: Re: + THAT ASYLUM IS KILLING US SLOWLY. (kellogs) Dim 22 Déc - 7:50
Oh, il est trop chou Bienvenue ici !
Invité
Invité
Sujet: Re: + THAT ASYLUM IS KILLING US SLOWLY. (kellogs) Dim 22 Déc - 10:17
FAIS GENRE. t'as abandonné Ondine.
meeerci, et ce pseudo.
Axsel Loïyc
au siècle des Lumières, les poètes écrivaient des vers luisants.
♒ messages : 61
Feuille de personnage ♒ âge: vingt-deux. ♒ profession : repêcheur d'animaux morts. ♒ le choix du coeur: libre et brisé.
Sujet: Re: + THAT ASYLUM IS KILLING US SLOWLY. (kellogs) Dim 22 Déc - 18:32
ohhhhhh, ohhhhhhh, ohhhhh, ohhhhhhhhh, ROHHHHHHHHHH. ah que j'laime ce gosse bref, bienvenue ! j'ai hâte de lire la suite
Invité
Invité
Sujet: Re: + THAT ASYLUM IS KILLING US SLOWLY. (kellogs) Lun 23 Déc - 11:06
MOOOOOOOOOOOH, merci. haaaaaaaan, et puis rory, rohlala.
Barnabas Guivarch
NONE OF US ARE SAINTS.
♒ messages : 74
Feuille de personnage ♒ âge: IIMMORTEL. ♒ profession : TAXIDERMISTE. ♒ le choix du coeur: SANS FACON.
Sujet: Re: + THAT ASYLUM IS KILLING US SLOWLY. (kellogs) Lun 23 Déc - 13:38
il est adorable, ce petit. ö (puis ton avatar ) bienvenue
Invité
Invité
Sujet: Re: + THAT ASYLUM IS KILLING US SLOWLY. (kellogs) Lun 23 Déc - 14:12
Bienvenue
Amuse toi bien à te ficher.
Invité
Invité
Sujet: Re: + THAT ASYLUM IS KILLING US SLOWLY. (kellogs) Lun 23 Déc - 14:23
barnabas, oh la la, ce personnage et puis jonhy, ça frôle la perfection tout ça. merci beaucoup.
marie-jeanne, oooh cara. tu jouais pas naïs sur ollp ?
Invité
Invité
Sujet: Re: + THAT ASYLUM IS KILLING US SLOWLY. (kellogs) Lun 23 Déc - 17:03
sisi, c'est moi Naïs. ö
Invité
Invité
Sujet: Re: + THAT ASYLUM IS KILLING US SLOWLY. (kellogs) Lun 23 Déc - 17:06
oh, j'ai joué colton h. pendant un moment, on avait un lien bien. mais ça fait vraiment longtemps.
Invité
Invité
Sujet: Re: + THAT ASYLUM IS KILLING US SLOWLY. (kellogs) Lun 23 Déc - 17:10
oh mon dieu oui je me souviens. ( johan ? mémoire des pseudo de ouf ) j'hallucine que tu m'aies reconnu c'était y'a jor un an et demi
Invité
Invité
Sujet: Re: + THAT ASYLUM IS KILLING US SLOWLY. (kellogs) Lun 23 Déc - 17:25
oooooh oui, johan ! c'est moi qui hallucine là, même moi je me souvenais pas du pseudo ranlala.
en même temps j'adorais le personnage de Naïs (ça reste entre nous hein ), ça mérite un lien tout ça.
Invité
Invité
Sujet: Re: + THAT ASYLUM IS KILLING US SLOWLY. (kellogs) Lun 23 Déc - 17:31
awwwwn j'vais rougir.
hum, t'as de la chance, d'habitude je me relie pas avec les gens qui partent sans prévenir mais je ferais une exception pour toi
Invité
Invité
Sujet: Re: + THAT ASYLUM IS KILLING US SLOWLY. (kellogs) Mar 24 Déc - 0:23
je viens de voir le rp avec johan, rooooh mais je devais t'aveugler à l'époque avec mes phrases qui veulent rien dire et mes couleurs affreuses.
tu regretteras pas.
Invité
Invité
Sujet: Re: + THAT ASYLUM IS KILLING US SLOWLY. (kellogs) Mar 24 Déc - 6:23
j'avoue que je suis allée voir du coup. mais noooooon c'était très bien
Invité
Invité
Sujet: Re: + THAT ASYLUM IS KILLING US SLOWLY. (kellogs) Mar 24 Déc - 6:31
t'es gentille toi. quand même j'espère que mon niveau a évolué.
Invité
Invité
Sujet: Re: + THAT ASYLUM IS KILLING US SLOWLY. (kellogs) Mar 24 Déc - 6:44
c'est la première fois qu'on me qualifie de gentille, ça fait drôle. mais oui, on change tous. quand même y'a plus d'un an qui s'est passé. sinon, j'vais peut-être arrêter de flooder
Invité
Invité
Sujet: Re: + THAT ASYLUM IS KILLING US SLOWLY. (kellogs) Mer 25 Déc - 13:43
ça m'plait d'être une de tes premières fois.
je pense aussi.
Invité
Invité
Sujet: Re: + THAT ASYLUM IS KILLING US SLOWLY. (kellogs) Sam 28 Déc - 17:45
que c'est mignon
allez, grouille toi de finir ta fiche.
Contenu sponsorisé
Sujet: Re: + THAT ASYLUM IS KILLING US SLOWLY. (kellogs)