« Le plus beau voyage est de se prouver sa liberté. » ▲ anonyme
NOM(S) - Davis, c'est l'un des noms les plus répandus dans les pays anglophones. Bien qu'elle n'aime pas les banalités, Arlène l'accepte quand même, simplement par l'absence de choix. PRÉNOM(S) - Il rattrape tout et la représente si bien. Ça fait sauvage. On dit que c'est de la pure invention. Sa mère a toujours eu le don pour les choses pures, du bon goût pour les raretés. Il est vrai que, nulle part ailleurs, il n'existe. C'est impossible. Arlène, ça reflète bien la petite fille d'antan et la femme d'aujourd'hui. Unique en son genre, inaccessible, furibonde et plus encore. AGE ET LIEU DE NAISSANCE - Vingt ans, c'est le bel âge à ce qu'on dit. Arlène, elle se sentira jeune même à la cinquantaine. C'est dans la tête et elle vous confirmera aussi qu'elle n'a pas peur de vieillir. De toute façon, penser à la retraite n'est pas encore dans son programme, faut lui laisser le temps de vivre et peut être qu'elle reviendra en Irlande juste pour y mourir... NATIONALITÉ - A l'origine, c'est une fille des plaines vertes, des collines toutes rondes, des montagnes immaculées blanches d'Irlande. Mais c'est dans le cœur de Douvres qu'elle a toujours vécu. C'est aux plages de sable blanc, aux champs de coquelicots d'ici qu'elle voue son amour. Elle ne se souvient ni des lacs, ni des rivières et encore moins des falaises ou des plages de là-bas. STATUT CIVIL - Elle n'appartient à personne et sûrement pas à un garçon. Ni même à une fille si vous, vous posez la question. Elle aime dire que son amant est la nature ou alors, il y a son cheval Ébène qui peut prétendre à ce rang. Les amoureux transis, ça lui donne une raison de plus pour être libre et indépendante. Elle est inaccessible. Essayer de la dompter, c'est échouer. Mais si cela vous amuse...alors laissez vous briser par le sens unique de vos sentiments. ORIENTATION SEXUELLE - C'est une mangeuse d'hommes quelque peu raisonnable. MÉTIER - Petites voitures à la place des poupées barbie, mains dans le cambouis à vouloir faire comme papa quand il réparait sa vieille coccinelle, elle était prédestinée dès son plus jeune âge à soigner les automobiles. Elle en est folle, c'est vrai, incollable en plus. Sa mère aurait préféré une autre vocation pour sa fille mais elle en reste fière quelque soit ses choix. GROUPE - Amour aimant AVATAR - Zippora Seven
Le chant de l'âme
A l'heure de la récré, c'était le genre de môme à jouer aux billes ou au foot plutôt qu'à la corde à sauter ou à la marelle. Arlène, elle n'a jamais put être amie avec une fille. Elle a grandit au milieu d'mecs aussi. C'est la dernière de la fratrie. Il y a Bruno l'autoritaire protecteur, Geoffrey le coquin et puis Henri le moins sérieux. Elle a apprit à se battre avec eux. L'aîné il voulait que sa sœur joue à la guerre avec lui. Et dans sa chambre, ils avaient prit l'habitude de former des armées de soldats en plomb. A se mitrailler la tête réciproquement. C'était aussi l'occasion pour Bruno de donner des conseils à Arlène afin de se défendre en cas de besoin. Geoffrey, c'était plutôt les boules qui l’intéressait. Arlène elle lui chiper toujours les jumelles dans le bureau de la maman pour lui donner. Ainsi le coquin, il reluquait au dessus de la barrière pour voir la voisine si peu vêtue. A la simple vue de ses seins ronds, Geoffrey il perdait complètement le contrôle et Arlène elle riait comme une conne, à le traiter de petit joueur. Lui, il la suppliait de se taire pour ne pas se faire griller. Cela n'avait pas le don de la calmer, au contraire. Quand elle avait l'âge de boire – Henri il lui a servit un whisky coca pour lui apprendre à tisser comme un mec. L'élève a vite dépassé le maître et elle a rapidement su le battre à tous les jeux d'alcool. Puis pour l'emmerder plus encore, Arlène le surnommait : le boit peu. Ils ont aussi fumé leur première cigarette ensemble, une indus piquée dans le paquet d'leur père. Henri, ça lui a plu. A elle, pas du tout. Elle a toujours aimé regarder son père en train de réparer sa vieille coccinelle. Il parlait d'elle comme une femme, au point qu'Arlène se demandait si maman était jalouse. Elle lui tenait les pinces, le tournevis, les outils pas trop lourds et un énorme sourire nichait sur son visage. Il lui a toujours fallut peu pour être heureuse. Quand son père a commencé à la faire pratiquer, même en visant simplement un boulon, Arlène était la plus euphorique des enfants. Même si l'odeur n'est pas agréable, elle aime avoir les mains pleines de cambouis. Elle traîne toujours en salopette dans ces moments là. C'est une passionnée dans tous les domaines. Peu de choses la désintéresse. De nature curieuse, Arlène a su élargir ses connaissances sans le moindre effort. Elle apprend vite, aussi. Il ne peut se passer une journée sans qu'elle bouge, autrement elle exploserait. Arlène a bien trop d'énergie à canaliser. Elle est fougueuse en tout, a de l'ambition. Elle voudrait ouvrir son propre garage au lieu de travailler pour le mécanicien de Douvres, être indépendante. Arlène c'est un vrai garçon manqué, à cracher comme Jack dans Titanic mais elle n'avouera pas aimer ce film. La jolie blonde, elle sait toute même être femme, être désirable. Elle déborde de sensualité surtout quand elle danse. Son corps bouge avec aise sur toutes les musiques du monde et c'est du grand spectacle. A chaque pas, Arlène est davantage langoureuse. D'elle, se dégage une aura bien particulière. Elle a prit conscience du pouvoir qu'elle a sur les hommes. Un peu aguicheuse, assurément extravertie, elle n'a honte de rien, assume son corps plus que l'on pourrait imaginer à tel point qu'elle se plaît à traîner toute nue, parfois. Ce qu'elle préfère, c'est se baigner sans maillot. Arlène est pure et la nature lui rend bien. Elle est sauvage, culottée aussi. Si elle est fidèle en amitié, par contre en amour, c'est tout autre chose. Le seul à pouvoir prétendre la posséder et la Terre, aussi belle qu'elle soit – Arlène est amoureuse de la nature. (+ d'infos.)
Dernière édition par Arlène Davis le Ven 30 Aoû - 8:37, édité 1 fois
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Sujet: Re: l'amour dans les coquelicots Ven 30 Aoû - 8:33
PAUL WILLIAMS "POLO"
SEX FRIEND/genre, ils sont presque amis de berceau. on dira plutôt que ça a commencé à la maternelle. à se prêter les autos et à faire des embouteillages sur le tapis routier de la salle de classe. ils squattaient égoïstement. ils s'en foutaient des autres, c'était que pour eux les voitures. et puis dans la cour de récré du collège, c'était la chasse aux billes et puis aux pogs. ils les volaient tous, malins comme tout. le premier bisou dans le creux d'un cyprès aussi et puis les plus fougueux en année de troisième. les mains aux fesses de arlène et puis ses doigts à elle autour de son cou pour faire rager les autres filles. c'était la belle époque mais ils ne se sont jamais arrêtés. il y a encore ce jeu de séduction. je te cherche, tu me trouves, je t'échappe un peu pour te donner encore plus envie de jouer. des baisers bouillants mais sans sentiments. pour le plaisir de faire l'amour déjà avec la bouche. et puis les rendez-vous chez l'un, chez l'autre pour se faire plaisir quand on en a envie. et puis même ailleurs. c'est léger, c'est comme ça et puis c'est eux. paul. arlène. paul et arlène. un point c'est tout.
WOLF WHITE "LOUP"
AMANT MÛR/il pourrait être son père. elle pourrait être sa fille ou sa nièce. dix-sept ans d'écart, c'est énorme mais quand elle a croisé son chemin, arlène en avait un peu rien à foutre. lui aussi, il s'en fichait. bien trop occupé à la draguer pour l'attirer dans ses bras. le temps d'une nuit seulement, sans prise de tête. le lendemain, elle s'est dépêchée de partir. seize ans et une fleur perdue avec un homme mûr. elle n'a pas honte mais évite quand même de le crier sur tous les toits. c'était comme ça, cela s'est fait car ils devaient se rencontrer et être étroitement proches, c'est tout. si elle ne dit rien, c'est surtout pour wolf. le faire passer pour un pervers auprès de tous les habitants de douvres, et puis quoi encore ? elle, avec le statut de catin. ah non, jamais. cela remonte à quatre ans mais elle n'a jamais vraiment oublié leur nuit. cela aurait put être mieux pour une première fois, avec quelqu'un de son âge mais elle ne regrette pas du tout.
LOUVE SABOURAUD "SURNOM"
DEFINIR/blablabla
MONROE OSBORNE "MOON"
AMI PROCHE/affectueusement, elle l'appelle moon. arlène trouve que ça lui va bien. elle ne sait pas vraiment pourquoi ainsi mais elle vous dira que c'est beau, comme lui. ils se sont connus à l'adolescence. c'est avec monroe que arlène a tenter les vices mais ce n'est pas à cause de lui qu'elle a eu un bad trip. arlène va toujours plus loin que ses limites et ce soir-là, c'était le pompon. un peu trop d'alcool et puis le reste à côté. dur mélange. quand ils ne se défonçaient pas, c'était autrement qu'ils le faisait. de manière plus physique, plus ardente, plus tout en fait. maintenant, s'ils sont plus sage, ils le font toujours avec liberté. si arlène n'a pas de raisons d'être malheureuse, monroe a besoin d'elle pour se réfugier. parler, oublier, rêver toujours plus loin et se déconner de la réalité. pour souffler, pour sourire surtout. vous en avez conscience vous, que le sourire de monroe il est magnifique ? arlène peut vous le confirmer. c'est une sacré chanceuse. elle en a conscience et puis elle aimerait aussi convaincre ceux qui trouvent monroe méchant que c'est en fait, un être tendre et affectueux.
DALI LAZARRE
ATTIRANCE OBSESSIONNELLE/elle n'aurait jamais pensé un jour être dans une situation pareille. si on remonte à la genèse de leur rencontre, c'était à la crique. à l'aube toujours, arlène avait donné rendez-vous au soleil pour se baigner toute nue. sur la plage, presque invisible il y avait dali. passer inaperçue pour reluquer la sirène, c'était son passe temps du jour. un véritable hasard. ils se sont revus à une fête, à se draguer mutuellement. pendant un temps. arlène jouait à se faire désirer sinon rien n'est drôle. c'est qu'elle le trouvait vraiment attirant ce garçon. secrètement elle s'abandonnait le soir à des loisirs un peu loufoques dans son lit pour attendre de jouir pleinement du plaisir auquel elle se préservait encore. elle n'a jamais été aussi surprise de sa vie au moment où elle a cesser de se retenir. sa bouche était douce, ses doigts experts. dali, il se présentait comme l'amant parfait mais quand il a découvert son corps, torse qu'elle pensait musclé elle ne s'attendait pas à un tel spectacle. sans peser ses mots elle l'a insulté et s'est enfuie comme une voleuse. mais elle regrette au fond, un peu plus tout les jours et surtout, aussi étrange que ça le soit, elle n'arrête pas de penser à elle. à lui, dans sa tête. ce ne peut pas être vrai, tout ça. cette poitrine. cette vraie féminité. regardez-le putain, dali est un mec physiquement si on ne tient pas compte de ses seins. il l'obsède mais arlène ne l'avouera jamais. c'en devient lourd dingue.
Dernière édition par Arlène Davis le Ven 30 Aoû - 19:13, édité 6 fois
Felipe Sabouraud
TU PRENDS MON ÂME.
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Feuille de personnage ♒ âge: 19 ans ♒ profession : peintre en bâtiment ♒ le choix du coeur: chocolat au lait ; confettis de bonbons azurés.
Sujet: Re: l'amour dans les coquelicots Ven 30 Aoû - 11:40
dali veut te faire des bébés
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Sujet: Re: l'amour dans les coquelicots Ven 30 Aoû - 11:43
ô la coquine
Elsie Lattimer
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Feuille de personnage ♒ âge: 18 ans ♒ profession : serveuse dans un bar ♒ le choix du coeur: le coeur ne choisit rien
Sujet: Re: l'amour dans les coquelicots Lun 13 Jan - 13:39
J'AI PAS D’IDÉES Et toi ?
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Sujet: Re: l'amour dans les coquelicots Sam 18 Jan - 7:04
MOI NON PLUS. Faut que j'aille lire ta fiche
Elsie Lattimer
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Sujet: Re: l'amour dans les coquelicots Dim 19 Jan - 6:38
Ahah Parce que, en gros, Arlène attire un peu trop l'attention au goût d'Elsie, donc pour qu'elle soit amies, il faut soit qu'elles se connaissent depuis longtemps, soit qu'il y ait eu un truc qui les a rapprochées
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Sujet: Re: l'amour dans les coquelicots Dim 19 Jan - 10:41
elles pourraient aussi bien ne pas se voir en peinture. peut être justement que elsie pourrait voir en arlène une fille facile (alors qu'en fait c'est pas vraiment ça) mais genre arlène qui n'a pas de soucis avec son corps, à traîner nue parfois sur la plage, ça pourrait - pas forcément choquer - mais je sais pas, déplaire à Elsie ? Ce sans gène
Elsie Lattimer
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Sujet: Re: l'amour dans les coquelicots Dim 19 Jan - 11:31
Elsie est pas du genre à juger les gens sans les connaître (en fait, elle s'en fiche un peu, des gens, pour être clair ) Mais oui, si Arlène se balade à poil devant ses petits frères et soeurs, elle verrait ça comme de l'irrespect pour les autres et de l'exhibitionnisme Et comme elles s'entendent toutes les deux plus ou moins avec Paul, j'imagine qu'elles se voient de temps à autres, mais du coup Elsie lui parle pas de base parce qu'elle est assez renfermée, mais elle pourrait se montrer carrément froide envers elle et pas essayer du tout de la connaître.
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Sujet: Re: l'amour dans les coquelicots Dim 19 Jan - 12:10
intéréssant le fait qu'elles connaissent paul mutuellement. en fait j'aurai put y penser plus tôt haha. bon après elle se ballade pas TOUT LE TEMPS à poil hein. haha. arlène essayerait de comprendre pourquoi elsie est aussi froide avec elle, car elle n'a rien fait pour se faire détester après tout.