pouvoir tenir l'infinie dans un grain de sable & l'eternité dans une heure ▲ william blake
NOM(S) - Mordoch. Elle aime bien son nom et sa prononciation, ça sonne un peu comme un sale monstre dégueulasse de ces contes irlandais, ou comme de la boue vaseuse qui se fracasse contre les falaises blanches. PRÉNOM(S) - Lou, comme l’animal aux canines d’acier. Quand elle était gosse ses copains pensaient qu’elle se transformait en bête la nuit et qu’elle irait les bouffer, c’était marrant d’en jouer. AGE ET LIEU DE NAISSANCE - Elle est née à Londres, sous un ciel rempli de nuages sombres, il y a vingt ans maintenant. NATIONALITÉ - Anglaise, mais du sang norvégien glisse discrètement dans ses veines. STATUT CIVIL - Depuis un an maintenant, dans une relation. Elle est belle, Dali. Elle est mienne. Ça l’empêche pas de flirter à droite et à gauche. Elle aime plaire Lou, et c’est une façon pour elle de se sentir exister. ORIENTATION SEXUELLE - Elle est pas orientée. Lou, elle s’amuse autant avec les hommes qu’avec les femmes. MÉTIER - Marchande de sucre. Elle est apprentie dans une pâtisserie. GROUPE - Amant aimant. AVATAR - Juno Temple.
Le chant de l'âme
Lou est un oiseau aux ailes dorées. Possessive, captatrice mais elle-même éprise de liberté, elle sait aimer. Elle vit chaque jour comme s’il était le dernier. Elle est enfantine, presque puérile. Mais sûrement pas naïve. Elle sait dans quoi elle s’embarque. Elle cherche simplement à tout tester, tout vivre. Ne pas oublier une seule expérience. Elle est imaginative, excentrique. Même si ça lui arrive de consommer, elle n’a pas besoin de drogues pour se sentir bien, goûter la liberté, l’harmonie, l’euphorie. Elle le vit au quotidien. Elle croit que les cailloux sont des fées, et que les esprits des morts sont dans les feuilles d’arbres en été. Alors, si on ne la connait pas, on pourrait croire qu’elle est sans arrêt sous LSD. Pourtant Lou est simplement vivante. Elle est pure sans pour autant être sage. Elle est belle sans être séduisante. Elle est drôle sans le vouloir. Gourmande sans le chercher. Lou aime le jazz, la peinture, le cinéma. Folle de sucre, elle raffole de gâteaux. Lou est somnambule, depuis toute petite. Les terreurs nocturnes, elle connait. Mais elle s’y est fait. Extravagante, ambivalente. Lou est lunatique, capricieuse. Elle peut devenir arrogante, brute, violente. Elle est obstinée, a du franc-parler, une voix grave et cassée. Dépensière, aguicheuse, elle aime plaire et se faire désirer. Elle n’est jamais à l’heure. Coquette, elle prend du retard. Mais elle est spontanée, imprévisible. Une réelle bouffée d’air frais pour quiconque se risque à la croiser. Rieuse, joyeuse, pleine de légèreté. C’est la première à se sacrifier. Elle n’hésite pas à aider, donner à manger, donner de l’argent à des pauvres gens. Avec le sourire. Mais elle est aussi capable de leur donner une beigne si elle se trouve contrariée. Rebelle dans l’âme, elle n’aime pas les préjugés et ne suit aucune règle. Si elle veut faire ses besoins dans un phare, elle le fera. Si elle veut un collier quinze mille carats, elle le volera. Elle se fout de la religion, se fout même de la politique. Elle sait très bien quelle infime place elle occupe dans le monde et ne cherche pas la gloire. Elle ne demande que la simplicité, tout en courant après l’originalité et le danger.
Sous l'océan
PSEUDO - lysenn. PRÉNOM - justine. ÂGE - vingt. T'AS CONNU LE FORUM OÙ - dans les boobs de la fondatrice. COMMENTAIRE(S) - bêh j'aime bien roter. POISSON PRÉFÉRÉ - beurk. CODE AVATAR -
Code:
<pris>Juno Temple</pris> <ppn>♒ Lou Mordoch</ppn>
Dernière édition par Lou Mordoch le Ven 28 Juin - 8:13, édité 13 fois
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Sujet: Re: et si c'était ça le bonheur, pas même un rêve, pas même une promesse, juste l'instant ℘ lou Mar 25 Juin - 18:04
ceux qui rêvent éveillés ont conscience de mille choses qui échappent à ceux qui ne rêvent qu’endormis ▲ edgar allan poe
Maison des Mordoch, Londres. Lou, 15 ans.
Comme souvent dans cette ville, l’air est humide. Lou et ses cheveux sauvages sont dans un état déplorable. Elle ne sait pas si c’est à cause de la rafle de vent et de flotte qu’elle s’est pris en rentrant à la maison ou si ça date de la nuit dernière. Elle ne se rappelle même pas de la moitié de ce qu’il s’y est passé. Encore une fois c’était sombre, phosphorescent, enivrant, acidulé. Elle a goûté à tout ce qu’elle voulait. La foule était déchaînée et la drogue coulait. Elle aime bien tout essayer, tout tester. C’est qu’une enfant qui cherche à s’intégrer, quelque part, à respirer. Elle enlève les écouteurs de ses oreilles et range son lecteur dans son sac déjà foutrement en bordel. Où sont les clés d’ailleurs ? Fait chier. La porte est verrouillée, elle fait le tour. Une fois sur la terrasse, elle contemple bêtement la baie vitrée, ou plutôt, ce qu’il y a derrière. Ses parents, encore dans leurs pyjamas, et Mael, sa petite sœur d’à peine deux ans. Je me demande, si vous m’avez déjà regardé comme vous la regardez elle. Elle entre, sens l’odeur des gaufres encore chaudes. « Oh bonjour ma chérie, tu as bien dormi ? » demande sa mère, comme si elle sortait simplement de sa chambre. Pourtant son maquillage a coulé, ses cheveux sont ébouriffés, ses vêtements dépareillés. Ils ne remarquent pas quand elle part, ou disons plutôt qu’ils s’en foutent royalement, presque autant que quand elle revient. « J’ai baisé avec deux mecs toute la nuit. » Avec nonchalance, elle les contourne et se sert un verre de jus de mangue. Ils ne la regardent pas. Ils ont déjà reporté leur attention sur Mael qui dévisage son petit pot de compote comme si c’était la dernière chose au monde qu’elle voulait manger. « Tant mieux ma puce, tant mieux. » lâche son père, avant de reprendre sa mélodie de gazouillis pour Mael. Elle doit sûrement déjà penser qu’ils sont très cons, ses parents. Et c’est vrai. La vérité c’est qu’ils n’écoutent jamais. Lou aurait tout aussi pu dire qu’elle avait flingué un homme cette nuit, ils l’auraient félicitée comme si elle leur avait annoncé une bonne note sur son bulletin. Ça fait des années qu’ils ne l’écoutent plus, ne la voient même plus. Elle sirote silencieusement son jus de fruit et regarde cette belle petite famille dont elle ne se sent pas en faire partie. « Dean, arrête… » glousse sa mère en écartant les mains baladeuses de son père. Ça y est, ils agissent comme s’ils étaient seuls dans la pièce. Elle est invisible, inexistante. Un grain de poussière dans l’air. Il ne faut qu’une minute à sa mère pour céder et se laisser aller. Il passe une main sous sa robe de chambre pour caresser ses seins. Mord ses lèvres. Ils se gobent le visage, devant Lou, devant Mael. C’est l’innocence qui assiste à la jouissance. Elle a la gerbe. Elle s’avance, prend sa soeur dans mes bras pendant que les vieux se tripotent et ricanent. Ils sont dans leur bulle de transe et ne savent plus ce qui se passe autour d’eux. Comme souvent. Elle laisse ses pieds endoloris la sortir de cette pièce et longe le couloir sans un bruit, pousse la porte de sa chambre et pose Mael sur le lit. Elle lui sourit. Si tu savais, Mael, comme je t’aime. Petit trésor, perle précieuse qui me permet de tenir encore sur mes jambes. Si je suis encore là, c’est bien grâce à toi. Tu ne serais pas née, j’aurais déjà foutu le camp depuis longtemps. Mais je pense que le départ ne va pas tarder, maintenant. Elle lui rend son sourire et l’embrasse sur le front, laissant une marque de rouge à lèvre. J’espère que tu me pardonneras, Mael. Je ne t’abandonne pas, je ne crois pas. J’ai besoin de partir et j’espère que tu le comprendras. Je ne serai jamais loin de toi, tu occuperas chaque jour mes pensées et mon cœur ne battra que pour toi. Petit trésor.
Pensionnat de jeunes filles, Douvres. Lou, 17 ans.
Elle pose son stylo et humidifie le timbre de sa langue encore bleutée par les bonbons qu’elle a bouffé. Ce doit être la vingtième lettre qu’elle va envoyer à Londres, à la maison. Depuis sa rentrée au pensionnat, il y a presque deux ans, elle noirci des pages environ une fois par mois. Toutes adressées à Mael. Elle ne sait pas encore lire, mais Lou a demandé à la mère, Lise, de les conserver dans une boîte pour elle. Elle a pleuré, quand Lou était sur le perron avec ses valises, prête à partir. Ses yeux clairs de bambin en détresse ont crié. Les doigts tendus vers elle, elle voulait la garder, sa sœur. Elle aurait tout fait. Cette dernière image, ce dernier moment, Lou l’a gravé. C’est comme si un de ses organes s’était déchiré, effrité. Il n’y avait que Mael pour combler ce vide sidéral qui la faisait saigner. C’est comme si une pièce manquait au puzzle, un rouage pour faire fonctionner l’engrenage. « Lou bouge-toi putain ! Le dirlo va arriver ! » Talulah fait des gestes précipités avec ses mains et disparait dans le couloir. Elle éteint sa clope en vitesse et planque l’enveloppe dans son tiroir. Elle sort du dortoir en courant presque et rejoint les autres, postées comme une armée prête à lancer l’assaut. On entend souvent que les élèves sont sages en pensionnat. Qu’ils reçoivent une éducation des plus strictes et platoniques. C’est des conneries. Plus on a d’interdits, plus on cherche à les braver. Les filles d’ici sont de vraies trainées. Au sens propre comme au figuré. Elles attendent, en haut de l’escalier, respiration coupée. Lou enfonce ses ongles dans le bois de la rambarde et mord ses lèvres. Une porte claque. Une tête presque chauve apparait et les filles s’affolent. Les hurlements résonnent. C’est une fanfare, des poules extasiées qui lèvent leurs chemisiers et montrent leurs seins. Certaines portent des sous-vêtements, d’autres non. Des doigts sont à l’honneur et des sourires bien charmeurs. Le directeur louche avant de grimacer. Il devient rouge, de ses oreilles sort de la fumée. « Cessez ! Rangez-moi ça ou c’est la colle pour toutes ! » Il hurle, brandit les bras. Des enseignants arrivent. Le professeur de sport ne reste pas ébahi longtemps et se rince l’œil agréablement. Son amante, la professeur de mathématiques remet ses lunettes en place, fait la moue et tire ses traits carrés. Cette école est la pire qu’il soit. Ça gueule, ça cri, ça ri. Les premières années se penchent et montrent leurs fesses, avant de jeter du haut des escaliers des cotillons, de la farine, des plumes, des perles et du shampoing. « JOYEUX ANNIVERSAIRE ! » hurlent toutes les filles en cœur à l’attention du directeur. Le vieux met le temps, mais il finit par sourire timidement avant de gratter son crâne dégarni. Il est touché. Mais bien vite il reprend un air dur et les menace de les renvoyer. Avec du shampoing, des plumes et de la farine sur la gueule, il a perdu toute crédibilité. Les filles rient et se séparent en part en part, satisfaites et non inquiètes. Ici, les adultes n’ont aucune autorité. Lou se jette sur son lit et saute. Elle a enlevé son chemisier et le fait tourner au-dessus de sa tête. Ses colocataires la suivent. Pas besoin de musique quand son propre corps vibre et rythme. Pas besoin de vêtements. Pas de peur, pas de jugement. Seulement la liberté, la jeunesse, la décadence, l’incandescence. Parce que pour elle, le bonheur est un état d’esprit.
Appartement dans le centre, Douvres. Lou, 19 ans.
Elle ne connait pas le mec qui a organisé la beuverie. Elle n’a fait que suivre des copines qui elles-mêmes suivaient des copines à la fête. Comme d’habitude. La vie de Lou est marquée de spontanéité. Elle a grandi, Lou. Elle a mûri. Mais elle est toujours piégée dans ce corps de gamine. Ça ne la dérange pas plus que ça. Elle ne se prend pas la tête, s’accepte comme elle est. Elle est légère, évadée. Elle danse, les yeux fermés. Elle ondule son corps, sur la pointe des pieds. La fraicheur du carrelage ne lui fait aucun effet. Rien n’a d’importance. Elle a pris des champignons il y a presque une heure, elle sent déjà les effets. Elle voit de belles choses, rit pour un rien. Entre les couleurs, parmi les notes, elle s’arrête. Une silhouette, bien différente des autres. Un garçon, une fille. Une pâle brune, garçon manqué. Un regard, un espoir. Ça la rend magnifique. Même en étant sous effet de la drogue, Lou se sent intimidée. Elle la frôle, la regarde, faisant bien durer ce court instant. Et elle danse, encore. Elle touche des silhouettes, sans les regarder. Elle ne regarde qu’elle, peut-être pour la provoquer. Elle monte sur une table et continue de danser, telle une enfant bien attardée. Elle enlève ses tops, se veut plus aguichante. Délurée, elle ne veut pas s’arrêter. La garçonne la dévisage, sourcil haussé, mi arrogante mi amusée. Elle cherchait son attention. Pour quelle raison ? Elle ne se pose pas de questions. Elle lui plait, c’est suffisant. Mais les minutes passent, et Lou n’a pas ce qu’elle espérait. La mine boudeuse, elle se réfugie dans la cuisine. Soupir profond. Elle prend une bière dans le réfrigérateur. Quand elle referme la porte, son cœur sursaute. La brune était derrière. Lou ne baisse pas les yeux, affronte son regard. La fille attrape sa bière et boit une gorgée, sans cesser de la regarder. « Si tu voulais une bière, fallait te servir dans le frigo. » Lou grimace. « Tu peux la garder. » Elle s’en sert une autre et s’adosse contre un buffet derrière elle. Elle joue avec son bassin, entortille ses doigts dans ses couches de tee-shirts colorés. « T’as un nom ? » Elle tient son regard, gesticule comme une enfant et penche la tête légèrement. « Lou, et toi ? » La garçonne s’approche et se hisse sur la pointe des pieds pour attraper un verre dans le placard. Bouffée d’air plâtrée. Elle murmure, tout près. « Dali. » C’est joli. Lou lui demande son âge, Dali semble amusée. « Ça a d’l’importance ? » Elle laisse un silence s’installer, en prenant une gorgée. Elle réfléchit, touche ses cheveux de paille. « Je sais pas… oui, je crois. Presque autant que ton prénom. » Elle est belle. Lou se sent attirée comme un aimant par cette fille aux traits de garçon. « Vingt-deux. » Elle sourit, joue avec son bassin, encore. Elle amène ses colliers à sa bouche et mordille les perles. « T’es plus vieille que moi. » dit-elle, comme si elle avait gagné. « Plus grande aussi. » Moins fière, d’un coup. Dali s’approche, se colle presque au fragile petit corps de Lou. « Un peu plus grande ouais. » La gamine lève le menton et des yeux de cocker. Elle prend appui avec ses paumes sur le buffet, se hisse et s’y assoit. « Voilà, je parais plus si petite. » Elle s’allume une cigarette, joue avec les yeux de Dali. La garçonne pose sa bière. Ses mains caressent les cuisses de la gosse, les écarte. Elle se glisse entre. Lou relâche le tabac de sa trachée et lui tend la cigarette, naturellement. Dali fume sans cesser de la fixer avec ces yeux envieux. Mais Lou reprend son dû, croise ses jambes pour emprisonner sa proie et se penche en avant. Respiration lourde et précipitée. Elle la veut, la désire terriblement. Dali presse un peu plus ses mains sur ses cuisses, son corps et Lou resserre son étreinte. Son coeur claque, tambourine à sa poitrine. Elle laisse glisser sa main libre dans sa nuque, l’amène à elle et embarque ses lèvres, tendrement. Un aimant, son amant.
Dernière édition par Lou Mordoch le Ven 28 Juin - 8:19, édité 9 fois
Dali Lazarre
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Sujet: Re: et si c'était ça le bonheur, pas même un rêve, pas même une promesse, juste l'instant ℘ lou Mar 25 Juin - 18:24
MA MIENNE À MOI. À MOI SEULEMENT À MOI
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Sujet: Re: et si c'était ça le bonheur, pas même un rêve, pas même une promesse, juste l'instant ℘ lou Mar 25 Juin - 18:28
rowi
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Sujet: Re: et si c'était ça le bonheur, pas même un rêve, pas même une promesse, juste l'instant ℘ lou Mar 25 Juin - 19:16
bienvenue, elle est mignonne ta pâtissière
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Sujet: Re: et si c'était ça le bonheur, pas même un rêve, pas même une promesse, juste l'instant ℘ lou Mar 25 Juin - 19:29
merci il est pas mal ton pickpocket huhu, et je suis fan de ton choix de prénom
Cerbère du Maurier
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alors, ô ma beauté! dites à la vermine qui vous mangera de baisers, que j'ai gardé la forme et l'essence divine de mes amours décomposés !
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Feuille de personnage ♒ âge: on ne le sait pas réellement, certains lui donne la trentaine et d'autres à peine vingt ans. ♒ profession : fossoyeur, croque-mort, gardien du cimetière, fournisseur de poison, de corde aux noeuds coulants et tout autre objets contondants pour vous faire rejoindre les morts. ♒ le choix du coeur: enterré quelque part sous une tombe sûrement
Sujet: Re: et si c'était ça le bonheur, pas même un rêve, pas même une promesse, juste l'instant ℘ lou Mer 26 Juin - 5:57
oh toi alors, bienvenue :héhé: avec juno en plus par contre, t'as un peu foiré les codes de la fiches, n'oublie pas d'appuyer sur la petite feuille (a) tu veux que je t'aide à remettre ça ?
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Sujet: Re: et si c'était ça le bonheur, pas même un rêve, pas même une promesse, juste l'instant ℘ lou Mer 26 Juin - 6:50
Juno, Lou, veux-tu m'épouser ?
Spoiler:
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Sujet: Re: et si c'était ça le bonheur, pas même un rêve, pas même une promesse, juste l'instant ℘ lou Mer 26 Juin - 8:39
merci, chien des enfers et je veux bien pour le code toplait *^* echo, oui je le veux, et que dire de toi avec la sublime emilia
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Sujet: Re: et si c'était ça le bonheur, pas même un rêve, pas même une promesse, juste l'instant ℘ lou Mer 26 Juin - 12:15
oh juno et ses cheveux fous. (j'te cacherais pas que la première image me désappointe un peu) ton personnage a l'air prometteur, j'ai genre de l'amour pour lui.
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Sujet: Re: et si c'était ça le bonheur, pas même un rêve, pas même une promesse, juste l'instant ℘ lou Mer 26 Juin - 14:08
oh, Juno, Lou, la sienne à Dali. Bienvenue, bienvenue jolie plume.
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Sujet: Re: et si c'était ça le bonheur, pas même un rêve, pas même une promesse, juste l'instant ℘ lou Jeu 27 Juin - 8:35
vous êtes choux
Cerbère du Maurier
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alors, ô ma beauté! dites à la vermine qui vous mangera de baisers, que j'ai gardé la forme et l'essence divine de mes amours décomposés !
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Sujet: Re: et si c'était ça le bonheur, pas même un rêve, pas même une promesse, juste l'instant ℘ lou Jeu 27 Juin - 9:16
Lou Mordoch a écrit:
merci, chien des enfers et je veux bien pour le code toplait *^*
voilà qui est fait
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Sujet: Re: et si c'était ça le bonheur, pas même un rêve, pas même une promesse, juste l'instant ℘ lou Jeu 27 Juin - 14:30
Bienvenue ici :p J'adore ton avatar ^^
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Sujet: Re: et si c'était ça le bonheur, pas même un rêve, pas même une promesse, juste l'instant ℘ lou Jeu 27 Juin - 15:18
haaan juno et ses beaux cheveux bienvenue ici
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Sujet: Re: et si c'était ça le bonheur, pas même un rêve, pas même une promesse, juste l'instant ℘ lou Ven 28 Juin - 8:08
merci à vous (et je plussoie pour ses cheveux)
Cerbère du Maurier
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Sujet: Re: et si c'était ça le bonheur, pas même un rêve, pas même une promesse, juste l'instant ℘ lou Ven 28 Juin - 9:40
oh comment lou est juste trop très belle plume, en tout cas j'te valide donc avec plaisir, justine (a) n'oublie pas les divers demandes, tes fiches de liens et tout ça
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Sujet: Re: et si c'était ça le bonheur, pas même un rêve, pas même une promesse, juste l'instant ℘ lou Sam 29 Juin - 7:01
merci lydie
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Sujet: Re: et si c'était ça le bonheur, pas même un rêve, pas même une promesse, juste l'instant ℘ lou
et si c'était ça le bonheur, pas même un rêve, pas même une promesse, juste l'instant ℘ lou