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 le triste naufragé (fel)

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Felipe Sabouraud
Felipe Sabouraud

TU PRENDS MON ÂME.

le triste naufragé (fel)  Tumblr_moxo8yHT5W1r7m9kyo2_500
♒ messages : 595


Feuille de personnage
♒ âge: 19 ans
♒ profession : peintre en bâtiment
♒ le choix du coeur: chocolat au lait ; confettis de bonbons azurés.


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MessageSujet: le triste naufragé (fel)    le triste naufragé (fel)  Icon_minitimeLun 20 Mai - 23:50


© tumblr


FELIPE SABOURAND
La mer aime le ciel : c'est pour mieux pour redire. À l'écart, en secret, son immense tourment, que la fauve amoureuse, au large se retire, dans son lit de corail, d'ambre et de diamant. ▲ nelligan


NOM(S) - Sabouraud. Ça fait barbare, ça fait sauvage ; bref, ça colle plutôt bien à ta personnalité, ou plutôt à ce que les gens imaginent de toi. Entre elles, les poules papotent et ce n'est franchement pas rare qu'elles se posent la question ; t'es sauvage ou pas , au pieu ? PRÉNOM(S) - D'abord Felipe ; en hommage à un héros de bouquin un peu palot, un peu effacé, mais surtout incertain, qui a accompagné ton père toute sa vie. Le héros de son premier roman, roman jamais publié, d'ailleurs. Alejandro parce que ta mère voulait absolument que tu gardes quelque chose de son pays, alors t'as eu le droit au nom du grand-père. AGE ET LIEU DE NAISSANCE - c'est à Londres que t'es né, que t'as pointé le bout de ton nez. Mais à l'exception de ça, t'as toujours été ici ; c'est ici, ta cage dorée, toujours empoisonnée. Et ça fait bientôt dix-huit années que t'es ici, mon petit. NATIONALITÉ - T'es un peu anglais, au fond d'tes veines, et t'es portugais, comme maman, dans ton coeur, même si la chose ne se voit pas réellement. . STATUT CIVIL - Libre comme une feuille tombant d'un arbre, si on veut. Et c'est bien ça le problème ; tu tombes. En couple avec une délicate fleur, tu as pourtant cette attirance particulière pour un homme, Gabin. ORIENTATION SEXUELLE -On te dit hétéro, on le crie même haut et fort sans l'ombre d'un doute. Pourtant, le doute est clairement là. Parce qu'au fond de toi, au fond de tout ça, t'es typiquement gay. Tu le sais...mais l'affirmer ? Autant aller pleurer, ouais.  MÉTIER - t'es poissonnier au coeur d'la ville, avec un marchand des plus salopards, mais qui est un minimum juste, avec toi. Il t'a pris comme apprenti sans un mot, quand t'es venu l'voir avec les yeux bien sérieux. depuis, tu pue le poisson, après les cours et le weekend.   GROUPE - coeur las, rien que cela. y a-t-il au moins un battement rattaché à cette chose ? Peut-être, oui, en présence de Gabin, certainement. Ce salaud. AVATAR - Jake Cooper


Le chant de l'âme


T'es droit, beaucoup trop droit, oui ; t'as appris à grandir avant que ça soit le temps, t'as oublié l'enfant pour être le plus grand, l'adulte au travers de cette cochonnerie de vie. Et tu l'assumes, tu l'assumes même parfaitement. T'es con, foutrement con. Peut-être un peu trop, même, mais tu le vois pas, alors tout va bien. Tu fais tout ce qu'il faut, après tout, Felipe. Tu fais tout comme un grand. Tu étudies très tard le soir, pour apprendre tes leçons par coeur; tu en oublies de dormir aux bonnes heures. Tu vas à tous tes cours, sans en manquer aucun. T'es vraiment bien grand, après tout, et t'es un adulte, maintenant, depuis toujours, alors faut être discipliné. Tu travailles, aussi ; oh oui, tu travailles. Parce que maman est malade, elle va pas trop bien, présentement, et l'argent rentre pas trop, à la maison. Alors tu travailles, le soir, après les cours. T'as pas de temps pour toi, au travers de tout ça, au travers de la vie, mais c'est sans importance. Parce que t'es droit, et puis que t'es un adulte. Tu fais les choses qui doivent être faites, les choses justes, les choses vraies. T'es un bon garçon. Et puis, en plus, tu as bien des amis ; tu ne les vois pas souvent, certes, mais tu es avec les plus grands, à l'école. Tu ris avec eux, un air arrogant sur les traits, un côté espiègle un peu faux te collant à la peau, et tu te fais voir, tu te fais connaitre. C'est ça, les apparences ; les apparences qui comptent tant, pour toi. Tu fais ton possible, tu fais tout pour rentrer dans la masse, pour être comme eux, comme tout le monde. Pour qu'on ne détourne pas les yeux pour te suivre, juste parce que tu es en marge, différent de la populasse. Tu n'en veux pas, de différence. Tu ne souhaites que des ressemblances, que rentrer dans les marges du système, et qu'importe si tu dois être un autre, pour cela, ce n'est pas important. Tu veux juste être apprécier, et non que les gens te fuient. Tu ne veux pas que l'on dise des méchantes choses sur toi, et que l'on parle dans ton dos. Tu en as affreusement peur, en fait, de ce que les gens pensent de toi, de ce qu'ils pourraient penser, s'ils en venaient à voir le vrai toi. Alors, tu portes ce masque, sur tes traits. Tu le portes avec grâce, avec classe, ce petit masque. Celui qui fait de toi un grand monsieur, un élève studieux, mais un peu con, parfois, celui qui fait de toi le pote un peu trop dragueur, accro aux meufs et à leurs fesses. Celui qui fait de toi le poissonnier travailleur, en ville, jusqu'à tard le soir. Celui qui fait de toi le fils aimant, à la maison, et qui fait les repas, pour maman qui s'enfile des bouteilles de bière, pour oublier sa peine, l'absence de ton père. Celui qui fait de toi un frère superbe, pour ta grande soeur, parce qu'elle est une éternelle enfant. Celui qui fait de toi le parfait hétéro par excellence, le gars un peu con qu'on aime bien, mais qui est jamais là, mais qu'on oublie pas. T'as que ça, des masques, des titres que tu portes fièrement, mais qui pourtant, ne sont jamais véritablement vrais. 

Et puis parfois, pourtant, t'es à vif, à découvert, sans repères et sans cachette. C'est comme ça, subtilement, parfois, sous les prunelles de Gabin. Gabin, ce putain de con que tu ne peux supporter. Gabin et ses yeux bleus. Gabin et sa nonchalance, son côté qui se fout de tout, ce mec qui semble pas s'attarder trop à c'qui se passe entre vous deux, et qui te tourmente d'une puissance. Tu sais pas trop depuis combien de temps ça dure, entre vous. Tu veux même pas savoir, en fait. Ça te fait peur, et ça te fout la rage au ventre, cette histoire là. Tu rages pour rien, pour tout, pour lui, depuis qu'il est rentré dans ta vie. Parce que t'as perdu le contrôle de tout, de ta vie, du masque et de ce qui est derrière, surtout. Ton coeur grandit sans ta permission et il ne laisse aucune place à ton masque, et celui-là, il tangue et il menace de tomber. Mais tu veux pas, tu veux pas être gay, pd, une tafiole. T'en veux pas, de tout ça, et t'en as rien à foutre, de ce que puisse dire ton coeur. C'est c'que tu penses, ça, chaque fois que tu le quitte. C'est fini, tu vas l'quitter, tu vas arrêter d'baiser ses lèvres, de chercher son coeur, de trouver son putain de regard bleu trop idiot toujours perdu ;  c'est c'que tu te dis, lorsque tu dois l'voir, que tu vas tout cesser, que tu vas l'rembarrer et puis continuer ta vie en t'foutant de lui. Mais c'pas comme ça. C'est jamais comme ça, au final, cette histoire là. Alors tu restes là, pris dans cette putain d'histoire étrange  - t'oses même pas appeler ça une histoire d'amour, t'oses même pas penser aux mots, et lire c'qui peut bien s'trouver dans les yeux de cet idiot que tu connais à peine, malgré les mois passés, t'oses même pas le connaitre un peu plus, en fait, et t'attarder sur ce qu'il est, sur ce qu'il fait, parce que tu t'refuses d'être dépendant, tu t'refuses de penser à lui, à tout c'qu'il est, peu importe le prétexte ou la situation - et le pire, dans tout ça, c'est que ça la rage aux tripes, quand il s'éloigne trop, quand tu l'vois pas d'puis longtemps, au boulot ou juste dans les couloirs de l'école - parce que non, tu lui parles pas, là bas, jamais, c'est pas possible, les yeux, les regards, les gens - et tu rages comme une bête en cage, t'en veux au monde entier, à toi-même, à lui surtout, de te rendre comme ça, et tu lui craches à la gueule, pour cette saloperie de relation que vous avez, et sur laquelle t'arrives même pas à mettre de nom, ou plutôt, que t'oses pas. 


Sous l'océan


PSEUDO - .neo ÂGE - vingt. T'AS CONNU LE FORUM OÙ - dans tes shorts  COMMENTAIRE(S) - vous allez en baver le triste naufragé (fel)  1467249500 POISSON PRÉFÉRÉ - NEMOOO. CODE AVATAR -
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Dernière édition par Felipe Sabouraud le Sam 15 Juin - 17:56, édité 13 fois
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Felipe Sabouraud
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MessageSujet: Re: le triste naufragé (fel)    le triste naufragé (fel)  Icon_minitimeLun 20 Mai - 23:53


© jacob robert price.


Le murmure de ta vie
D'avoir une âme douce et mystiquement tendre, et cependant, toujours, de tous les maux souffrir, dans le regret de vivre et l'effroi de mourir, et d'espérer, de croire... et de toujours attendre. ▲ nelligan


T'as été élevé au travers des préjugés ; toujours en avoir peur, ça te vient de ta mère, ça. Papa, lui, il était plus ouvert, plus à la mer, à l'air et tout ce qui est libre et sans idées de tout, en fait. Il était un peu étrange, en fait, à tes yeux, un peu comme ta soeur présentement, quelque chose qui te fait peur, tellement c'est inconnu, tellement t'arrives pas à comprendre comment ça fonctionne, comment c'est fait, mais si joli à la fois, pourtant. N'empêche, au final, t'as grandi comme maman, tout contre elle, a avoir peur du moindre mot de travers, des regards un peu amers et des pensées des gens qui, toujours, à jamais, peuvent aller contre toi. Papa a bien essayé de changer quelque chose à ça, de t'apprendre à être libre, d'être l'air, mais il y est jamais réellement arrivé. Alors, il a cessé. Il a cessé, comme ça, une journée. Pas que l'acte fut intentionnel ; c'est le destin qui en a décidé autrement, en fait. Le putain de destin. T'as pas compris, lorsqu'un monsieur est venu à la maison, pour vous dire que papa était parti. Tu le savais, ça ; il était parti à la pêche en compagnie d'un ami, et puis il était parti quelques jours, voilà tout. T'as hoché de la tête, donc, du haut de tes treize ans, pour approuver. T'étais déjà assez homme, à l'époque. Le petit monsieur de la maison, tout droit et tout sage, bien éduqué. L'homme a souri tristement, t'as pas aimé ça. Ça t'a laissé un goût amer à la bouche, en fait, et t'as eu envie de reculer. Tu l'as pas fait, bien évidemment, parce que tu ne voulais pas avoir l'air d'un lâche, d'un petit peureux, comme certains peuvent l'être, parfois. Comme tu en voyais bien souvent, à l'école, et dont tu ne cessais de rire, avec tes camarades de classe. Il a ouvert la bouche, l'homme juste là, et il a continué. Il a dit que son père était parti. Véritablement parti. Qu'il ne revenait plus, parce que quelque chose l'avait englouti, que la mer avait eu raison de lui, et qu'elle avait voulu  le garder que pour elle, et que la mort s'était ajoutée à la fête. Tu n'as pas aimé ses mots ; ta soeur s'est mise à pleurer, ou alors elle le faisait déjà depuis bien longtemps, et maman, quant à elle, s'est effondrée. Et depuis, jamais elle ne s'est relevée. 

C'est là qu'elle s'est mise à boire. Enfin, non ; maman a toujours bu, quelque part, quelques verres de vin lors de jolies soirées, et un verre pour le repas du soir, mais jamais trop. Mais à partir de ce moment là, elle s'est vraiment mise à boire. Quelque part, ta soeur venait à dire qu'elle essayait de boire à s'en noyer, pour aller retrouver ton père au fond des mers. Tu as trouvé ça stupide ; tu as toujours trouvé ça stupide, en fait, les idées romanesques, les pensées bien trop légères, bien trop pures et innocentes. Tu aurais pu détester ta mère pour agir de la sorte, pour ne pas vouloir s'en sortir, au moins pour vous, et détester ta soeur aussi, pour rester là à observer, à se faire des idées idiotes au sujet de l'amour, et puis à attendre que la chose se passe, l'alcool n’emmenant pas les gens au fond des mers. Mais tu as fait autrement ; parce qu'on t'a appris à être ainsi, tu as fait autrement. Alors t'as relevé tes manches, et t'as quitté le sol, là où t'étais allongé avec les gens en deuil. T'as cherché un boulot, du haut de tes treize ans, peu importe lequel , tant que tu te faisais du fric, et t'as essayé d'aider un peu. Ta mère a travaillé un temps, pendant environ un an, en fait, avant que l'alcool est raison d'elle, et qu'elle est plus la force de rien. Ça te fait toujours mal, même maintenant, de voir ta mère dans un pareil état, dans une pareille dépression, l'alcool toujours au bout des bras. T'aimerais bien qu'elle aille voir un docteur, un psychologue, peut-être, pour parler de tout ça, mais tu sais au fond qu'elle est comme toi. Que maman, elle se préoccupe trop de l'avis des gens, et qu'elle veut que personne ne la voit comme ça. Qu'elle ne veut pas être mal vu, alors elle reste dans la maison, tout le temps, et qu'elle attend que la douleur passe. Qu'elle s'efface doucement. Alors, tu te contente de sourire tristement, de lui servir à manger, et puis de lui retirer la bouteille des mains, parfois, pour l'aider un peu. De lui sécher ses larmes, lorsqu'elle a trop bu, lorsqu'elle ne cesse de parler de papa. 

Et puis toi, pendant sa peine, pendant ce temps, tu as continuer d'agir comme elle te l'a montré. Tu as manqué une année par la douleur passée, là où tu as un peu déconné, où tu n'as pas pu suivre réellement, mais tu y es arrivé, finalement. Tu as intégré l'équipe de natation de l'école, et puis tu as commencé à traîner avec ces gens là. Tu as commencé à te faire une place, une place quelconque, et tu as été apprécié. Tu as fait un peu le con, comme tous les garçons, et tu as continuer de sourire. Parce qu'on ne dit que des gentilles choses, à Felipe. On ne parle pas de sa mère malade, on ne parle pas de son père mort, ou alors de son homosexualité. Non, les gens ne parlent pas de tout ça, parce qu'ils ne savent pas. Non, ils ne savent pas, et jamais il ne sauront. Parce que tu comptes bien aider ta mère a aller mieux, et faire naître un sourire sur ses lèvres, la protéger du regard des autres. Parce que tu comptes bien te marier, voir des enfants, et rester bien cacher au fond de toi, avec cette envie des hommes. Parce que tu comptes bien rester là, bien droit, et ne pas céder face à la réalité.

T'es qu'un putain de pd brisé, à moitié orphelin, futur alcoolique p'être bien, et tristement tourmenté par ce qu'il est. 




Dernière édition par Felipe Sabouraud le Sam 15 Juin - 18:04, édité 3 fois
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Cerbère du Maurier
Cerbère du Maurier

ATTENTION CHIEN MÉCHANT
alors, ô ma beauté! dites à la vermine qui vous mangera de baisers, que j'ai gardé la forme et l'essence divine de mes amours décomposés !

♒ messages : 331
♒ Age : 28


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♒ âge: on ne le sait pas réellement, certains lui donne la trentaine et d'autres à peine vingt ans.
♒ profession : fossoyeur, croque-mort, gardien du cimetière, fournisseur de poison, de corde aux noeuds coulants et tout autre objets contondants pour vous faire rejoindre les morts.
♒ le choix du coeur: enterré quelque part sous une tombe sûrement


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MessageSujet: Re: le triste naufragé (fel)    le triste naufragé (fel)  Icon_minitimeSam 15 Juin - 0:40

j'te fais l'amour sauvagement, fuck les autres What a Face
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http://perfide-albion.bb-fr.com/t29-sombre-merde http://ostiepoignardee.tumblr.com/
Felipe Sabouraud
Felipe Sabouraud

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MessageSujet: Re: le triste naufragé (fel)    le triste naufragé (fel)  Icon_minitimeSam 15 Juin - 1:23

j'attends que ça le triste naufragé (fel)  1467249500
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MessageSujet: Re: le triste naufragé (fel)    le triste naufragé (fel)  Icon_minitime

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