« Je sais que c'est difficile de vivre, et qu'il ne faut pas trop en vouloir à certains, plus fragiles, d'utiliser des « mauvais » moyens pour rendre supportable leur insupportable. » ▲ Jean-Louis Fournier
NOM(S) - Shepherd PRÉNOM(S) - Gary, Elliott. AGE ET LIEU DE NAISSANCE - 36 ans, Londres. NATIONALITÉ - Anglaise pure souche comme vous dites. STATUT CIVIL - Veuf. ORIENTATION SEXUELLE - Hétéro désintéressé. A ma belle amoureuse envolée, santé ! MÉTIER - Ex-violoniste professionnel, rentier. Parlez pas d'injustice, la vie est une salope et la justice sa complice. GROUPE - Ame amère. AVATAR - Tony Ward.
Le chant de l'âme
« J'sais bien c'que tu te dis, gamin. Tu te dis que la vie c'est facile, que la vie, tu vas la bouffer. Tu la connais déjà, tu la voit, autour de toi ; tu les voit, tous ces ratés désillusionnés qui ont abandonné trop vite. Tu les voit, tous ces rescapés qui tiennent debout, enfin presque, mais qui sont pas encore par terre, ou alors à moitié. Tu te dis qu'ils sont faibles. Qu'ils manquent d'ambition, de courage, de rage de vaincre. Toi, tu la sens au fond d'ton ventre, la force. T'as même du mal à la contenir, tu crois peut-être que t'en as trop et que tu risques les écraser par mégarde.
Mais crois-moi, petiot, la vie, tu la connais pas. Tu crois qu'tout va bien, qu'tu maîtrise. Tout est à ta portée, tes doigts sont de fée ou d'or, et d'un effleurement tu as ce que tu veux. Et puis un jour, tes doigts s'enflamment, et devient cendres tout ce que tu touches.
Et j'te vois, là, sous ma fenêtre, à m'regarder d'en bas avec ton air hautain. P'tit malin. J'ai bien envie d'te dire que ton sourire, tu le perdras vite. J'ai bien envie d'te dire qu'ça sert à rien de construire quoi que ce soit ici, puisque tout est instable. Le terrain s'effondre au fur et à mesure que tu bâtis dessus. Oui, j'ai bien envie d'te mettre en garde, même si mon bras droit, encore valide, a plutôt envie de te foutre une torgnole. Parce que tu vois, gamin, les bonnes manières, la bonne éducation, les apprentissages, la vie, l'amour, ça s'apprend pas, ça se vit. Et les claques, c'est en pleine tronche qu'on se les prend, pas en les lisant dans un bouquin.
Un verre à ta santé, à tes galères, gamin. Cheers ! »
Sous l'océan
PSEUDO - Fiz PRÉNOM - Alexia ÂGE - 21 ans T'AS CONNU LE FORUM OÙ - MYH =) COMMENTAIRE(S) - Scénario de fou, je sais bien qu'on est deux sur le coup alors.... Au pire, je resterai quand même parmi vous ;'P POISSON PRÉFÉRÉ - Egarons-nous ? XD *paumée* CODE AVATAR -
Code:
<pris>Pas encore décidé, Tony Ward</pris> <ppn>♒ prénom prénom nom</ppn>
Dernière édition par Gary E. Shepherd le Lun 2 Déc - 10:17, édité 4 fois
Invité
Invité
Sujet: Re: Gary Shepherd ∆ J'saignerai sur la mélodie d'votre mort. Même si j'peux plus jouer. Dim 1 Déc - 15:56
Il s'était contenu 24 heures, le crépuscule, avant de s'étendre de tout son long sur Douvres, de l'envelopper de sa fraîcheur et de ses couleurs flamboyantes. Eclair de feu apparent et cyclique au cœur de cette ville glaciale. Les centaines de fenêtres reflétaient les rayons du soleil, les deniers qui, en se projetant ainsi, anéantissaient toute chance d'apercevoir au travers les scénettes de vie, les flash de réalité auxquels ils apportaient une chaleur éphémère. Peut-être certains ne s'en étaient même pas aperçus, tant la luminothérapie semblait un leurre à leurs esprits, peut-être d'autres en avaient profité pour sortir faire quelques clichés ou fumer une clope en regardant le soleil cramer. Peut-être certains jeunes couples s'étaient-ils embrassés en se promettant qu'on « pense sincèrement promettre une promesse qu'on sait ne pas pouvoir tenir ». Peut-être certains mélancoliques, âmes poètes ou peintres, avaient trouvé là l'inspiration. Peut-être, peut-être... Peut-être certaines âmes errantes avaient-elles râlé sous ce changement de nuances, parce que leurs carapaces, trop épaisses, trop rudes, les protégeaient en métamorphosant subtilités en atrocités. Peut-être Gary était-il de ces derniers.
Gary ? Mais si, mais si, voyez, approchez-vous. Derrière ces stores toujours mi-clos, une ombre fantomatique vaquait à ses occupations. Regardez-la bien, cette tombe animée qui, me direz-vous, avait nourri pas mal de fantasmes comme elle avait fait pisser dans leur froc pas mal de bambins lors de veillées funestes, propices aux plus sombres ragots. Mais quelle que soit l'image que vous en ayez, de cette tombe animée - à supposer que vous fassiez partie de ces commères s'y étant déjà intéressées - sachez que votre perception est trompeuse, déformée. Vous regardez peut-être ce fantôme avec pitié, ou avec crainte, mais sachez que vous pouvez les ravaler, vos bons comme vos mauvais sentiments. Ici, on écoutait de la musique, on dansait, on buvait et on parlait aux animaux. La fête n'avait plus de limites. Entrez, mes très chers, entrez donc. Oubliez la misère qui vous attend, venez contempler les dégâts de celle l'ayant ravagé, lui, et fêtez la tragédie de la vie ensemble.
« Tu vois, Sid, petit rouquin, t'as copié la teinture du coucher de soleil. T'es trop conventionnel. Je comprends pas, pourtant, je t'ai appelé Sid parce qu'à part la musique classique, les Sex Pistols, j'les aimais bien. C'était quasi-inécoutable, c'est vrai. Mais c'était subversif. Ils avaient des idées, pas les bonnes, mais contre les mauvaises. Ils avaient la rage, le courage, peut-être pas la force pour les supporter, ça les a coulés d'ailleurs. Mais tu vois, y'avait quelque chose d'original chez eux, ils voulaient changer les choses. D'accord, c'est pas tellement original, mais enfin, ils ont essayé. Le coucher de soleil, y'a personne qu'a jamais eu l'idée de dire qu'on dirait l'enfer sur terre? Parce qu'il fout une tarte au visage à chacun d'entre nous qu'il a fait tant rêver, plus jeunes, et tous les jours il revient, ce con. Le coucher de soleil, c'est un vicieux, tu vois. C'est pour ça Sid, mon beau chat, j'aurais bien aimé que tu changes de teinture. Tiens, t'aurais pu évoluer couleur paille. C'est bien, la paille, c'est moelleux, ça nourrit, ça tient chaud. Quoi qu'à tout bien y réfléchir, la couleur paille, ça me fait penser à la pisseuse du dessous. Fade, sans intérêt, mais qui fait chier tout le temps. Ouais, voilà, cette fille c'est comme une vessie trop petite : son utilité décroît alors que sa gêne augmente. J'appellerais bien les flics, qu'ils viennent leur cisailler les cordes vocales, à elles et à ses copains, là. Mais j'suis pas en état de les recevoir, Sid. J'crois qu'ils me croiraient pas. Ils croiraient que je raconte que des conneries, que je ne suis qu'un vieux fou qui n'a plus que ses yeux pour chialer le Sherry qu'il ingurgite. Ils croiraient que je raconte des salades découpées à la hache et que je suis incapable de bonnes manières. Mais ils ignoreraient tout de ma vie, ils ignoreraient que j'ai su bien me tenir, que j'ai su, plus souvent qu'eux, me fondre dans la masse bourgeoise en me tenant à une position bien trop conventionnelle, ils ignoreraient que j'ai fasciné des foules par ma musique et non par la curiosité que je leur inspire, ils ignoreraient que j'ai éduqué la plus intelligente petite fille du monde avec la plus belle femme qui soit, ils ignoreraient qu'j'ai tout perdu parce qu'ils ignoreraient sûrement que la vie est une salope, et enfin ils ignoreraient que sa complice, la justice, m'a même ôté la seule chose qui me restait après mon combat perdu : mes bras, et mon violon. Ils ignoreraient tout ça et ils ne croiraient pas un quart de seconde aux sombres histoires de Miss-Parfaite et, pire, je verrais dans leurs yeux moqueurs le reflet de la bassesse humaine, de la pisse et du coucher de soleil. Merci, mais je préfère te regarder toi, Sid, t'as l'air paisible et honnête, sale bête. J'crèverais pour être à ta place, ou à la leur, avec elles. Le feu s'est éteint, Sid, et si on fêtait ça ? »
II.
« (...) Vous comprenez ? Oui. Vous comprenez toujours tout, vous, d'ailleurs, surtout ce que vous vivez pas par vous-même. Ca doit être votre grand truc : imaginer la souffrance des autres, les écouter se plaindre et y trouver un réconfort. C'est ça hein, vous vous dites qu'il y a pire que vous, au fond, et ça vous rassure ? C'est ça, votre job ? Donc je suis votre psy autant que vous êtes le mien, si je saisis bien le principe ? Qu'est-ce qui vous amène, cher Monsieur ? »
Vraisemblablement, la tentative d'humour de Gary n'avait pas trouvé consonance dans la personne de son psy. Son psy, ce grand homme tiré à quatre épingles, l'air calme et le visage paralysé autant que l'était son bras, toujours la même expression sans expressions plaquée au visage. Indéchiffrable. Oh bien sûr, on pouvait projeter sur lui toutes les pensées qu'on pensait qu'il avait sur nous, mais, au fond, ce bougre, on n'avait aucune idée de la façon dont il nous percevait. Il était là sans être là, enfin, il n'était là qu'à moitié aux yeux de Gary, qui, lui, aurait bien aimé un retour un peu plus conséquent qu'une simple invitation à la parole. Il aurait aimé des conseils, des avis, il aurait aimé que ce mec l'attrape par la peau du coup et le sorte de l'eau pour le faire respirer encore, mais il n'en n'était rien. Pourquoi donc continuait-il à venir le voir, d'ailleurs, hein ? On pourrait émettre quelques hypothèses. La première, c'est que, finalement, ce mec, c'était un peu sa dernière relation sociale stable et fixe. Enfin, disons, la dernière personne attentive qui était là pour l'écouter. Un peu comme un ami, qui n'en n'était pas, auquel on n'apportait rien, et qui était finalement plus présent que ses propres ex-amitiés, tous ces cons qui lui avaient, un à un, lâché la main au fur et à mesure qu'il avait levé le coude. Oh, quand il avait tragiquement perdu son tout, sa famille, son noyau de vie, dans un accident de voiture, ils avaient été là, tous. Mais dès lors qu'il avait commencé à toucher à des choses tabou, dès lors que ses amis eurent compris qu'il n'avait plus envie de vivre, ils n'eurent plus envie de l'aider. Bande de lâches. Entraîné dans la valse des hôpitaux et dans la batterie des tests médicaux, prenant ses vacances en croisière avec Jack Daniel's, Gary ne s'en était pas aperçu de suite. Et puis, un jour, le double-diagnostic. Le premier, médical ou, précisément, non-médical : son handicap restait médicalement inexpliqué. C'était probablement psychosomatique, ils ne pouvaient rien faire pour lui, qu'il aille voir un psychologue. Lors de l'accident, ses psy, il les avait envoyés bouler ! loin. Mais plusieurs années s'étaient écoulées et, vraisemblablement, s'il voulait pouvoir rejouer du violon un jour, s'il voulait retrouver l'usage de son bras gauche, il allait falloir déjouer les tours de son esprit. Alors il s'était pointé, déjà las. Le combat était perdu d'avance. Mais il avait découvert le second diagnostic, social celui-ci : ses amis avaient tous disparu, et il s'en rendait compte à présent. A présent que son psy restait le seul à l'écouter, fidèlement. Alors, bien qu'il fût convaincu que cela ne lui apportait rien, il reprenait systématiquement rendez-vous, toujours fidèle au poste. La seconde hypothèse pour laquelle Gary continuait à aller voir son psy, c'était que, finalement, il lui apportait quelque chose. Mais ça, Gary était convaincu du contraire. Ce mec, il lui apportait une relation sociale, qui en soi est positive, point. Mais son indifférence ne lui apportait rien, l'agaçait même parfois. Non vraiment, il était persuadé qu'il aurait pu s'en débarrasser du jour au lendemain que ça ne lui ôterait rien de spécial, ou qu'en tout cas il n'irait pas plus mal.
« Bon. Très bien, ça ne vous fait pas rire. Peut-être ai-je perdu mon humour dans l'accident, que sais-je. Ce que je vous expliquais, c'est qu'en venant chez vous, tout à l'heure, j'ai entendu des mômes râler. Ils parlaient d'éducation : des notes, des corrections et un professeur sadique. Et puis, ils ont parlé de subjectivité et des injustices engendrées. Et là, l'une des deux collégiennes - j'imagine, collégiennes - s'est exclamée "De toute façon, la vie est injuste". Je lui aurais bien dit que la vie n'avait rien d'injuste, j'avais même très envie de lui rétorquer qu'elle était au contraire tout-à-fait juste. La vie, elle m'a tout offert. C'était pas rose tous les jours, dans ma fâââmille traditionnelle et conservatrice, dans laquelle la plupart des membres affichait son porte-monnaie sur son front, mais enfin, j'ai eu toutes les clés en mains pour parfaire mon éducation et, à ma guise, m'en détacher ensuite. J'ai découvert le violon et, quoi que je critique, sans notre portefeuille, jamais je n'aurais appris auprès de si grands musiciens, et jamais je n'aurais pu me lancer et vivre de ma passion. Jamais j'aurais pu la...rencontrer... Jamais, tout ça, bref. La vie m'a tout offert, j'ai eu des déceptions bien sûr, comme tout le monde, mais rien de profondément traumatique, voyez ? Et puis, « ça. » Eh bien, depuis « ça », je trouve que la vie m'a repris tout ce qu'elle m'a offert. Elle m'a ôté ma moitié, a ôté la vie à mon petit amour, m'a expulsé dans un magma brûlant dans lequel j'étouffe et, pour parfaire le tout, elle m'a laissé mon violon, mais m'a empêché d'y toucher, afin que je ne puisse pas même leur dire "Au revoir" à notre façon : en musique. La vie n'est pas injuste : elle m'a tout donné puis, comme pour équilibrer la balance, elle m'a tout repris. Aujourd'hui, je suis au point mort, et je flotte. Stable. »
Dernière édition par Gary E. Shepherd le Lun 2 Déc - 10:16, édité 3 fois
Felipe Sabouraud
TU PRENDS MON ÂME.
♒ messages : 595
Feuille de personnage ♒ âge: 19 ans ♒ profession : peintre en bâtiment ♒ le choix du coeur: chocolat au lait ; confettis de bonbons azurés.
Sujet: Re: Gary Shepherd ∆ J'saignerai sur la mélodie d'votre mort. Même si j'peux plus jouer. Dim 1 Déc - 16:16
xfcghrthr mondieu ce qu'il est beau bienvenue ici et bonne chance pour le scéna
Elsie Lattimer
♒ messages : 385
Feuille de personnage ♒ âge: 18 ans ♒ profession : serveuse dans un bar ♒ le choix du coeur: le coeur ne choisit rien
Sujet: Re: Gary Shepherd ∆ J'saignerai sur la mélodie d'votre mort. Même si j'peux plus jouer. Dim 1 Déc - 17:41
Bienvenue ici ! Bon courage pour ta fiche !
Invité
Invité
Sujet: Re: Gary Shepherd ∆ J'saignerai sur la mélodie d'votre mort. Même si j'peux plus jouer. Dim 1 Déc - 18:14
Merci vous deux ! ♥
Invité
Invité
Sujet: Re: Gary Shepherd ∆ J'saignerai sur la mélodie d'votre mort. Même si j'peux plus jouer. Dim 1 Déc - 18:21
BIENVENUE
Encore merci de tenter mon scénario, je te dis un gros merde pour la fiche.
Feliks Levinson
Assassin ou barman, barman ou écrivain, qu'importe : son sort était le sort de tous, sa fin ma fin ;
♒ messages : 110
Feuille de personnage ♒ âge: aussi vieux que les vagues. ♒ profession : libertin. ♒ le choix du coeur: libre comme bouteille à la mer.
Sujet: Re: Gary Shepherd ∆ J'saignerai sur la mélodie d'votre mort. Même si j'peux plus jouer. Dim 1 Déc - 19:31
oh bienvenue.
Invité
Invité
Sujet: Re: Gary Shepherd ∆ J'saignerai sur la mélodie d'votre mort. Même si j'peux plus jouer. Lun 2 Déc - 3:04
Gracias
Invité
Invité
Sujet: Re: Gary Shepherd ∆ J'saignerai sur la mélodie d'votre mort. Même si j'peux plus jouer. Lun 2 Déc - 5:48
bienvenuuuue ! *lance de la chance sur MJ pour pas que son scénario parte*
Invité
Invité
Sujet: Re: Gary Shepherd ∆ J'saignerai sur la mélodie d'votre mort. Même si j'peux plus jouer. Lun 2 Déc - 10:18
Merci :'D
Voilà, je pense que je vais m'arrêter là pour cette présentation! ;)
Jasmin Dahl
♒ messages : 57
Feuille de personnage ♒ âge: Vingt ans, puis le néant. ♒ profession : ♒ le choix du coeur: Il n'a jamais aimé d'autre personne que lui.
Sujet: Re: Gary Shepherd ∆ J'saignerai sur la mélodie d'votre mort. Même si j'peux plus jouer. Lun 2 Déc - 11:35
Comme je viens de te dire par mp, je suis heureuse de te voir dans le coin Alexia
Bienvenue et bon courage pour ce superbe scénario
Cerbère du Maurier
ATTENTION CHIEN MÉCHANT
alors, ô ma beauté! dites à la vermine qui vous mangera de baisers, que j'ai gardé la forme et l'essence divine de mes amours décomposés !
♒ messages : 331
♒ Age : 28
Feuille de personnage ♒ âge: on ne le sait pas réellement, certains lui donne la trentaine et d'autres à peine vingt ans. ♒ profession : fossoyeur, croque-mort, gardien du cimetière, fournisseur de poison, de corde aux noeuds coulants et tout autre objets contondants pour vous faire rejoindre les morts. ♒ le choix du coeur: enterré quelque part sous une tombe sûrement
Sujet: Re: Gary Shepherd ∆ J'saignerai sur la mélodie d'votre mort. Même si j'peux plus jouer. Mar 3 Déc - 11:23
t'es là, unique et tragique.
gary, gary, gary, j'connais quelqu'un qu'avait appelé sa montre comme ça (oui osef) sinon superbe choix de scénario, tu pouvais pas mieux tomber et tout pis j'aime beaucoup ta fiche, hâte de le voir en action
bon maintenant, suffit l'amour, on passe à l'acte mon chat donc voilà les trucs importants. si t'es pas assez réveillé encore, sache que tu dois faire ta fiche de personnage, c'est genre le dernier champ du profil, et puis c'parfait, pas besoin de se faire chier à aller dans sa fiche pour se rappeler l'âge de son personnage sinon, bah, les premiers pas, c'est ici pour les liens, lister les rps et puis un journal, pourquoi pas. pour les demandes quelconques, c'est par là donc te gênes pas. sinon, mon amour, si t'aimes bien les trucs de groupe, bah tu viens là pour les petits groupes et ici pour les trucs communs. oublies pas de suivre les annonces, et puis, surtout, viens flooder. on t'aime déjà, va.
Invité
Invité
Sujet: Re: Gary Shepherd ∆ J'saignerai sur la mélodie d'votre mort. Même si j'peux plus jouer. Mar 3 Déc - 11:33
Merci merci Je m'attèle à tout ça très vite. ='P
Contenu sponsorisé
Sujet: Re: Gary Shepherd ∆ J'saignerai sur la mélodie d'votre mort. Même si j'peux plus jouer.
Gary Shepherd ∆ J'saignerai sur la mélodie d'votre mort. Même si j'peux plus jouer.