NOM(S) - Williams, parce que la vie en a décidé ainsi PRÉNOM(S) - John, rien de bien spécial, un nom ordinaire pour une personne ordinaireAGE ET LIEU DE NAISSANCE - 25 ans qu'il parcourt Douvres, et il est loin de s'en lasser NATIONALITÉ - Anglais STATUT CIVIL - écrire ici. ORIENTATION SEXUELLE - hétéro MÉTIER - il foule le pavé de l'hôpital en tant qu'apprenti chirurgien  GROUPE - AMANT AIMANT AVATAR - Sam Way

Décidez par vous mêmes, portez à votre nez une paire de lunettes enchantées, et choisissez ce que vous verrez. C'est la meilleure manière de le comprendre. Non pas qu'il manque d'ambition ou de volonté, mais il s'est souvent mis au second plan. Véritable caméléon, John est la personne que son entourage voudrait qu'il soit.
N'ayez aucune attente vis à vis de lui, et il restera quelqu'un d'agréable, de sympathique  avec qui l'on aime partager un moment ; cette personne qui est là quand on a besoin d'elle, mais que l'on laisse de côté lorsque l'on est rétabli, parce qu'elle n'intrigue pas, parce qu'elle n'apporte aucune surprise à votre vie.
La vérité est simplement, que plutôt que de s'aimer lui même, John aime que les autres l'aiment et serait capable de beaucoup pour se faire apprécier.
La façade du jeune homme poli et serviable tombe rarement, mais une mauvaise lune déchaînera vents et marées, fera gronder le tonnerre et emportera les bateaux. Il n'y a aucun remède, le bougre a beau être d'une profonde gentillesse, il n'en est pas moins très susceptible et jaloux, quant sa colère, elle est légendaire.
Sa famille,   mal l'aborder est la garantie de faire naufrage. John a une relation très complice avec son petit-frère, avec qui il est très protecteur, peut-être pour ne pas montrer combien il lui  envie sa nonchalance, peut-être aussi juste pour le remercier de son existence. Il  accorde une immense considération aux décisions de ses parents, et cela est peut-être l'un de ses torts, parce que sans la présence de son petit-frère, il n'aurait sûrement même pas tenté de laisser libre cours à ses ambitions.
Il n'y a pas souvent grand chose à reprocher au jeune John, mais il faut toujours se méfier de l'eau qui dort, ce que vous voyez n'est que la partie émergée de l'Iceberg.
   

PSEUDO - Snaker PRÉNOM - Louis-Maxime ÂGE - bientôt 17 ans T'AS CONNU LE FORUM OÙ - J'ai suivi mon petit monde jusqu'ici ( Emeline quoi ) COMMENTAIRE(S) - Je vous préviens, je me retiens, mais je suis complètement taré POISSON PRÉFÉRÉ - La raie léopard, parce que c'est le plus beau poison du monde CODE AVATAR -

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<Sam Way</pris> <ppn>♒ John Williams</ppn>

Né dans une famille tout ce qu'il y a de plus ordinaire et élevé par des parents, qui bien qu'ayant leurs tares individuelles, comme tout être vivant sur cette Terre je présume, je ne peux pas me plaindre d'avoir manqué d'amour ou d'avoir été négligé.
Ma vie est loin d'être l'un de ces scénarios tragiques où le pauvre enfant battu par son horrible beau-père décide de fuguer et fais sa vie au jour le jour en se débrouillant comme il peux avec les revenus par-ci par-là. La seule chose dont je pourrais me plaindre, c'est d'avoir reçu un éducation très stricte, peut-être même trop.
Depuis petit j'étais déjà prédestiné à devenir ce que mes géniteurs voudraient que je sois, et chaque minute passée avec eux, chaque seconde à les écouter  gommait un peu plus ma personne, je ne pensais plus par moi même, j'étais une extension juvénile de leur personne, mais un jour changea ma manière de voir le monde. Je n'avais que six ans et je faisais déjà ce que je considère encore comme la plus belle rencontre de ma vie. J'avais un petit-frère.
Mes parents occupaient une place particulièrement haute dans mon estime, et quelque part, je voulais être la personne qui occuperait cette place pour lui, quelqu'un sur qui il pourrait compter.
Je voulais être un aîné digne de ce nom.
On a grandi ensemble, et on est toujours restés très proches, jusqu'à ce que l'adolescence s'en mêle.
Cette époque où quel que soient les valeurs que l'on vous a inculqué, une incontrôlable tempête d'hormone redonne un souffle de vie à toutes les envahissantes émotions qui ont fait naufrage avant même de faire surface, vous êtes mus d'une force supérieure, tout est hors de contrôle, et là vous décidez que tout ce que vos parents avaient prévus pour vous est à jeter. C'est à ce moment là que j'avais commencé à penser sérieusement à faire de longues études. La nouvelle avait été très mal accueillie par mon père, qui voulait que je reprenne l'entreprise familiale. La sueur, l'huile, la vitesse, les vrombissement de moteurs, l'odeur de la graisse, pour des passionnés, ça devait être le bonheur total, mais très peu pour moi. Il me fallait du vivant, de l'organique, de l'humanité, mais personne ne comprenait, mes parents trop bornés ne voyaient pas d'où avait pu venir ce soudain intérêt pour la médecine, et Paul était encore trop jeune.
Les années passaient et le moment fatidique s'approchait à grands pas. Le moment où je devrais abandonner mes ambitions universitaires, et entrer dans le monde passionnant de l'automobile.
La présence de mon frère me réconfortais. Son apparente légèreté et sa spontanéité me faisaient penser qu'au moins l'un de nous deux déciderait de son propre avenir. Ce que je ne savais pas, c'est que sa décision impacterait la mienne. Paul avait décidé de reprendre l'entreprise familiale, il illuminait ma vie pour la seconde fois. Grâce à lui, j'ai pu continuer mes études en médecine, et arriver à où j'en suis actuellement. Je lui dois beaucoup, mais ça, heureusement qu'il ne le sait pas.